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Youth Ahead!

Ambition et Action.

Les Jeunes et Les Objectifs du Millenaire pour Le Developpement. Posté le Mercredi 3 Octobre 2007 à 14h49

Nous sommes la première génération capable de mettre fin à la pauvreté-nous sommes heureux de vous faire découvrir comment le faire. Peu importe votre degré de compréhension, cette page vous expose plusieurs manières de vous impliquer par l'action. Alors, commençons! Nous pouvons changer le monde, mais seulement avec votre voix!

 

LES OBJECTIFS

 

·        Réduire l'extrême pauvreté et la faim

 

·        Assurer l'éducation primaire pour tous

 

·         Promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes

 

·        Réduire la mortalité infantile

 

·        Améliorer la santé maternelle

 

·         Combattre VIH/SIDA, paludisme et autres maladies

 

·        Assurer un environnement durable

 

·        Mettre en place un partenariat mondial pour le développement

 

 

Réduire l'extrême pauvreté et la faim

 

Imaginez le travail le travail laborieux d’une journée, dans des conditions malsaines, tout en gagnant toujours et seulement un dollar par jour. Comment allez vous bien vous nourrir? Qu’allez vous faire si vous avez une famille à entretenir? Comment pourriez-vous établir et maintenir un foyer stable? Sachant que avoir un revenu stable et assez de nourriture à manger est un droit universel, l’objectif 1 à deux cibles spécifiques:

• Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population dont le revenu est inférieur à un dollar par jour.
• Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population qui souffre de la faim.

À peine survivants, 1,2 milliards de personnes vivent dans l’extrême pauvreté et 800 millions de personnes dans le monde entier souffrent de la faim chaque jour. Environ 28,3% des individus des pays à faible et moyen revenus ne gagnent pas assez d'argent pour échapper au cycle de la pauvreté.
L’objectif 1 cherche à ramener ce pourcentage à 14,2% d’ici 2015.

 

QU’EST CE QUI DOIT ÊTRE FAIT

 

Enormément! Il serait fallacieux de présenter juste ce coté de la réalité: que globalement, la proportion de personnes vivant avec $1 par jour a diminué de 30% en 1990 à 23% à 1999. Le monde a certainement fait de grands pas dans la lutte contre la pauvreté mais le progrès n’est pas consistent, et pour beaucoup de pays, le degré de pauvreté va croissant. La majeure partie de l'Asie et de l'Afrique du nord est sur la voie, mais il y a eu peu ou pas de progrès en Afrique subsaharienne, en Amérique latine et aux Caraïbes. En Asie de l’ouest, la pauvreté a récemment augmenté.

Les gouvernements doivent améliorer leurs économies faibles, augmenter les fonds destinés à l'éducation et la santé, améliorer la productivité agricole par de nouvelles techniques, améliorer l'infrastructure (telle que l’énergie et l’adduction d’eau, le transport, les routes et les écoles), et promouvoir les droits de l'homme et le développement durable.

Il y a également beaucoup des stratégies à faible coût qui pourraient être utilisées dans la lutte contre la pauvreté et la faim telle que l’éducation alimentaire, l’hygiène et la fourniture des vitamines pour combattre la malnutrition.

 

COMMENT LES JEUNES SONT AFFECTES ET IMPLIQUES

 

Dans le milliard de personnes qui vivent avec mois d’un de $1 par jour, approximativement 238 millions sont des jeunes. Malheureusement, les jeunes sont les plus atteints par les effets de la pauvreté. Cela se ressent en grande partie dans les domaines de la santé, de l'éducation, du logement, de la sécurité, et des possibilités d'emploi. Par conséquent, la participation des jeunes dans les actions et les campagnes de prise de conscience est critique. Qui pourrait mieux parler pour la jeunesse que la jeunesse? Quelques groupes de jeunes prennent déjà des mesures. Les conseils nationaux de la jeunesse et les organismes de la jeunesse ont des structures en place qu’ils organisent de manière collective, certains sont activement engagés dans des stratégies de réduction de pauvreté, des projets de jeunes d'anti-corruption, et d'autres projets qui accentuent la question de la zone rurale et des villes. La jeunesse devrait davantage être consulté par les décideurs dans le processus de réduction de la pauvreté afin qu’ils puissent contribuer au développement de leur pays.

