Comme vous avez pu le constater, pour ceux qui ont eu la chance de partir en vacances, l'été fut pourri, que du soleil , du soleil et du soleil pendant plus de deux mois, et une demie journée de pluie seulement.
Heureusement maman nature sais toujours nous faire des cadeaux, et entre autre.
Des piqûres et coupures en tous genres
Des coups de soleil , prêts à emporter encore chaud, avec vous dans vos villes et vos bureaux et sur vos compagnes (toute allusion à La Marseillaise Hymne National Français oubliée dans les stades est fortuite).
Quelques points en moins sur le permis
Quelques aventures amoureuses, quelques divorces à envisager + quelques MST glanées par ci par là
Quelques mycoses et verrues ramenées de la plages, que du bonheur pour nos pauvres médecins qui rentrent de leurs îles du pacifique
Rassurez vous, bientôt les médicaments ne seront plus remboursés.
Après les bains tièdes de la méditerranée ce sera au tour des douches froide dans les pharmacies
Allez , zou ! gardons le meilleur pour les yeus, voici quelques fruits de ce matin
De jolis fruits plein de bonnes vitamines et gorgés de soleil
Un joli coing de Provence dejà gros mais loin d'être mûr
source var matin
L'officier, âgé 29 ans, dirige depuis juin le centre de secours. Il revient sur son parcours de Cotignac à Brignoles en passant par la Somme.
Un grand bureau. En ordre. Dessus, une maquette d'hélicoptère bombardier d'eau jaune et rouge. Sur les murs, des photos d'interventions aériennes. Souvenirs d'une période où le capitaine Fabrice Bernard attaquait le feu depuis le ciel. Pas aux commandes de l'engin, mais en tant qu'officier. Il aimait déjà avoir une vision globale, prendre du recul pour informer les copains au sol.
Les vols, il a arrêté avec de nouvelles fonctions. « Mais cela reste de bons souvenirs, de ceux qui marquent une carrière ».
Depuis le mois de juin, Fabrice Bernard a pris le commandement de la caserne locale. A seulement 29 ans... Un âge où, habituellement, on arpente le terrain.
« J'ai toujours entendu des questions sur mon âge », sourit-il. « A 22 ans, j'étais officier. Alors cela devient une habitude ».
Une habitude aussi d'être testée. Et de devoir convaincre. « Quand on dirige des personnes plus aguerries, il faut tenir compte de leur expérience. On ne parle pas de la même manière avec un chef de garde qui a vingt-cinq ans de carrière et avec un débutant. L'expérience permet parfois d'éviter des erreurs. Quand on veut aller trop vite... »
Pas une vocation
Le capitaine n'a pas gravi les échelons trop vite. Il a débuté jeune. Une vocation ? « Pas vraiment ». A 17 ans, il enfile pourtant l'uniforme et devient sapeur-pompier volontaire à Cotignac. Comme son frère avant lui. Il a le déclic.
« C'est à ce moment-là que j'ai su ce que je voulais faire ». Son caractère « à toujours vouloir aller au bout des choses » le pousse à gravir les échelons. « J'ai orienté mes études pour devenir officier et professionnel ».
Il part à Abbéville, dans la Somme, en 2003. Quatre ans loin de chez lui. « Une très bonne expérience ». Il découvre une région, fait ses classes. « Il y a moins de monde là-bas, on te donne des responsabilités plus rapidement ».
En 2007, on lui propose de revenir dans le Var. Il accepte et prend ses quartiers à Draguignan, au service départemental d'incendie et de secours (SDIS). Il passe le concours de capitaine. Et arrive en tant que chef de service en janvier 2009 à Brignoles.
Un an et demi après, il dirige Saint-Maximin. Ses 18 sapeurs-pompiers, ses 75 volontaires, ses 2 agents administratifs. Et ses 2 000 interventions par an.
« Je suis très content du poste. Le secteur est très étendu. J'ai envie d'apporter ma pierre à l'édifice. Il y a une bonne base, je souhaite progresser dans la même voie... »
Inondations
Depuis juin, le capitaine a « été bien accueilli ». Il a dû rapidement prendre ses marques. « Arriver en plein été n'est pas le plus facile », concède-t-il en évoquant le risque de feux de forêt. « Pour l'instant, nous avons été épargnés... »
Épargnés par les flammes, mais pas par l'eau. Quelques jours après son arrivée, le Var est frappé par les inondations. « Nous n'avons pas été touchés ici, mais nous étions descendus au Luc en renfort ».
Avant ça, il recevait dans sa nouvelle caserne le congrès départemental. « Des débuts chargés », résume-t-il l'oeil pétillant.
Après "les courriers de la mort" de Pierre Magan, voici "le courrier de la mort" de chez Hadopi
Sais-tu ce qu'est un mari DVD ?
- C'est celui qui se Deshabille Vite et Dort
- Et un mari DVD+R ?
- C'est celui qui se Deshabille Vite, Dort et Ronfle.
Et un mari CD?
- C'est celui pour qui c'est : Cigarette et Dormir.
Moralité:
- RIEN DE TEL QUE LES VIEUX VHS ...
Viril et Habile du Sexe!
Au début il n'y avait rien
Apparu Napster
puis il disparu
Puis apparu emule
Emule disparu
Puis apparu shareaza
Shareaza disparu
Puis apparu limewire
Limewire disparu
Emule revint parmis nous
Naissance des torrent.
Apparurent Snowtiger, the pirate bay
Snowtiger et the pirate bay disparurent
Limewire reapparu
Emule à nouveau dans la débacle
Puis apparu torrent411, mininova, wawamania, torrentz, trackersurfer
Mininova disparu et monova le remplaça, wawamania se cassa la tronche, torrent411 explosa, trackersurfer regressa.
Puis apparurent btmon, vector, btjunkie, 1337, h33t, alivetorrent, kickasstorrent, fenopy, les magnet, le streaming, les newsgroup, les vpn les seedbox etc..
On continue?
Morale: 1 de mort, 10 de retrouvés.
Question existentielle: A quand une légalisation de tout ça avec des taxes, comme vous savez le faire Mr les Politiques (Cf Licence Globale).