Et voilà ! Le résultat c'est que les "peines" sont plus lourdes pour Zizou que pour Materazzi. S'il avait continué à jouer, il aurait écopé de trois matches de suspension alors que l'Italien en a deux. L'amende de Zidane est de 7500 CHF, celle de Mazeratti est de 5000. Il remplacera ses trois matches de suspension par trois jours humanitaires auprès des enfants et adolescents. Nul doute que ceci lui fera tout de même plaisir. Lui, l'idole des jeunes et qui leur rend bien cet amour.
Affaire Zidane/Materazzi : matches de suspensions,
amendes, travaux d'intérêt général malgré les regrets
par Fifa
Matches de suspension et amendes… telles sont les sanctions que la Commission de Discipline de la FIFA a prononcées aujourd’hui, jeudi 20 juillet 2006, dans le cadre de la procédure disciplinaire ouverte à l’encontre de Zinedine Zidane (France) et de Marco Materazzi (Italie) après leur altercation lors de la finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2006, le 9 juillet à Berlin. Par ailleurs, Zinedine Zidane s’est engagé à effectuer des travaux d’intérêt général pour la cause des enfants et des adolescents.
La Commission de Discipline, composée de cinq membres et présidée par Marcel Mathier (Suisse), a condamné Zinedine Zidane, pour avoir attaqué Materrazzi d’un coup de tête à la poitrine, à trois matches de suspension et une amende de CHF 7500. Sachant que Zidane met un terme à sa carrière, la commission a pris note que Zinedine Zidane s’engageait, au-delà des sanctions prononcées à son encontre, à se rendre disponible pendant trois jours auprès de la FIFA pour des activités humanitaires menées par l’instance dirigeante du football mondial en faveur des enfants et des adolescents. Materrazzi a quant lui été condamné pour sa provocation répétée à deux matches de suspension en équipe nationale ainsi qu’une amende de CHF 5000.
Conformément au Code disciplinaire de la FIFA, la FIFA avait accordé aux deux joueurs le droit d’être entendus. L’audition de Marco Materazzi avait déjà eu lieu, le 14 juillet, au siège de la FIFA. Zinedine Zidane a été interrogé aujourd’hui lors de la séance de la commission. Dans leurs déclarations, les deux joueurs ont unanimement admis que les propos de Materrazzi constituaient une atteinte à l’honneur mais qu’ils n’étaient pas de nature raciste. Lors de leurs auditions respectives, les deux joueurs ont également présenté leurs excuses à la FIFA pour leur comportement condamnable et ont regretté l’incident.
A la suite de l’incident entre Zidane et Materrazzi, l’arbitre Horacio Elizondo (Argentine) avait expulsé Zidane du terrain à la 110e minute de la finale de la Coupe du Monde. Les faits avaient été signalés dans l’oreillette à l’arbitre et ses assistants par le quatrième officiel, Luis Medina Cantalejo (Espagne), qui avait directement vu l’incident depuis sa position au bord du terrain (sans l’intervention de la vidéo). Les deux officiels étaient également convoqués à cette séance. Conformément aux dispositions, le quatrième officiel doit signaler à l’arbitre tout incident se produisant hors du champ de vision de l’arbitre et des arbitres assistants.
Divisions de la Communication de la FIFA
Zurich, le 20 juillet 2006
Sources : Fifaworldcup
Posté par Adriana Evangelizt
Vu la tête que Zizou faisait en sortant, il y a fort à craindre qu'il n'aura pas été exempté de "châtiments"... il a du batailler dur pour défendre sa cause mais certainement sans succès. Et comme c'est un garçon entier, cela se voyait sur son visage que les choses ne s'étaient pas passées comme il l'aurait souhaité...
Mondial: Zidane a été entendu par la Fifa et attend le verdict
Le Français Zinédine Zidane a quitté, jeudi à Zurich, le siège de la Fédération internationale de football (Fifa) après avoir été entendu durant près d'une heure et demie par la commission de discipline de la Fifa au sujet du coup de tête donné à l'Italien Marco Materazzi en finale du Mondial-2006.
