Malgré leur quasi-élimination par un modernisme rampant, les objets d'antan utilisés par nos parents et grands parents conservent une place de choix dans la culture guadeloupéenne.
Ces objets utilisant le plus souvent des éléments naturels: le feu, la chaleur, l'eau, le bois tranchent avec l'utisation massive contemporaine de l'électricité. Par ailleurs l'étude de ces obejts est révélatrice des modes de vie et de la dureté de la vie passée.
cet objet est un fer à repasser qui était utilisé en Gadeloupe dans les années 1950, si je ne m'abuse, c'est avec plaisir que j'en fais la copie sans aucune retenue cela dit je vous invite à vous rendre sur le site en question afin de découvrir tout ce qu'ils proposent.
http://antanlontan.chez-alice.fr/index.htm#choix
site ou l'on peut s'enrichir, à qui je rend hommage par la publication de sa page "les grands Musiciens".
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Nom : EMILE ANTILE |
Émilien Antile, fils d’un chauffeur de bus de Guadeloupe, débute au banjo dans un orchestre amateur en 1941. En 1943, il devient lui-même conducteur d’autobus et s’achète une clarinette avec ses premières économies. Il apprend le saxophone alto en 1945 et joue en compagnie du saxophoniste Marcel Louis-Joseph. En 1957, Émilien Antile est engagé par Al Lirvat à La Cigale. Il participe à la tournée africaine de l’orchestre en 1959 ainsi qu’au film "Paris Blues" en 1960. Il est présent à La Cigale jusqu’en 1961. Durant cette période, il participe à de nombreux enregistrements avec Al Lirvat, Barel Coppet et Alphonso. De 1962 à 1963, Émilien Antile est à la Canne à Sucre, dans l’orchestre de Gérard La Viny. Il séjourne à la Martinique de 1964 à 1966 puis à la Guadeloupe de 1967 à 1972. Revenu à Paris, il repart pour le Sénégal où il enseigne le saxophone à Dakar jusqu’en 1980, avec une interruption en 1975. Tombé gravement malade, il est rapatrié en urgence et meurt à Montreuil le 30 mars 1980. |