 

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Assurer l'éducation primaire pour tous

 

Alors que certains enfants se plaignent d’aller à l’école et d’avoir trop de devoirs à faire, il y a un bon nombre qui souhaite encore se faire donner la chance d’apprendre à lire, à écrire et/ou à compter. Le deuxième objectif a pour but de s’assurer que d’ici 2015, tous les enfants du monde, filles ou garçons, soient à mesure d’achever un cycle complet d’études primaires.

Aujourd’hui encore beaucoup d’enfants sont obligés de travailler pour s’occuper de leurs familles au lieu d’aller à l’école. Dans certaines familles, les filles sont obligées de rester à la maison pour les travaux menagers, oubliant ainsi leur propre formation. 115 millions d’enfants ne vont pas à l’école ou ne la finissent pas.

L’Afrique du Nord et sub-saharienne, le Moyen Orient et l’Asie du Sud sont les régions les plus touchées. Il y a 133 millions d’enfants qui ne savent ni lire ni écrire alors que seulement 37 sur 155 pays en voie de développement ont ratifié la Declaration du Millénaire.

 

QU’EST CE QUI DOIT ÊTRE FAIT

 

Les gouvernements des pays en voie de développement doivent, pour sur, allouer suffisamment des ressources financières à l’éducation primaire. Il est triste de constater que même, quand les fonds existent, ils ne sont pas alloués à un domaine aussi vital et nécessaire que l’éducation. Dans la plupart des pays, les plus démunis reçoivent très peu de fonds financiers de la part du gouvernement alors que dans les pays développés les pauvres sont assez bien subventionnés par leurs gouvernements. Pour réaliser l’objectif 2 du Développement du Millénaire, des ressources financières conséquentes doivent être alloués et consacrés à cette cause.

Une politique d’admission obligatoire et des stratégies pour garder les enfants de familles démunies doivent être mises en place pour garder ces enfants à l’école. Le frais de minerval, l’uniforme doivent peut-être être supprimes. Promouvoir plus des femmes au travail d’éducatrices doit être considéré.

 

COMMENT LES JEUNES SONT AFFECTES ET IMPLIQUES

 

L’éducation est d’une importance capitale pour la jeunesse. Elle est aussi la clef du développement. Elle crée des opportunités pour les jeunes qui peuvent lutter contre la pauvreté, les maladies… L’éducation est une arme qui permet à la jeunesse de lutter contre la pauvreté, les maladies et de se tailler le chemin du progrès.

Beaucoup de jeunes travaillent déjà comme éducateurs car ils veulent voir les autres enfants bénéficier de la même formation qu’eux. Les jeunes sont de bons enseignants, mentors puisqu’ils partagent les mêmes désirs et sentent les choses de la même manière que les autres.
L’avenir de l’éducation primaire se trouve dans l’insertion des nouvelles technologies dans les méthodes d’apprentissage. La technologie de l’Information a des possibilités qui sont illimitées surtouts quand les jeunes ont accès à l’Internet.

 

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Promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes

 

Quand les enfants viennent au monde, un sexe leur est immédiatement assigné: garçon ou fille, et le restant de leur vie, les attentes en tant que garçon ou fille leur sont inculquées par leurs familles, les ami(e)s, et toute la société entière. L’égalité des sexes n’aurait aucun sens si les mêmes opportunités et privilèges étaient accordés à la plupart des gens.

Malheureusement, dans les pays les plus pauvres de même que ceux les plus riches, des inégalités sexuelles existent et les filles ainsi que les femmes sont souvent désavantagées.

Par exemple dans les résidences pauvres des pays en voie de développement, plusieurs familles envoient juste les garçons à l’école, car il est accepté que la fille reste à la maison pour s’occuper des plus jeunes et de la demeure. Cette réalité nous rapporte à la seule cible pour du but numéro 3 que dès 2005 le même nombre de garçons comme de fillettes doit être inscrit aux écoles primaires et secondaires. Afin que le même nombre d’hommes et de femmes soient inscrites dans les institutions d’enseignement de niveau plus élevé en 2015.