Arrivé à 10h18 locales, l'ancien N.10 des Bleus désormais à la retraite est sorti du bâtiment de l'instance dirigeante du ballon rond à 12H06 locales.
Le visage grave et vêtu d'une chemise blanche, Zidane a quitté les lieux à bord d'une berline officielle de la Fifa sans un regard pour la soixantaine de journalistes venus du monde entier et les quelques supporteurs vêtus du maillot de l'équipe de France, la plupart d'origine suisse.
Il a été juste précédé par la voiture du président de la Fédération française de football (FFF), Jean-Pierre Escalettes, et du directeur général adjoint de la FFF chargé des affaires juridiques, Jean Lapeyre, qui l'assistaient durant son audition.
Les dix-neuf membres de la commission de discipline, présidée par le Suisse Marcel Mathier, doivent désormais délibérer avant d'officialiser leurs jugements en début d'après-midi, a indiqué la Fifa.
Ils avaient déjà auditionné Marco Materazzi, le 14 juillet. La confrontation prévue initialement entre les deux hommes, a été annulée au dernier moment par le Fifa, qui estime jusque-là avoir assez d'éléments pour juger l'affaire.
Le 9 juillet en finale de la Coupe du monde, Zinédine Zidane avait asséné un violent coup de tête à la poitrine de Marco Materazzi à la 110e minute, provoquant son exclusion.
L'Italie avait été sacrée championne du monde à l'issue de la séance des tirs au but (1-1, 5-3 t.a.b.).
Zidane avait expliqué avoir répliqué à des insultes de Materazzi adressées à sa mère et à sa soeur. L'Italien a reconnu avoir insulté le Français mais toujours nié avoir tenu des propos déplacés à l'attention de la mère du joueur.
Sources : AFP
Posté par Adriana Evangelizt
En espérant que Zizou sortira grandi de cette épreuve et que la culpabilité de Materazzi sera prouvée. Bien que cela risque être difficile. Il se pourrait quand même que si les dires de Zidane ne correspondent pas à ceux de Materazzi, il y ait une confrontation. Ce serait normal, d'ailleurs...
Zidane défend sa cause
Par AXEL CAPRON
De Sports.fr
C'est ce jeudi à 10h30 que Zinédine Zidane est attendu au siège de la Fifa à Zurich pour s'expliquer devant la commission de discipline sur son désormais célèbre coup de tête à l'encontre de l'Italien Marco Materazzi en finale de la Coupe du monde. Le jeune retraité, qui sera accompagné du président de la FFF, Jean-Pierre Escalettes, devrait reprendre l'argumentaire développé sur Canal + en mettant l'accent sur le rôle de provocateur du joueur de l'Inter. La Fifa pourrait rendre son verdict en fin de journée...
Feuilleton Zidane-Materazzi, suite et fin? Devenu aussi célèbre que ses deux buts en finale de la Coupe du monde en 1998 face au Brésil ou sa fabuleuse reprise de volée avec le Real Madrid en finale de la Ligue des champions 2002 face à Leverkusen, le coup de tête asséné par Zinédine Zidane au défenseur italien Marco Materazzi le 9 juillet dernier en finale de la Coupe du monde à Berlin devrait trouver son épilogue ce jeudi à Zurich, où le jeune retraité est attendu pour s'expliquer devant la commission de la discipline de la Fifa.
Une petite semaine après avoir entendu le joueur de l'Inter, qui a donné sa version des faits sur l'air de "c'est pas moi qui a commencé, c'est lui", c'est donc au tour de l'ancien capitaine des Bleus de revenir dans le cadre officiel de la commission de discipline sur cet incident dont les images ont fait plusieurs fois le tour du monde, accompagnées sur Internet d'interprétations diverses et variées, du jeu consistant à faire tomber le plus de Materazzi possible avec son Zidane maniable au «best of» des tacles et autres coups de coude de l'Italien en passant par la chanson "Zidane, il a tapé", pastiche du célèbre "Zidane, il va marquer".
