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Après les honneurs, Zidane redescend dans l'arène Publié le Dimanche 10 Août 2008 à 19:33:35

 

 

Algérie: après les honneurs officiels, Zidane redescend dans l'arène


Par Hassen ZENATI





ALGER (AFP) - Après les honneurs officiels, l'ex-capitaine de l'équipe de France de football, Zinédine Zidane, retrouve le terrain jeudi, avant dernier jour de sa visite triomphale en Algérie, pour donner le coup d'envoi d'une rencontre de première division au stade olympique du 5 juillet.

Malgré la pluie et une brutale chute de température sur la capitale, quelque 60.000 spectateurs sont attendus dans cette arène nationale aux tribunes découvertes, construite en 1975 pour accueillir les jeux Méditerranéens qui s'étaient achevés par une finale France-Algérie (2-3), restée gravée dans les mémoires des Algériens.

L'ancien stratège des Bleus avait émis le voeu de visiter ce stade et d'assister à une rencontre mettant aux prises une équipe de la capitale, l'Union sportive de la Médina d'Alger (USMA) et la Jeunesse sportive de la Médina de Béjaïa (JSMB).

La JSMB est le principal club de football de Petite Kabylie, berceau des Zidane. "Je voulais retrouver des sensations, entendre des clameurs", a-t-il dit à la presse mercredi.

Mercredi, au troisième jour de sa visite en Algérie, Zidane a reçu des mains du président Abdelaziz Bouteflika la plus haute distinction de l'Ordre du mérite algérien, la médaille Al-Athir (signifiant en arabe l'élu), l'équivalent algérien de la Légion d'honneur française.

L'ensemble des journaux algériens ont publié en "une" une photo du président Bouteflika épinglant la médaille Al-Athir sur le revers de la veste de Zidane au Palais du peuple.

"Zidane élevé au rang de héros national", écrit Liberté. "Zidane honoré par les siens", souligne el-Watan, "Zidane honoré par le président", titre de son côté el-Moudjahid.

La distinction, créée en janvier 1984, a été décernée à titre posthume à des combattants de la guerre d'indépendance (54-62), à de hauts responsables, ainsi qu'à des chefs d'Etat étrangers, dont ceux du Brésil, du Pérou, de Corée du sud et du Chili.

Le président Bouteflika avait auparavant offert un déjeuner en l'honneur de son hôte au Palais du peuple, résidence des invités de l'Etat, en présence des vétérans de l'équipe de football du Front de Libération Nationale (FLN), des joueurs professionnels algériens qui avaient abandonné leur équipe en France pour rejoindre les rangs de la résistance algérienne.

Mercredi soir, Zidane avait été reçu à la "Résidence des Oliviers" par l'ambassadeur de France Bernard Bajolet, qui avait salué en lui "un grand français", en soulignant qu'il "constituait un pont entre les peuples français et algérien".

C'est la première visite de Zidane en Algérie depuis qu'il a accédé à la notoriété internationale. La vedette du football mondial, accueillie triomphalement depuis son arrivée lundi, n'était venue auparavant qu'une seule fois en Algérie à l'âge de 15 ans, en compagnie de ses parents.

Dans la matinée de jeudi, Zidane doit visiter des hôpitaux à Béjaïa, avant de regagner Alger pour assister à la rencontre USMA-JSMB.

Il est attendu vendredi ensuite à Aguemoun, le village natal de ses parents avant de regagner la France en fin de journée, selon son programme.

 

Sources Yahoo fr

Posté par Adriana Evangelizt

Afficher le commentaire. Dernier par achetez en ligne vos jeux, jouets le 20-07-2013 à 10h09 - Permalien - Partager
Zidane, honoré par les siens Publié le Dimanche 10 Août 2008 à 19:34:14

 

 

Quel bonheur de le voir parmi les siens et sur la terre de ses ancêtres... comme ils doivent être heureux tous ces jeunes, tout ce Peuple... oui, une grande joie Zizou de te voir si aimé et si humble...

Zidane reçoit la médaille du mérite Al Athir

des mains du président Bouteflika


Honoré par les siens

par Slimane M.