 

 

QU’EST CE QUI DOIT ÊTRE FAIT

 

Considérer ceci: deux tiers des 880 millions d’illettrés adultes dans le monde sont des femmes; elles sont moins enclines à être embauchées que les hommes; et seulement 15% des sièges parlementaires et 6% des postes du cabinet sont détenues par des femmes.

Les attitudes autour du rôle des femmes doivent changer. Les inégalités sexuelles proviennent souvent des croyances économiques ou religieuses, qui sont justifiés comme basées sur la tradition et pas vues comme de la discrimination. Le monde a besoin de commencer l’implantation et l’exécution des lois qui protègent les droits des femmes et reconnaître que l’inégalité sexuelle contribue à la pauvreté.

En outre, les femmes doivent avoir la propriété des terres pour lesquelles elles sont premièrement responsables de cultiver pour nourrir leur famille. Pour améliorer les taux d’emploi, il y’a un besoin grandissant d’opportunités qui permettent aux femmes de créer leurs propres entreprises.

 

 

 

COMMENT LES JEUNES SONT AFFECTES ET IMPLIQUES

 

Les jeunes femmes illettrées qui cherchent à travailler hors du domicile conjugal sont plus exposées à des surcharges de travail, des salaires plus bas, et à des abus physiques, ou traînées en prostitution. Malgré qu’elles soient économiquement et éducativement défavorisées, ces filles et femmes manquent aussi d’un système de support et de confidence pour changer leur situation. Les jeunes doivent être leaders dans la lutte pour mettre fin à l’injuste discrimination à l’égard des femmes. Les jeunes femmes peuvent agir à titre de pairs éducatrices pour enrichir les autres filles des talents de la vie pour construire leur estime de soi.

Mais mettre fin à l’inégalité sexuelle n’est pas seulement la responsabilité des femmes. Plusieurs garçons et hommes supportent la lutte pour mettre fin à la discrimination sexuelle, mais il y a encore beaucoup à faire car les droits des femmes sont du ressort des droits humains. Les actions quotidiennes de sensibilisation et de changement bénéficiera à toute l’humanité.

 

 

 

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Réduire la mortalité infantile

 

Chaque enfant né dans ce monde, quelque soit son pays, mérite une vie riche et comblée. Malheureusement, dans la réalité des millions d’enfants innocents meurent des maladies curables. Chaque année 11 million d’enfants des pays en voie de développement meurent avant l’âge de cinq ans, et 70% des causes de ces morts sont dues à des maladies et la malnutrition.  

La mortalité infantile est sérieusement enclenchée avec tous les autres buts et conséquences de la pauvreté extrême : inégalité entre les sexes dans l’éducation, éducation de la santé sexuelle inapproprié des femmes et jeunes filles, la diffusion du SIDA ainsi que d’autres maladies, et des pratiques environnementales non soutenables. Chacun étant d’une contributions majeure à la pauvreté et aux conditions de vie dangereuses.

La cible du but 4 est de réduire de deux tiers le taux de mortalité parmi les enfants en bas de cinq ans. Dans les pays en voie de développement, 1 enfant sur, 10 meurt avant son 5e anniversaire, compare à 1 sur 143 dans les pays à revenues plus élevés.

 

 

QU’EST CE QUI DOIT ÊTRE FAIT

 

Les causes majeures de la mortalité infantile dans les pays en voie de développement sont la mauvaise qualité de l’eau et les maladies d’hygiène. Une augmentation générale des dépenses publiques pour la santé est urgemment requise afin que l’immunisation soit disponible à tous. Des maladies curables peuvent êtres dépistées et traitées dès leur début, et plus de fournisseurs de soins particulièrement dans les zones rurales peuvent être embauché(e)s. Pour les pays qui n’ont pas un système fonctionnel des soins de santé, des suppléments de vitamines doivent être facilement disponibles.

Fondamentalement, les jeunes femmes ont besoin d’éducation sexuelle et sur la reproduction pour apprendre à s’enrichir pour pouvoir faire des choix plus éclairés en matière de relations sexuelles. Cette éducation doit être mise en application dans le circus des écoles secondaires. Et ne doit pas seulement être dirigée vers les jeunes filles. Les hommes ont besoin de comprendre leurs responsabilités en tant qu’individus sexuellement actifs et aussi d’informations sur les Maladies sexuellement transmissibles (MST) et la prévention des grossesses non sollicitées.