"Le coupable, c'est celui qui provoque"
Accompagné du président de la Fédération Française de Football, Jean-Pierre Escalettes, mais également de Jean Lapeyre, directeur juridique de la FFF, l'ancien joueur du Real Madrid devrait développer devant ses juges l'argumentaire avancé le mercredi 12 juillet sur le plateau de Canal +, à savoir qu'il a certes eu une réaction inadéquate ("J'ai réagi et bien sûr que ce n'est pas un geste à faire"), mais que tout ceci n'a été que le résultat de la provocation verbale d'un joueur qui a clamé le 14 juillet dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport son "respect pour toutes les mères".
"Ce que j'ai envie de dire, c'est que l'on parle toujours de la réaction, avait expliqué Zidane sur Canal +. Forcément elle est punissable et elle doit être punie. Mais s'il n'y a pas provocation, il ne peut pas y avoir une réaction. Il faut sanctionner le vrai coupable, et le coupable, c'est celui qui provoque." Les membres de la commission de discipline seront-ils sensibles aux arguments d'un homme qui ne joue pas grand chose dans l'affaire, puisque la seule sanction, autre que pécuniaire (que valent 3000 euros pour lui?), qu'ils peuvent éventuellement lui infliger est le retrait de son titre de meilleur joueur de la Coupe du monde ?
Pas sûr, tant la preuve des insultes semble difficile à apporter, tout étant dans cette affaire une question de parole contre parole. Le défenseur de l'Inter Milan pourrait de son côté se voir infliger quelques matches de suspension au terme de cette journée, qui, espérons-le, marquera la fin d'une affaire qui a trop duré...
Sources : AFP
Posté par Adriana Evangelizt
Un article venu d'Afrique...
La part d'ombre d'un génie
par Marwane Ben Yahmed
Zinédine Zidane est un homme, un vrai… De ceux qui ne se laissent pas marcher sur les pieds, refusent l’injustice et placent une certaine conception de l’honneur au-dessus de tout. Pendant une dizaine de secondes, ce 9 juillet, en pleine finale de Coupe du monde et devant deux ou trois milliards de téléspectateurs, l’icône, le dieu du stade adulé aux quatre coins de la planète, est redevenu simple mortel.
À la 110e minute du match, le défenseur italien Marco Materazzi le provoque, l’insulte. Zidane préfère d’abord s’éloigner, ne pas répondre. Puis il se retourne brusquement, revient vers son adversaire et lui assène un violent coup de tête en plein thorax. L’Italien s’écroule. Une caméra a filmé la scène qui repasse en boucle sur les télés du monde entier. L’arbitre central n’a rien vu, mais son assistant, le quatrième arbitre, l’appelle et lui décrit la scène. La sanction tombe : carton rouge, synonyme d’expulsion. Zidane abandonne ses partenaires et regagne son vestiaire. Il ne réapparaîtra plus de la soirée, pas même pour recevoir sa médaille de finaliste. L’Italie est championne du monde et Zidane, qui a annoncé depuis longtemps qu’il mettrait fin à sa carrière après la Coupe du monde, quitte la scène par la petite porte.
En apparence, du moins. Car l’affaire du « coup de boule » va très vite prendre une dimension planétaire (voir aussi, p. 98, le Post-scriptum de Zyad Limam) et occulter totalement - sauf en Italie, bien sûr - la victoire des Azzuri. En France, mais aussi en Allemagne, en Angleterre, en Espagne, au Brésil, en Argentine, en Algérie et même au Japon, on ne parle que de cela. Qu’est-ce qui a bien pu se passer dans la tête du capitaine des Bleus ? Pourquoi, à dix minutes de la fin du match et de sa carrière, a-t-il commis ce geste impardonnable, incompréhensible ? Les éditorialistes les plus sérieux y vont de leurs commentaires, certains journaux européens s’offrent les services de soi-disant experts en « lecture labiale » pour tenter de découvrir ce que Materazzi lui a dit. Des psychologues de renom sont mis à contribution pour tenter de reconstituer les méandres du cerveau de « Zizou ». Tout y passe : l’Italien l’aurait traité de terroriste, de sale musulman, aurait insulté sa mère, sa sœur, sa femme, son père... Materazzi confirme l’avoir insulté, mais nie toute provocation raciste ou même avoir fait référence à sa mère. « Il ne me viendrait pas à l’idée d’offenser la mère de qui que ce soit. J’ai perdu la mienne à l’âge de 15 ans », explique-t-il, deux jours après la finale.