La star du football mondial, Zinedine Zidane, a été décorée, hier, de la médaille du mérite Al Athir (la plus haute distinction algérienne) par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, lors du troisième jour de sa visite en Algérie, son pays d’origine.

Accompagné de sa mère Malika et de son père Smaïl au siège de la présidence à El Mouradia (Alger), Zidane a été reçu par le président de la République lors d’une audience dont le contenu n’a pas été divulgué. A l’issue de cette audience, Zizou a déclaré brièvement : « C’est une audience symbolique, aussi bien pour moi que pour mes parents et je suis surtout heureux d’être venu en Algérie parce que je suis l’invité du président Bouteflika. Je suis content et heureux d’avoir partagé un moment avec Monsieur le Président ».

Ensuite, il a été convié à un déjeuner offert en son honneur au Palais du peuple en présence de membres du gouvernement et de hautes personnalités politiques et sportives, à l’issue de laquelle il a reçu des mains du président de la République la médaille Al Athir. Cette médaille est décernée « en reconnaissance de votre notoriété exceptionnelle que vous avez édifiée avec une volonté et une sportivité uniques en leur genre », souligne le texte lu lors de la cérémonie de remise, au Palais du peuple. Elle est aussi une « reconnaissance de votre respect des règles du jeu et de l’admiration qu’on vous doit et en raison de l’exemple que vous constituez pour la jeunesse algérienne. La médaille Al Athir constitue également une reconnaissance de votre attention particulière, de votre générosité, de votre solidarité effective avec les plus démunis, ainsi que votre attachement affirmé à votre pays d’origine, du respect et de l’admiration que vous vouez au peuple algérien dont vous faites partie », ajoute le texte. Zidane n’a, en effet, jamais renié ses origines même s’il n’est plus revenu au pays depuis l’âge de 14 ans (1986) pour des obligations professionnelles.

Mardi, lors du point de presse tenu à l’hôtel El Djazaïr (ex-Saint George), il a déclaré : « J’ai voulu venir un peu plus tôt, mais j’ai dû reporter mon voyage à cause de mon programme sportif très chargé. Je ne voulais pas effectuer mon voyage dans la précipitation et pour un laps de temps », a-t-il souligné en guise de son attachement au pays de ses origines. Lors de ses différentes visites dans les wilayas d’Alger et de Boumerdès, Zizou était très ému par l’accueil chaleureux qui lui a été réservé par ses fans qui l’ont soutenu même dans les moments les plus difficiles, notamment après son expulsion en finale du Mondial allemand 2006. Etaient présents à la cérémonie de remise de la médaille Al Athir les anciens joueurs de l’équipe de football du Front de libération nationale (FLN) qui ont offert à Zidane une photo de l’équipe du FLN d’il y a plus de quarante ans. Après la cérémonie, le président Bouteflika et Zinedine Zidane ont pris une photo de famille avec les anciennes gloires du football algérien qui étaient présentes. En fin de journée, Zidane a été également reçu par l’ambassadeur de France en Algérie.

Slimane M.

Sources El Watan

Posté par Adriana Evangelizt

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20 ans après, Zizou retourne au village... Publié le Dimanche 10 Août 2008 à 19:35:05

 

 

20 ans après, Zizou retourne au village…

 


Zinedine Zidane devra atterrir aujourd’hui à Béjaïa pour une courte visite qui le conduira dans les deux structures hospitalières que compte la ville.

La star mondiale n’est attendue que demain dans la région natale de ses parents, le village Aguemoun, dans la commune de Boukhelifa. Un village qui demeure l’épicentre de cette fièvre qui étreint toute la région notamment depuis lundi, jour où le fils prodige a foulé le sol algérien.

