ma vie

Voici un super radio-réveil qui vous aidera à sortir du lit le matin.

Il dispose de 2 fonctions réveil :

- le radio-réveil qui se déclenche à l'heure programmée et vous permet d'écouter pendant 1 heure votre station préférée, avec 5 mémorisations possibles;

- la fonction alarme qui se déclenche doucement et s'amplifie progressivement.

J'ai testé la programmation du radio-réveil puis de l'alarme à quelques minutes d'écart, ça marche.

Bonne nuit....et bon réveil!

Dimanche 11 octobre, France 2 dit a diffusé "Danse avec lui"

un très beau film, sur le plan de l'art équestre et de la psychologie du cheval, qui se termine par la question "Savez-vous pourquoi on ne renonce jamais aux chevaux ?" à laquelle je répondrai, en ce qui me concerne, "parce qu'on les aime".

Il y a quelques temps, je vous ai présenté une chanteuse ukrainienne : Kvitka Cisik.

Aujourd'hui, je vous propose quelques photos d'Ukraine avant de vous laisser découvrir ce pays en chanson avec Kvitka, à la fin de la page.

L'Ukraine (Україна en ukrainien - prononcer oukraïna) est un état d'Europe de l'Est presque aussi grand que la France. Elle possède un débouché sur la mer Noire et des frontières communes avec la Russie, la Biélorussie, la Pologne, la Slovaquie, la Roumanie, la Hongrie et la Moldavie.

 Son drapeau de couleur bleue et jaune symbolise le ciel et le blé, élément de base de l'Ukraine longtemps qualifiée de "grenier de l'Union soviétique".

 Détail du drapeau : le trident formé par les lettres du mot "Воля" (prononcer Volia) qui signifie liberté.

 "Fête de l'indépendance de l'Ukraine": 24 août 1991 jour où elle se sépare de l'URSS.

Tous les ans, c'est la fête notamment à Lviv, appelé par les ukrainiens "le petit Paris"

 certainement à cause de son théâtre qui ressemble beaucoup à l'opéra Garnier

 la place du marché

Et maintenant, en route pour les Carpates.....vous ne risquez pas d'y rencontrer Dracula, il vit dans les Carpates roumaines!

 architecture typique des Carpates : les maisons en bois

 chauffées par ces poêles qui fonctionnent généralement au gaz, et ça chauffe, on peut atteindre 25 degrés dans une pièce

Voici une "koliba", petite maison dans les montagnes où l'on peut faire du feu et préparer le "chachlik" (barbecue). On s'asseoit sur le pourtour de la pièce et on mange, on chante et bien sûr, on boit un petit verre de vodka.

Retour des beaux jours sur l'Ukraine, visite de Kiev.

 la place de l'Indépendance, bien souvent vue à la télévision française en 2004 pendant la Révolution Orange

Sur les collines qui dominent le Dnipro est située la Laure Kyévo-Petcherska, musée national d'intérêt historique et culturel.

La Laure de Petchersk est un monastère fondé en 1051 au bord du fleuve.
Son nom provient du nom des habitations des premiers moines: "'Petchera" signifie « caverne ». Seuls les hommes pouvaient y habiter. Antoine et Theodore étant les premiers moines, on les a considéré comme fondateurs. L'église les a canonisé après leur mort.
Au début du 12ème siècle, le monastère a pris le nom de « La Laure » donné seulement aux plus grands et riches monastères.
La Laure devient le plus grand centre de l'orthodoxie mais aussi centre culturel et politique. Le monastère avait un grand pouvoir, possédait des terres, participait à la vie commerciale et politique.

Aujourd'hui, la Laure est un musée composé de plus de 80 bâtiments occupant 28 hectares où tous les touristes viennent rechercher un peu de calme et d'ancienneté au milieu de l'activité moderne de la ville.

La cathédrale de la Dormition de la Laure Kyévo-Petcherska

Autres beautés de Kiev

trou de mémoire sur le nom de cette église                   Eglise Saint-André

 A votre avis, où se trouve ce couloir ? dans un musée? un château?......et bien non, c'est le couloir du métro de Kiev!

Sur les routes ukrainiennes...

 transport de vaches en camion

 transport du foin en charrette

Avec ces deux vidéos "Je vais vers les montagnes lointaines" et "Où es-tu maintenant", Kvitka vous enmène découvrir de beaux paysages des Carpates et de belles images d'Ukraine. Bon voyage.

Ce samedi 3 octobre avait lieu la 8ème édition de la Nuit Blanche, alors en route pour une visite dans Paris, by night.

 Dans la vitrine de la bibliothèque du Centre culturel Suisse, Peter Regli, artiste suisse, nous propose 11 figurines en terre cuite qui nous regardent sous l'éclat de feux d'artifices.

 Un peu plus loin, Vincent Olinet, artiste français, présente un arbre dont le tronc et les branches sont recouverts de moquette. Seul les fleurs sont bien réelles et renouvelées au fur et à mesure qu'elles se fanent.

 A 100 mètres au-dessus des Archives Nationales devait s'élever un ovni.....2h45 d'attente que l'anneau soir gonflé, éclairé, pour apprendre au final qu'il ne décollerait pas !