Zidane, lui, garde le silence. Jusqu’au 12 juillet, date anniversaire de la victoire de la France lors de la Coupe du monde 1998. Ce jour-là, il accorde deux interviews à Canal+ et TF1. Il y apparaît tel qu’il est vraiment : timide, peu à l’aise dans ce genre d’exercice, mais entier : « Mon geste n’est pas pardonnable. […] Bien sûr, que ce n’est pas un geste à faire. Forcément, auprès des millions d’enfants qui l’ont vu et des éducateurs qui sont là pour les éduquer, je m’en excuse. » Il indique toutefois « ne pas regretter » ce coup de tête, parce que « cela voudrait dire qu’il [Materazzi] avait raison de dire tout cela. Et non, il n’a pas raison ! » Interrogé sur la teneur exacte des propos du défenseur italien, Zidane élude : il s’agissait « de choses très personnelles » : « Cela touche à la maman, à la sœur. Vous les écoutez une fois, vous essayez de partir. Vous écoutez deux fois, et puis, à la troisième… » Zidane parle, mais ne dit pas grand-chose qu’on ne savait déjà. Mais il est calme, s’explique avec une certaine humilité et reconnaît son erreur. Il présente des excuses, mais ne regrette rien. Quand Michel Denisot, le journaliste de Canal+ que Zidane a lui-même choisi parce qu’il le connaît bien et a confiance en lui, lui demande : et si c’était à refaire ? Il dribble et ne répond pas. Ce qui laisse à penser qu’il aurait pu répondre « oui, je le referais ».
Comment ne pas lui pardonner ? C’est en tout cas ce que font, à en croire un sondage, 61 % des Français. Jacques Chirac l’encense pour l’ensemble de son œuvre. Depuis Londres, où il est en visite, Abdelaziz Bouteflika lui adresse un message pour le consoler, le remercier et l’inviter à se rendre en Algérie. La simplicité de ses explications redonne à ce demi-dieu vivant une dimension humaine. Ce quatorzième carton rouge de sa carrière - chiffre largement supérieur à la moyenne pour un meneur de jeu - confirme qu’il n’est qu’un homme comme les autres, fragile, sensible, volontiers impulsif. La récente hospitalisation de sa mère (à laquelle il est très attaché), la pression d’une finale de Coupe du monde conjuguée à celle de ses adieux au football professionnel… Tout cela explique en grande partie qu’il ait perdu ses nerfs. Mais ne l’excuse en aucune manière (même si Hamid Barrada - voir encadré ci-dessus - est d’un avis sensiblement différent).
L’« affaire Zidane » révèle au grand jour, si besoin en était, la part d’ombre de ce joueur de génie, incapable de se contenir en dépit de l’enjeu et de l’exemple qu’il se doit de donner en toutes circonstances. Ce fut déjà le cas un soir d’avril 2005, quand, malgré la présence de dix-sept caméras mobilisées pour la réalisation du film Zidane, un portrait du XXIe siècle, il ne put s’empêcher, au cours d’un match Real Madrid-Villarreal, de participer à une échauffourée… et de récolter - déjà ! - un carton rouge.
Ce côté obscur hérité de son adolescence dans les quartiers nord de Marseille, où il faut savoir se faire respecter et où l’honneur se défend à coups de poing et… de tête, participe de sa légende, autant que son talent, sa modestie et son attachement aux valeurs simples de la famille et du travail. Les spécialistes l’ont toujours su. Désormais, la planète entière le sait aussi.