Aguemoune en ébullition

A l’image des autres localités de la wilaya, Aguemoune, dépendant administrativement de la commune de Boukhelifa, a vécu toute la semaine au rythme de ce grand événement. Un proche de la famille de Zidane dira : « Nous avons effectué tous les préparatifs nécessaires à la visite de notre enfant pour lui permettre de redécouvrir son village natal et voir les enfants de son village, comme il l’a souhaité. Il sera accueilli comme un héros, avec la tradition de la région, à savoir le couscous kabyle, bien qu’il n’ait pas l’habitude de le manger là-bas (en France). C’est des moments d’émotion et de souvenirs que nous allons vivre ensemble pour quelques heures seulement, mais que nous n’oublierons jamais. » Pour sa part, le président de l’APC de Boukhelifa, Abdellah Zerouklane, souligne : « Je pense que la visite de Zidane revêt un cachet particulier pour nous, dans la mesure où il permettra à cette région de sortir de l’anonymat. Nous souhaitons qu’elle nous apportera beaucoup de biens surtout en matière de projets de développement local. »

Par ailleurs, les jeunes du village attendent toujours la concrétisation des promesses faites par le ministre Djamal Ould Abbas lors de sa visite en juillet dernier, intervenue au lendemain de la transmission de la lettre du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à Zinedine Zidane. Pour rappel, Ould Abbas avait demandé aux autorités locales de procéder à la création d’un club sportif au nom d’Aguemoune Zidane, promettant une aide matérielle (des équipements). Promesse non tenue, confirmée par les jeunes du village au cours de notre visite cette semaine.

La virée de Zidane à Béjaïa sera consacrée, d’après le programme transmis, à la visite des hôpitaux Khellil Amrane et Frantz Fanon. Deux structures où la star mondiale, dont la visite s’inscrit également dans le cadre de l’action caritative, s’intéressera à la petite enfance. Selon nos informations, le service pédiatrie de l’hôpital central et la pouponnière, installée dans les locaux de son annexe en haute ville, devraient faire l’objet d’intérêt particulier. Beaucoup de Béjaouis se surprennent à subodorer des moments où ils pourront enfin apercevoir l’idole dans les rues de la ville, même si les échos médiatiques parvenus concernant les premières journées de la visite donnent la star comme étant hyper entourée dans les diverses étapes de ses déplacements.

Le programme de la visite circonscrit à la seule matinée, Zidane devrait rejoindre Alger en milieu de journée où il devrait, entre autres, donner le coup d’envoi à la rencontre USMA-JSMB au stade du 5 Juillet. Le rendez-vous avec l’émotion n’est donc pris que pour le lendemain au village Aguemoun. Le moment saillant de la visite pour beaucoup d’observateurs. Lors de sa conférence de presse à l’hôtel El Djazaïr, Zinedine Zidane a déclaré son impatience de retrouver ce coin enfoui dans le silence, à quelques encablures de la côte est de Béjaïa. Même si le programme de la visite reste de bout en bout piloté par la présidence de la République, les villageois se disent bien décidés à marquer de leur spontanéité le rendez-vous. Un déjeuner avec des mets traditionnels est en effet prévu, comme pour répondre au vœu de Zidane de retrouver « certaines saveurs de l’enfance et le goût du pain kabyle ». Une virée durant laquelle il sera difficile pour la star d’avoir des moments d’intimité avec l’entourage, tant l’événement, outre les processions de fans attendues, suscite l’intérêt des médias nationaux et internationaux et fait l’objet d’une gestion stricte des autorités.

Sources
El Watan

Posté par Adriana Evangelizt

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Zidane, l'Agérien vu de Paris... Publié le Dimanche 10 Août 2008 à 19:36:09

 

 

Et oui... les  médias français, c'est reconnu, ne sont bons qu'à colporter des ragots ou à désinformer la plupart du temps... ainsi le voyage de Zizou, sous leur clavier, tourne à l'accusation politisée. Zidane soutient Bouteflika. Ils sont tellement nuls qu'ils ne méritent que mépris, voilà ce que nous en pensons ! On t'aime Zizou !

Zidane, l’Algérien vu de Paris...

par Hassan Moali


Que le premier pèlerinage du magicien Zinedine Zidane, en terre de ses parents suscite commentaires et enchaînements de mots et d’images est tout à fait normal.