 

COMMENT LES JEUNES SONT AFFECTES ET IMPLIQUES

 

Les jeunes peuvent être des partenaires actifs dans la réduction du taux de mortalité infantile. L’UNICEF, par exemple, a créé des partenariats avec des groupes de jeunes pour construire et maintenir l’eau et les services d’hygiènes dans certains pays. Certains jeunes, sans spécifications particulières, prennent eux-mêmes l’initiative de faire des campagnes de nettoyages dans leurs communautés.

Les jeunes peuvent agir à tire de conseillers et de mentor pour leurs plus jeunes pairs sur des questions comme la santé sexuelle et la santé de la reproduction et les planning familial. Partager des expériences et poser des questions à des égaux est beaucoup moins intimidant pour les jeunes.

 

 

COMBATTRE VIH/SIDA, PALUDISME ET AUTRES MALADIES

C’est une réalité effrayante : des millions de personnes dans le monde en voie de développement meurent du VIH/SIDA, du paludisme et de la tuberculose- toutes des maladies évitables. Ces dernières se reproduisent à des taux alarmant dans les conditions d’extrême pauvreté. L’objectif 6 vise à arrêter, et commencer à réduire l’expansion du VIH/SIDA, l’incidence du paludisme et autres grandes maladies.

Aujourd’hui, plus de 95% des 40 millions de personnes estimées atteintes du VIH vivent dans le monde en voie de développement. Similairement, le paludisme infecte plus de 500 millions de personnes chaque année et en tue plus d’un million, avec plus de 90% des cas se situant en Afrique Sub-Saharienne. Du fait de ces hauts taux d’infection, dans plusieurs pays, l’éducation est compromise par une diminution du nombre de professeurs comme d’élèves – particulièrement les filles qui doivent prendre soin de leurs plus jeunes frères et sœurs lorsqu’un parent meurt ou tombe malade. Ainsi, l’impact du SIDA et des autres maladies n’affecte pas seulement l’individu, mais toute la famille, et parfois même toute la communauté.

QU’EST CE QUI DOIT ÊTRE FAIT

 

[Un total de 4.7 milliards de dollars a été dépensé en 2003 pour arrêter la propagation du VIH/SIDA, du paludisme et de la tuberculose. Alors que c'était une augmentation au-dessus de ce qui a été dépensée en 2002, il est de manière significative moins que les 12 milliards de dollars requis en 2005 et les 20 milliards requis pour 2006.

Les Gouvernements dans les pays en voie de développement ne dépensent pas assez sur la santé globale. D'ailleurs, les systèmes de santé rurale n'ont pas assez de personnel ou de ressources pour traiter ces maladies.

La prise de conscience, l'éducation, les diagnostics et les traitements pour le VIH/SIDA sont encore bas dans beaucoup de régions. Les études en Afrique subsaharienne ont révelé que la moitié des adolescents qui ont répondu ne savent pas qu'une personne en bonne santé pourrait vivre avec le VIH/SIDA. Tandis que nombreux se découragent, il y a plus de prise conscience parmi les jeunes au sujet des dangers du VIH/SIDA, merci aux initiatives d'éducation (beaucoup menées par la jeunesse) dans les communautés locales.]

 

COMMENT LES JEUNES SONT AFFECTES ET IMPLIQUES

 

Chaque minute, six jeunes entre l’âge de 10 et 25 ans sont infectés par le VIH. Plus de 50% des nouvelles infections se retrouvent parmi les jeunes entre 15 et 24 ans, ce qui fait qu’ils sont disproportionnellement affectés par l’épidémie du VIH/SIDA. Les jeunes doivent recevoir l’éducation et l’information afin de réduire leurs risques d’infection. Mais même s’ils ne sont pas directement infectés, ils sont toujours affectés par la perte de parents ou de professeurs des suites de la maladie.

Les manières dont les jeunes peuvent prendre action incluent : agir comme éducateurs de pairs dans les écoles en informant ainsi qu’en contrant la stigmatisation et la discrimination à propos du VIH/SIDA ; plaider en faisant des contacts lors de conférences dans le but d’incorporer les jeunes dans les stratégies nationales, conseiller en politiques gouvernementales et distribuer des ressources ; puis, à travers de programmes d’emploi de jeunes, ces derniers peuvent être formés en traitement du VIH/SIDA et peuvent aider en distribuant des médicaments. En outre, Les jeunes séropositifs doivent, tant que possible, être impliqués dans le processus de prise de décision.

