Il semble bien que c'est en Égypte que le chat domestique aurait fait son apparition quelque 2000 ans avant notre ère. Il a été introduit par un pharaon qui l'aurait rapporté d'Éthiopie ou il vivait à l'état sauvage. Le chat est vite devenu un animal très important dans l'histoire de l'Égypte. Le chat domestique était donc un animal sacré. Le tuer était puni de mort. Les Égyptiens le vénéraient sous les traits de la déesse protectrice Bastet. Ils symbolisaient la fécondités au sein d'une famille. Certains d'entre eux étaient momifiés et ensevelis avec leurs maîtres ou dans des cimetières spécifiques.
Défiant l'interdit de la loi Égyptienne, des marins Phéniciens emportent clandestinement des chats hors du pays et les échangent au même titre que d'autre trésors du Proche-Orient. C'est ainsi que les chats se sont répandus sur tout le continent méditerranéen.
Si tous ceux qui croient avoir raison n'avaient pas tort, la vérité ne serait pas loin.
La vie est simple, c'est le monde qui la compliqué.
Vivre est une chanson dont mourir est le refrain.
- À Metz, en France, on le rend responsable de l'épidémie de danse de Saint-Guy de 1344. Des milliers de chats sont alors brûlés vifs.
- À Ypres, en France, une tradition voulant qu'on jette trois chats du haut d'un donjon pour purifier la ville...s'est perpétuée jusqu'en 1817.
- En Russie et en Pologne, pour obtenir une bonne récolte de blé, on enterrait un chat vivant dans le champ.
- En Finlande, on disait que c'était un chat noir qui tirait la chair emmenant l'âme du défunt dans un autre monde.
- En France, certains constructeurs de maisons enfermaient un chat vivant entre le plafond du rez-de-chaussée et le plancher du premier étage. On dit qu'une fois mort, il continuait de protéger toute la demeure.
Le tigre du Bengale, originaire de l'inde, pèse pèse de 300 kg. Son poil est plus court et son pelage moins ébouriffé que celui des autres tigres. Sa robe zébrée, de couleurs vives, varie du fauve au roux. Avec le jaguar, il est un des rares félins à aimer la baignade.
Comme le chat domestique, le tigre a des griffes rétractiles. Pour les petites proies, le tigre bondit sur elles et les tue sur le coup. Pour les grosses, il les renverse et les étouffe d'une profonde morsure à la gorge.
Ses falcultés visuelles sont remarquables. Son oeil peut déterminer efficacement les distances et la direction à prendre. Il voit parfaitement en latéral. Sa vision diurne se compare à celle de l'homme. Quand arrive l'obscurité. sa pupille ronde se dilate beaucoup lui assurant une vision noctune six fois supérieure à celle de l'humain.
La principale cause de sa disparition vient de la destruction de son habitat naturel. L'exploitation forestière massive détruit chaque année de millions d'hectares de forêts, décimant la faune en général. Alors, en plus de réduire l'espace de vie du tigre, cette destruction diminue le nombre de proies disponibles. À cela s'ajoutent les constructions et les cultures qui empiètent constamment sur son territoire.
( Photo prise en 2008 au Parc Safari )
CETTE LÉGENDE NOUS VIENT DE LA BELLE RÉGION DU SAGUENAY LAC-SAINT-JEAN ( MA RÉGION À MOI )
La danse, à cette époque, était défendue. Les curés en parlaient en chaire : ce n'était pas un cadeau. Bien sûr, on blâmait les joueurs de violon qui faisaient danser les gens des grandes nuits de temps. Ce n'était pas facile d'amuser le monde, encore moins de danser.
Or, il y avait une salle de danse à Saint-Ambroise. Et évidemment, la danse n'était pas permise là, comme n'importe ou ailleurs. Un bon samedi, vers neuf heures du soir, arrive un gars avec un beau cheval noir, bien attelé à une voiture. Il attache son cheval devant la porte. Puis, il entre dans la salle, vêtu de façon très élégante et coiffé d'un magnifique chapeau de castor.
L'homme invita une demoiselle à danser. Il portait des gants, mais il ne voulait pas les enlever : pas plus qu'il ne voulait enlever son élégant manteau et son chapeau de castor. À un moment donné, au beau milieu de la danse, la jeune fille le laisse là et va rejoindre son groupe d'amis. Quand il voit ça, le gars va demander une autre fille pour danser. L'autre fille refuse, l'homme la rendait mal à l'aise, elle trouvait que c'était un gars étrange.
Alors, l'individu partit comme un diable en furie. Mais avant de s'en aller, ouvrant la porte, il allongea son bras, puis il estampa ses cing doigts sur le cadre de la porte. C'était imprimé en rouge, rouge comme du beau sang. Les danseurs et les musiciens étaient bien découragés de voir ça ! Ils sont donc tous sortis dehors pour aller voir ce gars-là, et ou il était allé. Le gars avait disparu. Ils ne voyaient plus ni son cheval, ni sa voiture.