 Sur le Pont Saint-Louis, une structure lumineuse.

 Découverte de l'église orthodoxe des Saints-Archanges qui nous invite à contempler un "Nuage cinétique" composé de rouleaux de scotch suspendus au plafond....fallait y penser.

 Le collège des Bernardins, bien illuminé. Ce qu'il y avait à l'intérieur ?.....je ne sais pas, la file d'attente était trop longue.

 Une sculpture originale animée, représentant un cheval au galop. Cela se voit mieux sur la vidéo mais impossible de l'insérer.

Voilà une nuit blanche bien remplie, à l'année prochaine.

Le 19 et 20 septembre 2009 avaient lieu les journées du patrimoine alors, en avant pour la découverte de sites ....où la file d'attente est raisonnable.

La journée commence par l'hôtel d'Estrées, résidence de l'Ambassadeur de Russie en France.

Cet hôtel a été construit de 1711 à 1713 par Robert de Cotte, architecte de la cour du roi Louis XIV, pour la duchesse d'Estrées dont le mari, mort en 1737, était maréchal de France et membre des trois académies (française, des sciences, des inscriptions et des belles lettres).

En 1863, l'Ambassadeur de Russie baron de Boudberg achète l'hôtel et y installe les services de l'ambassade.

Pendant la seconde guerre mondiale, les autorités allemandes d'occupation ont réquisitionné l'hôtel pour y installer les services économiques de la gestapo du 7ème arrondissement.

Rendu à la libération, l'hôtel continua d'abriter les services de l'Ambassade de Russie jusqu'en 1977, date de son déménagement boulevard Lannes - 16ème arrondissement - en raison de l'agrandissement considérable des services diplomatiques.

Aujourd'hui, l'hôtel comporte les appartements de l'Ambassadeur, du Chef de l'Etat ou du gouvernement, du ministre des affaires étrangères et autres personnalités russes de passage à Paris.

 L'entrée principale protégée par une marquise vitrée en fer forgé. C'est là que l'Empereur Nicolas II, venu à Paris en 1867 pour l'Exposition universelle, a accueilli Napoléon III.

 Aujourd'hui transformée en salle à manger, cette pièce a servi de cabinet de travail à l'Empereur Nicolas II en 1896.

 La salle d'Or

Puis, l'Hôtel de la Marine, construit de 1757 à 1774 selon les plans d'Ange-Jacques Gabriel, premier architecte de Louis XV.

A l'origine, l'immeuble est utilisé comme "Garde-meuble" royal et abrite le mobilier, les tapis et tapisseries, luminaires et objets décoratifs les plus précieux des demeures royales ainsi que les joyaux de la couronne qui furent dérobés en 1792.

C'est en 1789 que le premier ministre de la Marine, César-Henri de la Luzerne, partage les locaux avec le garde-meuble qui quittera définitivement les lieux en 1806.

La galerie dorée                                          Le salon d'honneur

Après un pause déjeuner, direction l'Ecole Militaire, construite sous le règne de Louis XV par l'architecte Ange-Jacques Gabriel.

Après la guerre de succession d'Autriche (1740-1748), Maurice de Saxe, maréchal de France, exposa la nécesité de former de jeunes officiers. Son idée fut reprise par Joseph Pâris-Duverney, secrétaire des finances du roi Louis XV, qui obtiendra l'aide de la marquise de Pompadour, maîtresse du roi, pour présenter et concrétiser le projet.

L'Ecole reçut ses premiers élèves en 1756 et parmi les plus illustres, Bonaparte qui y entra à 15 ans et y séjourna de 1784 à 1785.

La bibliothèque, classée aux Monuments historiques, est constituée d'une enfilade d'anciens salons. Elle dispose d'un fonds de 100 000 ouvrages constitué en partie de confiscations révolutionnaires. Superbes livres reliés cuir dont celui-ci sur la construction de la Tour Eiffel.

 Cette glace témoigne par ces impacts de balle des combats du 25 août 1944.

Sur le chemin du retour, une halte à l'Hôtel Amelot de Bisseuil dit Hôtel des Ambassadeurs de Hollande (mais personne ne sait pourquoi) construit de 1657 à 1660 par Pierre Cottard, architecte du roi Louis XIV, pour le compte de Jean-Baptiste Amelot, vicomte de Bisseuil, maître des requêtes.

Réaménagé au gré des achats successifs, c'est là que Beaumarchais a écrit "Le mariage de Figaro".

 La porte d'entrée de l'hôtel.

 Les cadrans solaires dans la première cour du bâtiment.

 La façade du bâtiment restauré de la deuxième cour.

 Un mur renard : il s'agit en fait d'une façade plaquée sur un mur d'origine du XVème siècle. Dans les niches du bas existaient des peintures qui donnaient l'illusion de l'existence d'un jardin.

Et pour terminer, l'Hôtel Bouthillier de Chavigny, construit au XVIème siècle et qui abrite aujourd'hui une caserne de pompiers.

 La cour intérieur

 Corniche en bois

 La remise qui autrefois abritait les chevaux. Le foin était stocké en haut, à la place des bureaux actuels.

Voilà une journée du patrimoine bien remplie avec quelques kilomètres dans les jambes!