Pour combattre le paludisme, les jeunes peuvent être impliqués en procurant des moustiquaires traitées par insecticides. Le Vietnam, où plus de seize pourcent des enfants dorment sous des moustiquaires traitées, a fait des pas significatifs dans le contrôle de la maladie. Mais en Afrique, seulement 7 des 27 pays ayant des données d’enquête reportaient un usage de moustiquaires supérieur à 5%.

 

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Assurer un environnement durable

 

 

Prendre soin de l’environnement et l’entretenir n’a pas seulement pour effet de soulager nos consciences - cela influe aussi sur notre santé. L’eau que nous buvons, les champs que nous cultivons et les aliments que nous faisons pousser viennent tous de la terre, et il nous incombe d’en prendre bien soin. La santé et le bien-être de chacun sont menacés par des ressources naturelles pillées et des conditions de vie toxiques. Cela est particulièrement vrai dans le monde en voie de développement où : 1,2 milliards d’individus n’ont pas accès à l’eau potable, 2,4 milliards d’individus n’ont pas accès à des sanitaires, et 2 millions d’enfants meurent chaque année des infections propagées par l’eau non-potable et le manque de sanitaires.

L’Objectif 7 a pour but d’améliorer notre manière de gérer l’environnement afin que les ressources vitales de base soient disponibles aux futures générations. Il existe un lien majeur entre la pauvreté et l’environnement car les communautés pauvres, surtout dans les pays les moins développés, dépendent plus de l’agriculture et des ressources naturelles et sont ainsi fréquemment les plus gravement touchés par leur pollution ou leur destruction.

Les communautés vivant dans des régions où l’environnement est déséquilibré doivent être accordé plus d’opportunités de participer aux décisions affectant leur environnement. Elles ne devraient pas être perçues comme faisant partie du problème, mais comme partie de la solution. A ce sujet, toutes les initiatives et tous les réseaux existants doivent être soutenus et  Intégrer les principes du développement durable dans les politiques
·élargis.  et les projets nationaux et inverser la tendance à la déperdition des ressources environnementales.

 D’ici à 2015, réduire de moitié le pourcentage de
·•  la population qui n'a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable et en sanitaires de base.
 D’ici à 2020, améliorer sensiblement
·•  la vie d'au moins 100 millions d'habitants de taudis.

 

QU’EST CE QUI DOIT ÊTRE FAIT

 

Des améliorations significatives en matière d’accès à l’eau potable ont été faites dans les régions rurales, mais seuls quelques pays font des progrès avec suffisamment de rapidité pour pouvoir réaliser l’Objectif 7. Malheureusement, les pays qui ont fait des progrès sensibles quant aux autres Objectifs tendent à démontrer un bilan pire concernant les questions d’environnement..

Le maintien d’un environnement durable doit faire partie intégrante de toutes les décisions politiques, et l’impact de ces décisions doit être évalué régulièrement. Dans de nombreux pays en voie de développement, les ressources naturelles sont épuisées du fait de la corruption.
Les contrôles et la contrainte doivent être renforcés.

 

COMMENT LES JEUNES SONT AFFECTES ET IMPLIQUES

 

La jeunesse doit contribuer au maintien d’un environnement durable pour la simple raison que cela touche leurs vies aujourd’hui et à l’avenir. Les jeunes ont la possibilité d’accroître la conscience de l’environnement et l’action dans leurs propres communautés par l’éducation et l’enseignement, en utilisant par exemple les médias pour diffuser leur message. Ils peuvent participer à des projets sanitaires et des équipes d’action sur l’eau dans le but de nettoyer une communauté à la fois. Les jeunes peuvent aussi réaliser leur potentiel en devenant des entrepreneurs sociaux et environnementaux - des innovateurs et des leaders dont les communautés en difficulté ont grand besoin.

Beaucoup de jeunes enrichissent leur connaissance des questions de l’environnement par le biais des médias et de la technologie. Ces méthodes devraient être reconnues comme des moyens efficaces et importants d’éduquer la jeunesse.

