Si tous ceux qui croient avoir raison n'avaient pas tort, la vérité ne serait pas loin.
La vie est simple, c'est le monde qui la compliqué.
Vivre est une chanson dont mourir est le refrain.
Il semble bien que c'est en Égypte que le chat domestique aurait fait son apparition quelque 2000 ans avant notre ère. Il a été introduit par un pharaon qui l'aurait rapporté d'Éthiopie ou il vivait à l'état sauvage. Le chat est vite devenu un animal très important dans l'histoire de l'Égypte. Le chat domestique était donc un animal sacré. Le tuer était puni de mort. Les Égyptiens le vénéraient sous les traits de la déesse protectrice Bastet. Ils symbolisaient la fécondités au sein d'une famille. Certains d'entre eux étaient momifiés et ensevelis avec leurs maîtres ou dans des cimetières spécifiques.
Défiant l'interdit de la loi Égyptienne, des marins Phéniciens emportent clandestinement des chats hors du pays et les échangent au même titre que d'autre trésors du Proche-Orient. C'est ainsi que les chats se sont répandus sur tout le continent méditerranéen.
Tout le monde peut reconnaître un zèbre. Il ressemble à un petit cheval en robe rayée. Mais comment distinguer un zèbre d'un autre ? En observant les motifs lignés. Pas facile, direz-vous !
Les rayures du zèbre varient selon sa localisation géographique. Elles diffèrent d'un zèbre à l'autre, comme les empreintes digitales chez les humains. Les différences perceptibles se situent sourtout au niveau de la tête, des pattes et de l'arrière train.
Le zèbre de Grant est le zèbre des plaines le plus commun. Il est rayé sur tout son corps, jusqu'aux sabots.
Chez le zèbre de Damara, on peut voir des rayures de couleur gris pâle entre ses rayures noires mais les motifs ne descendent pas jusqu'au bout des pattes.
Les rayures du zèbre posent de réels problèmes à ses prédateurs : en plein jour, il semble plus gros qu'il ne l'est en réalité. Comme les contours de sa silhouette sont plutôt flous, un prédateur peut difficilement localiser avec précision le point fragile de sa nuque. À l'aube et au crépuscule, ses rayures noires se fondent avec l'obscurité. Intéressant, non ?
Photo prise au Parc safari (2008)
VOICI UNE TRÈS BELLE PUB QUE J'AI EU L'OCCASION DE VOIR !!! C'EST MIGNON !!!
http://www.petitspoulets.qc.ca/
La mangue est une véritable mine de composés actifs. Comme c'est le cas pour de nombreux fruits tropicaux, on n'a pas encore fait le tour de ses vertus, mais on sait au moins qu'elle renferme de la quercétine, un flavonoïde aux propriétés antihypertensives, ainsi que de la mangiférine, substance phytochimique offrant de nombreux bienfaits pour la santé. Ces deux composés, de même que d'autres polyphénols présents dans le fruit, dommages causés par les radicaux libres.
Riche en acide folique, en potassium, en bêta-carotène et en fibres, la mangue est aussi une excellente source de vitamine C. Bonne nouvelle lorsqu'on sait qu'une étude, menée sur une période de 12 ans auprès de 21 000 adultes en bonne santé, a montré que plus les taux sanguins de vitamine C sont élevés, plus faible est le risque de souffrir du diabète du type 2. Des taux sanguins de vitamine C élevés seraient également liés à une diminution du risque d'AVC. Une demi-mangue(environ 100g) contient 67 calories tout en étant pauvre en sodium et en gras. Le guide alimentaire canadien recommande aux adultes de consommer de 7 à 10 portions de fruits et légumes par jour, y compris ceux à chair orange, riches en caroténoïdes.
À noter qu'une mangue se choisit, non d'après la couleur de sa peau, mais à son parfum et à sa tenue en main : elle doit être dodue, ferme et exemple de meurtrissures et de rides.
SOURCE
www.selection.ca