A Alger comme à Paris. Que ce grand retour ait donné lieu à des scènes enivrantes de délire de la part de ces milliers de jeunes Algériens qui réclament en « live », cette fois, leur « part » de Zizou est également compréhensible. Ce qui ne l’est pas moins, ce sont ces commentaires à la limite de la correction de certains médias de l’Hexagone qui voulaient jouer les trouble-fêtes. Les rabat- joie. Et dans ce registre, Libération, connu pour ses titres caustiques et géniaux, a lancé un hasardeux : « Zidane Boutefliké ». La dimension humanitaire du voyage de Zinedine en Algérie s’en trouve ainsi réduite à un prétendu soutien à la politique du président Bouteflika. Au-delà du fait que Libé commet un parallèle tiré par les cheveux, c’est dans le même temps une insulte gratuite à un homme au grand cœur que la politique n’a jamais pu détourner dans sa marche inébranlable sur les chemins de la gloire.

Porter à Zidane l’estampille de « pro-Bouteflika » est, en effet, un raccourci que rien ne justifie sinon que Libé possède ce réflexe caractéristique qui consiste à atteler les bonheurs et les malheurs - c’est selon - de l’Algérie à la nature de son régime. « Le premier voyage en Algérie depuis vingt ans de la star du foot, icône de la jeunesse locale, tourne à la visite d’Etat confisquée par le Président... ». Pourtant, Bouteflika a attendu le troisième jour pour le recevoir… Si ce célèbre journal s’est limité à dénoncer la politique de Bouteflika, cela n’aurait ému personne, tant Libé est dans son rôle et que le Président est brocardé ici-même en Algérie. De là à lui contester le droit de recevoir une star de la trempe de Zizou, venue aider ses « concitoyens », le propos paraît un peu déplacé. Et si Bouteflika avait agi autrement ? On aurait sans doute glosé sur un président arrogant qui n’aurait pas eu la correction de recevoir une icône mondiale qui plus est, est d’origine algérienne… Mais dans un cas comme dans l’autre, les commentaires semblaient fin prêts pour être servis chauds. Si à gauche, Libé a sorti son artillerie lourde sous la plume de l’inévitable José Garçon, à droite, c’est Le Figaro qui s’est chargé de porter le coup d’estoc. La visite de Zidane ne serait donc qu’une « opération de charme » à travers laquelle Bouteflika vise un double objectif : « Disputer à son ami Chirac la citoyenneté de la star mondiale, et empêcher les Kabyles d’en faire un porte-drapeau de leur contestation permanente… » S’il n’est pas interdit de prêter au Président des calculs politiques qui consistent à tenter de tirer des dividendes de ce crochet algérois de Zizou, il n’est pas non plus permis de rouler Zidane dans une farine qui servirait la cuisine interne de Bouteflika.

En l’occurrence, la superstar du foot est définitivement française de nationalité comme elle est tout autant algérienne de cœur. Pourquoi donc aucun Algérien, pas plus que la presse française d’ailleurs, n’a trouvé à redire quand Chirac a reçu Zidane et sa femme au lendemain de sa victoire en Coupe du monde en 1998 ? Il a fallu que Bouteflika le reçoive pour que l’on crie à la manipulation et à la récup. Hier encore, la vedette a été reçue loin des projecteurs à l’ambassade de France à Alger. Va-t-on donc lire les mêmes commentaires dans la presse française d’aujourd’hui ? Pas moins sûr. Les Algériens, Bouteflika compris, n’ont finalement fait qu’exprimer la reconnaissance d’un pays à l’un de ses enfants qui les a fait rêver et a boosté leur fierté par le seul fait qu’il soit de leur « bled ». Aussi ? Mettre sur les frêles épaules de Zizou le règlement du lourd dossier de la contestation kabyle est quelque part une insulte à sa nature d’homme réservé et politiquement très incorrect.