Sources : Jeune Afrique
Posté par Adriana Evangelizt
Voilà un article qui nous touche profondément et jusqu'au fond du coeur car il est écrit par un Monsieur qui n'est pas n'importe qui dans le sens où, Pascal Boniface, Directeur de l'IRIS, est un homme profondément humain qui pose sur le monde un regard pétri de vérité. Comme quoi Zinedine Zidane ne touche pas que le monde du football. Il le dépasse par son Humanité, son humanisme, sa gentillesse, sa modestie... et de nombreuses personnes y sont sensibles.
Zidane a une place à part
par Pascal Boniface
Directeur de l'IRIS
Institut de Relations Internationales et Stratégiques
A côté de Pelé ou de Maradona, «Zizou» incarne d’autres valeurs, comme la modestie ou la simplicité. Une exception dans un monde où la fracture entre les élites et le peuple s’élargit.
Au panthéon des sportifs, Zidane est en passe d’obtenir une place tout à fait particulière, non seulement dans le cœur des Français mais aussi chez tous les citoyens du monde. Le fait qu’il soit un des champions emblématiques du sport le plus universel ne constitue pas une explication suffisante. Les qualités humaines de Zidane comptent tout autant pour son hyperpopularité que ses prouesses techniques. Ce sont elles qui le distinguent des autres légendes du sport.
Maradona représentait pour les Argentins, la revanche des faibles. Pour cela, on lui pardonnait ses excès. Pelé était le symbole d’une société brésilienne harmonieusement métissée. Le premier incarnait la révolte, le second la non-contestation du pouvoir. Zidane n’est ni l’un ni l’autre.
Ce qui fait qu’il restera une icône bien après le 9 juillet, c’est son caractère profondément humain et son extrême simplicité. Voilà un homme connu dans le monde entier, qui a pourtant la discrétion de votre voisin de palier. Il donne l’image d’une intégration réussie grâce au talent et au travail au moment où l’intégration fait débat en France. Zidane a réussi, sans trahir ses origines et en restant lui-même. Il incarne des valeurs qui semblent en perdition et auxquelles les gens ordinaires sont attachés : le respect des parents, le goût du travail, le sens du collectif. La façon presque timide avec laquelle il a exprimé l’amour qu’il a pour sa mère à la télévision après la victoire contre l’Espagne ne peut qu’émouvoir au plus profond. Champion mondial, et aussi fils modèle et père modèle. Loin des frasques de certaines stars du ballon rond, il célèbre les valeurs familiales.
Alors que certains grands patrons et vedettes du show-biz, par leurs comportements, semblent croire que les règles ne sont pas faites pour s’appliquer aux puissants, Zidane représente le symbole de la modestie et de l’attention portée aux autres. A ceux qui affichent une arrogance doublée d’une indifférence au sort de ceux qui n’ont pas réussi, il renvoie l’image d’un succès qui ne s’est pas construit au détriment des autres mais pour les autres. Après sa carrière, il ne fera sans doute pas une reconversion de manager, comme Killy ou Platini. Sa préférence va à l’engagement dans les causes consensuelles telle l’assistance aux enfants malades. Il est évident qu’il le fait avec sincérité, et non pour des questions d’image. Nul doute qu’il deviendra un formidable ambassadeur de la paix ou pour l’enfance auprès de l’ONU ou de toute institution internationale.
Au moment où, en France comme ailleurs, la coupure entre les élites et les peuples n’a jamais été aussi grande, où la morgue des nantis n’a jamais été ressentie aussi cruellement par ceux qui ne le sont pas, Zidane, fils du peuple, devenu icône mondiale, a conservé la simplicité de ses origines. Il est pour cela non seulement admiré mais aussi respecté.
Pascal Boniface de l’IRIS
Sources : La Nouvelle République
Posté par Adriana Evangelizt