Joby Valente
Antillaise d'origine martiniquaise, Joby Valente est une grande chanteuse, mais aussi une militante associative et une battante sur le terrain, quand il s'agit de défendre la cause communautaire. Grâce à 'Un parfum des Caraïbes", une dédicace faite à sa grand-mère, Corinne Touzet, la productrice, en donnant une chance à Joby Valente, renouait avec ses origines martiniquaises par son père et sa grand-mère.
Joby, est-ce le début d'une nouvelle carrière ?
Pourquoi pas puisqu'il est vrai que j'ai fait de la chanson et du théâtre. Certains comédiens et metteurs en scène m'ont même dit que j'étais une actrice, puis j'ai attendu mais je n'ai rien vu venir. Comme je crois à la Divine Providence, je pense que l'heure est arrivée. Corinne Touzet ma choisie, je lui en suis reconnaissante car c'est une jeune femme qui a un nez extraordinaire. Elle était très contente de ne pas s'être trompée. Pour moi, ce fut extraordinaire et, effectivement, pourquoi ne pas continuer ma carrière en tant qu'actrice...
Avec un tel téléfilm, espérez-vous avoir apporté une pierre à l'édifice des comédiens de la Caraïbe ?
Je le crois, car il est vrai nous avons eu de grands acteurs qui, bien avant moi, ont montré ce dont nous étions capables. Une fois, je me suis trouvée dans une réunion à l'institut du Monde Arabe, à laquelle assistaient des directeurs de chaînes de télévision et de différents médias. Quelle n'a pas été ma stupeur d'entendre un de ces directeurs dire — car on disait alors que les écrans de France étaient trop pâles"— qu'il n'existait pas de comédiens noirs de plus de 40 ans. Je crois que Corinne lui a prouvé qu'il en existait plusieurs parce que tous les comédiens qui se sont faits remarquer dans "Un parfum des Caraïbes" avaient tous plus de quarante ans. C'est une porte ouverte à notre requête, dans la mesure où les gens de notre communauté trouve que l'écran est trop pâle. Je ne crois pas que ce serait une faveur car chacun de nous a fait le maximum nous avons prouvé que nous étions de bons comédiens.
je te dis bravo cher blogautonome , j'aime ton blog et je t'en félicite, j'ai visité comme tu me l'as demandé ton blog à cette adresse là, http://www.aufeminin.com/blog/radio4jl je fus bluffé, tu es génial , tes sujets sont bons encore une fois bravo. soleil en sourire.
Cher soleil en sourire, à mon tour de te dire merci pour ton petit commentaire, et tes smileys qui font chaud au coeur? comme prévu, je publis l'intégralité de ton message à bientôt pour tes messages à cette adresse 4jlproduction@neuf.fr
Bonjour chers blogautonome
je répond à ta question qui est la suivnte :
Question: comment admettre que cette race de valeureux hommes ce soient soumis ainsi
À l'autorité de gens dix millions de fois moins courageux et moins puissant qu'eux ?
par ce texte de véronique que j'ai trouver sur son site
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Jeunes d'Afrique, jeunes de ce continent noir, je ne suis pas le chef d'État d'une de ces grandes puissances du monde, mais moi aussi je suis venue vous parler en vérité. Je voudrais vous parler « avec la franchise et la sincérité » que je vous dois, car même en n'étant pas un grand président de ce monde « je vous aime », et je suis semblable à chacun de vous. Vos problèmes sont les miens, vos peurs les miennes, vos frustrations je les connais, elles sont les miennes, je les partage, je vis votre douleur et votre peine. Je suis de votre génération, cette même terre qui vous a portés m'a aussi bercée. Et je fais partie comme vous de cette génération qui cherche ses voies...dans ce monde globalisé. Et je voudrais en tant que membre et au nom de cette génération qui est la mienne, ne pas trahir ce que je pense être ma mission. Et ceci en toute fidélité avec cette pensée de Frantz Fanon que je partage totalement : « chaque génération doit dans une relative opacité découvrir sa mission, la remplir ou la trahir ». Aujourd'hui, jeunes d'Afrique, beaucoup de personnes veulent nous parler en vérité, nous amener à nous approprier le présent pour mieux entrer dans le futur : noble et louable entreprise. Belle générosité vis-à-vis de la jeunesse de ce peuple toujours en attente. OUI jeunes d'Afrique, jeunes Noirs, nous devons véritablement entrer dans ce présent pour mieux préparer notre futur. Mais comment entrer dans ce présent si notre histoire est chaque jour falsifiée par les mêmes qui veulent nous aider à bien entrer dans le présent ? Comment négocier cette entrée quand chaque jour nous est rappelé