Tout compte fait, la présence « négative » de Zidane en Algérie, vue de Paris, a ceci de positif : de montrer qu’un aussi grand génie du foot peut réussir à rapprocher deux peuples autour de son image et son héritage, contrairement aux politiques qui se regardent en chiens de faïence. La preuve ? Zidane a été fait chevalier de la Légion d’honneur en France, et décoré de l’Ordre du mérite national en Algérie. Un vrai « Francalgérien », un bel exemple de refondation.

Sources
El Watan

Posté par Adriana Evangelizt

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Zidane se dit fier d'être algérien Publié le Dimanche 10 Août 2008 à 19:38:23

 

 

Zidane se dit "fier d'être algérien"

par AREZKI AÏT-LARBI.

 

 

 

L'ex-capitaine des Bleus finance des programmes humanitaires dans le pays de ses ancêtres.

 
AU DEUXIÈME JOUR de son périple mené au pas de charge, Zinédine Zidane continue d'être acclamé comme un héros. À Boumerdès, département dévasté par un violent séisme en mai 2003 où il a inauguré un service hospitalier et une pouponnière, comme au CHU Mustapha d'Alger, où il a visité le Centre Pierre et Marie Curie spécialisé dans le traitement du cancer, on se bouscule pour apercevoir la star mondiale, à défaut de l'approcher. Comme un faiseur de miracles, l'ex-capitaine des Bleus a redonné l'espoir aux malades et le sourire aux enfants abandonnés. N'a-t-il pas réussi déjà à ramener les plus ombrageux des nationalistes du FLN, à vibrer par deux fois, en 1998 et en 2006, pour l'équipe de France ?

À la foule qui scande : « Vive Zizou ! Vive l'Algérie ! », et parfois « Vive Imazighen (berbères) », il répond par des sourires intimidés. « Je suis fier d'être algérien, et je suis heureux d'être au milieu de tout ce monde », confie-t-il, ému, aux journalistes qui tentent de franchir l'imposant service d'ordre pour lui arracher quelques mots. Il a aussi souhaité que « l'Algérie redevienne la terre paisible qu'elle a toujours été » dans une allusion à la violence islamiste. Son père, Smaïl, est sur un nuage. Ce modeste ouvrier, qui avait émigré dans les années 1960 pour nourrir sa famille, avait du mal, il y a à peine une décennie, à rencontrer le maire de Boukhélifa, petite commune de montagne de sa Kabylie natale.

Depuis, les choses ont bien changé. En lui déroulant le tapis rouge, Abdelaziz Bouteflika a sans doute bien calculé son coup ; une opération politique qui risque d'écorcher l'image de Zizou. « On ne peut refuser une invitation ! » répond Smaïl Zidane aux mises en garde de ses proches, qui redoutent une récupération. Malgré un malaise apparent, cette sollicitude du président, qu'il avait admiré comme beaucoup de ses compatriotes lorsqu'il était jeune ministre des Affaires étrangères de l'Algérie fraîchement indépendante, est une revanche qui le comble de bonheur.

Le retour de l'enfant prodigue 

Pris dans le tourbillon festif et la joie qui les entoure, les Zidane ont fait fi des calculs politiques pour se consacrer à l'essentiel : l'action humanitaire et le retour sur la terre des ancêtres. Même si la présence de Djamel Ould Abbas devient pesante. Le ministre de la Solidarité, chargé de « guider » l'hôte officiel dans sa tournée et de distribuer la bonne parole, ne manque pas une occasion pour rappeler aux journalistes « le rôle du président dans le retour de l'enfant prodigue ».

Clou de la visite, le « programme spécial », concocté par la présidence pour la journée de mercredi et gardé secret, ne manquera pas de surprises. Après une discussion à bâtons rompus avec le chef de l'État suivi d'un déjeuner auquel prendront part des officiels et des invités triés sur le volet, Zinédine Zidane sera décoré de l'ordre de « Athir », la plus haute distinction algérienne. Une façon pour les barons du régime de revendiquer leur part de gloire de la star planétaire. Même si les binationaux, accusés d'être la « cinquième colonne du néocolonialisme », continuent de nourrir les fantasmes des maquisards de la 25e heure.

 Sources Le Figaro
 

Posté par Adriana Evangelizt

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