De plus, les jeunes doivent être consultés par les décideurs et doivent apporter des idées nouvelles aux comités d’action et de planification au niveau local et global. En contrepartie, les leaders environnementaux de jeunes des pays en voie de développement doivent être soutenus, et encouragés à assister aux conférences internationales et à s’impliquer dans les processus environnementaux des Nations Unies.

 

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Mettre en place un partenariat mondial pour le développement

 

Le monde en 2015 sera le reflet de la façon dont les pays en en développement et les pays développés auront travaillés sur les objectifs de développement du millénaire. Assurer le succès d’une telle collaboration est le but de l’Objectif 8.

Les objectifs de développent du millénaire est un partenariat mondial pour le développement. Le plan précise qu'il est de la responsabilité première des pays en voie de développement de travailler vers la réalisation des sept premiers objectifs. Ils doivent faire leur part en assurant une plus grande responsabilité et une utilisation efficace des ressources. Mais pour que les pays en voie de développement réalisent les sept premiers objectifs, il est absolument critique que les pays développés honorent leurs engagements en assurant une aide de plus en plus efficace, alléger le fardeau de la dette et des règles commerciales plus justes, tout cela d’ici 2015.

Les pays développés ont promis il y a plus de trente ans de contribuer à hauteur0.7% de leur revenu national pour l’aide au développement, mais jusqu'ici seulement cinq pays ont réalisé cette cible (Suède, Norvège, les Pays Bas, Danemark, et Luxembourg). Il est temps que tous les pays développés augmentent leur participation et fixent une date limite pour réaliser 0.7% avant 2015.

 

QU’EST CE QUI DOIT ÊTRE FAIT

 

Les donateurs devraient concentrer l'aide vers la réalisation des OMD dans les pays en voie de développement qui en ont besoin et améliorer la qualité de leur aide en simplifiant les conditions pour les récipiendaires. Exiger des pays en voie de développement d'acheter des produits en provenance des pays donateurs est contre productif pour la croissance économique. Quoi de plus, les pays développés doivent ouvrir leurs marchés pour des produits des pays pauvres.

Les politiques commerciales actuelles exercent une discrimination à l’encontre des pays en voie de développement et sapent leurs chances de participer à l'économie mondiale. Trois quarts des personnes les plus désavantagées -900 millions -vivent en zone rurale et dépendent de l'agriculture pour vivre. Les subventions agricoles opérés par les pays développés conduisent à la surproduction mondiale qui diminue des prix mondiaux et détruisent les marchés dont dépendent les agriculteurs.

Beaucoup de pays en voie de développement sont également sous le poids de la dette. La dette devrait être annulée afin que les pays en voie de développement puissent investir dans la santé primaire et l'éducation ainsi que d'autres secteurs requis pour réaliser les OMD.

 

comment les jeunes sont affectes et impliques

 

Qui profitera davantage d'un meilleur monde en 2015 si ce n’est la la jeunesse ? La jeunesse des pays riches peut faire pression sur leurs gouvernements afin qu’ils augmentent les dépenses et l’appui aux OMD. Du fait que les jeunes des pays riches ont plus de privilèges et d'occasions, et sont plus conscient que leurs parents des questions sociales, environnementales et politiques.

Le huitième objectif est le seul a mentionné spécifiquement la jeunesse - l’une des cibles est liée à l’augmentation des possibilités d'emploi pour les jeunes. Dans un rapport publié l'Organisation internationale du travail (l'OIT) en 2004, le chômage des jeunes a été enregistré comme le plus élevé tout le temps. La moitié de la population au chômage ont entre 15 et 24 ans - ceci représente 88 millions de jeunes sans travail en 2003.

L'heure d'agir c’est maintenant ! Voici ce que les gouvernements devraient faire pour améliorer l'emploi des jeunes* (comme recommandé dans le rapport jeunesse et OMD disponibles dans la section Politique de la jeunesse) : Créer des offres d'emploi flexibles pour les jeunes, particulièrement les plus démunis; travailler pour fixer des conditions de travail décents pour tous les jeunes ; tout en créant des emplois et en mettant à jour des politiques d'emploi existantes, s’assurer que le travail soit utile, contribuant à la création des communautés durable et juste, et renforcer la confiance en soi et la dignité des jeunes.

 

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