à force de mots bien répétés et assenés notre condition de « sous-homme », de « bêtes brutes », de « mendiant dans le désert de l'histoire », de « portefaix », de « mercenaire-esclave immuable et éternel », etc. ? Pourquoi, ce besoin de nous rappeler toujours que « l'homme africain est aussi logique et raisonnable que l'homme européen » ? Cette affirmation toujours assenée aurait-elle pour but de nous convaincre vraiment que nous sommes des êtres rationnels (à ce moment, cela voudrait-il dire que nous en doutions ? Et si tel est le cas, ce serait terrible et voudrait dire que les siècles d'aliénation que nous avons connus, sont encore aujourd'hui de façon indélébile marqués dans notre chair et notre pensée, et que le passage de différentes générations n'y a rien changé). Ou alors cela voudrait il dire que les hommes européens essaient aujourd'hui encore de se convaincre que nous sommes vraiment des êtres rationnels « comme eux » (ce qui signifierait alors que, bien des années après la domination des peuples dits non civilisés, l'homme occidental a encore un doute sur la capacité d'un homme d'Afrique à être un homme rationnel, après s'être longtemps demandé si celui-ci était détenteur d'une âme !). C'est dire que dans cette affirmation chaque fois rappelée, il y a un malaise et une incertitude qui se créent ou se font présents. J'ai peur que ce qui est ou parait évident n'ait pas autant besoin d'être aussi constamment rappelé. Alors comment comprendre cette affirmation ? Parlons seulement en vérité « mais quelle vérité ? ». Tenez ! Parlons en vérité de l'histoire ! De cette histoire où, pour certains, nous y sommes très mal logés : « Le drame de l'Afrique, c'est que l'homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire. Le paysan africain, qui depuis des millénaires, vit avec les saisons, dont l'idéal de vie est d'être en harmonie avec la nature, ne connaît que l'éternel recommencement du temps rythmé par la répétition sans fin des mêmes gestes et des mêmes paroles... Jamais l'homme ne s'élance vers l'avenir. Jamais il ne lui vient à l'idée de sortir de la répétition pour s'inventer un destin. ». Parlons en vérité de cette histoire où nous sommes davantage des figurants que des acteurs. Ou bien même quand nous en sommes les acteurs, c'est toujours pour jouer les rôles les plus ignobles, qui choquent les consciences les plus rationnelles. |
pour la suite je vous conseille de vous rende sur le site comme je l'ai fais.
merci à toi séshat01 d'avoir réagit à l'article , je diffuse comme prévu l'intégralité de ton méssage à bientôt pour d'autres réations.
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L'artiste martiniquais s'installe en résidence à Ivry.
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www.gwadanumeric.com/
Un grand Homme de scène"
Le personnage • Rony Théophile vit en Guadeloupe.Il est né dans une famille où la notion de musique et de créativité était prépondérante. • Très jeune, il se fait remarquer au sein de groupes carnavalesques pour ses créations de costumes et ses mises en scène. Des dons de danseur • Par ailleurs, il développe ses dons de danseur et de chanteur. Parti à Paris pour des études paramédicales, Rony va bifurquer rapidement vers le milieu du spectacle et suit des cours de danse. Il se produit dans |
l'émission « A tout cœur » avec Patrick Sabatier et «Demain c'est dimanche» avec les Charlots. Dans le même temps, il sort son premier disque en solo, «Pas Oublié». Une activité de choriste • Durant cette période, il est remarqué et sollicité pour plusieurs types de prestations. Il est choriste lors de concerts de Joby Valente et Moune de Rivel, tourne avec «La Brisquante de Paris » en Europe et en Afrique du Nord, participe à la revue «Champagne» au Paradis Latin.
Poète aussi.. • Sa sensibilité, ses émotions, il les traduit à travers la poésie et publie son premier recueil dès l'âge de 16 ans. Il fait alors partie de l'association guadeloupéenne des amis de la Poésie et obtient le premier prix lors du concours du plus beau poème sur la ville de Pointe à Pitre : « Pointe à Pitre, ma ville ».
En 1993 • Rony est sollicité pour participer au concert de Myriam Makeba, où il assure la partie chœur et danse. Il part , ensuite, en Italie participer à la revue Brazil Show sous la direction de Brazil Négon. Il n'abandonne pas pour autant son île,
car il participe à la reconversion des ballets « La Brisquante et Mussaenda de Guadeloupe »qui |
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