Capucine

       




"Aucun pessimiste n'a jamais découvert les secrets des étoiles, navigué vers des terres inconnues, ou ouvert un horizon nouveau à l'esprit humain."

Helen Keller.

"Si dans mon oeuvre, tu trouves quelques délices, ôh lecteur ! Alors étudie-la, car dans ce monde, je ne ferai que de rares retours." Léonard de Vinci.



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ce magnifique reportage que je vous rapporte ici :

Métier extraordinaire

Il existe des métiers extraordinaires, c'est le cas de celui-ci : plisseur.
C'est l'artisan qui dessine et fabrique les gabarits en carton qui servent de moules pour plisser les tissus car en couture, mais surtout en haute couture, il existe toutes sortes de plis qui sont d'ailleurs tous baptisés de noms charmants : il y a le pli fleur, le pli diamant, le pli religieuse, le pli automne, le pli Watteau, le pli cocotte etc. !
En tout cas les  p'tits plis c'est plus dur à dessiner que le p'tits trous !

Merci à toi Izys d'avoir été rechercher un article aussi fascinant ...

retrouvez-la sur son site : 

Isabelle Zyskind

Artiste peintre et illustratrice inscrite à la Maison des Artistes

http://isabellezyskind.canalblog.com

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• Tu fais mal si tu fais l'éloge de quelque chose que tu ne comprends pas bien ; et si tu blâmes, tu fais plus mal encore.

  [Léonard De Vinci - Sciences]

• Celui qui s'oriente sur l'étoile ne se retourne pas.

  [Léonard De Vinci - Sciences]

• Qui pense peu, se trompe beaucoup

  [Léonard De Vinci

                        ah ! ce Grand Homme Amoureux Fou de Tout ...

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La France est pleine de pancartes et de panneaux de signalisation sympas et qui ne peuvent que faire sourire ou éclater de rire, j'vous en mets quelques-unes :

Fermeture provisoire pour cause de fermeture définitive.

Défense de jeter des cadavres sous peine d'amende.

Impasse Cascouille.

Travaux: Pour aller tout droit, prenez à gauche.

Heure d'ouverture : Du lundi au samedi de 9h-21h.
Le vendredi de 9h-21h.

Défense d'uriner sous peine de confiscation.

Dépôt réservé uniquement aux ordures ménagères et aux habitants de la commune.

Ecole publique des Grèves.

Accès interdit aux voitures
vélos motos
Même tenu en laisse

Fin d'interdiction d'ARRÊTER.

INNONDATION
Réservé aux abonnés.

Concours de pétanque
NE PAS JOUER A PLAT VENTRE.

Ouverture du parking 8h30-12h30, de 15h30-19h30
ATTENTION: Le parking sera fermé en dehors des heures d'ouverture.

ATTENTION TIR à l'ARC
Suivez les flèches!

Trottoir interdit aux piétons.

                         Vous aimez la Vie, Vous aimez la Couleur,

Vous aimez la Gaité, Vous aimez le Monde, l'Enfance, alors Vous aimerez :      

 

                                    

 

                                     Edouard Cribier

 

                                      

                              http://edouardcribier.canalblog.com/

 

 

 

Quelques'unes de ses dernières toiles

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retrouvez-la sur son site : 

Isabelle Zyskind

Artiste peintre et illustratrice inscrite à la Maison des Artistes

http://isabellezyskind.canalblog.com

C'est en hiver, c'est une fin de journée et une pointe de rouge adoucit légèrement ce bleu hivernal avant de l'assombrir pour de bon.
C'était dans les jardins de Bercy, en janvier 2009.
"Aquaphotorelle" format 24 x 30 cm

MAGNIFIQUE REVERIE que nous propose IZYS ...

Quelques uns de ses tableaux sont actuellement en vente à la galerie Art Génération, 67 rue de la Verrerie, Paris 4eme.

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Si vous parvenez à respecter les fleurs et les arbres,
vous finirez par aimer la terre qui les porte,
la lumière qui les baigne,
l'eau qui les nourrit;
vous aimerez le site entier qui les encadre;
en un mot, vous aimerez le coin du sol où vous êtes né;
vous aimerez votre pays.

Emile Verhaeren

j'ajouterai : vous aimerez les animaux et les humains et surtout surtout ! vous vous aimerez vous-même !!!





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Le papillon

Le papillon veut se marier et, comme vous le pensez bien, il prétend choisir une fleur jolie entre toutes les fleurs. Elles sont en grand nombre et le choix dans une telle quantité est embarrassant. Le papillon vole tout droit vers les pâquerettes. C'est une petite fleur que les Français nomment aussi marguerite. Lorsque les amoureux arrachent ses feuilles, à chaque feuille arrachée ils demandent :
- M'aime-t-il ou m'aime-t-elle un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout ? La réponse de la dernière feuille est la bonne. Le papillon l'interroge :
- Chère dame Marguerite, dit-il, vous êtes la plus avisée de toutes les fleurs. Dites-moi, je vous prie, si je dois épouser celle-ci ou celle-là.
La marguerite ne daigna pas lui répondre. Elle était mécontente de ce qu'il l'avait appelée dame, alors qu'elle était encore demoiselle, ce qui n'est pas du tout la même chose. Il renouvela deux fois sa question, et, lorsqu'il vit qu'elle gardait le silence, il partit pour aller faire sa cour ailleurs. On était aux premiers jours du printemps. Les crocus et les perce-neige fleurissaient à l'entour.
- Jolies, charmantes fleurettes ! dit le papillon, mais elles ont encore un peu trop la tournure de pensionnaires. Comme les très jeunes gens, il regardait de préférence les personnes plus âgées que lui.
Il s'envola vers les anémones ; il les trouva un peu trop amères à son goût. Les violettes lui parurent trop sentimentales. La fleur de tilleul était trop petite et, de plus, elle avait une trop nombreuse parenté. La fleur de pommier rivalisait avec la rose, mais elle s'ouvrait aujourd'hui pour périr demain, et tombait au premier souffle du vent; un mariage avec un être si délicat durerait trop peu de temps. La fleur des pois lui plut entre toutes ; elle est blanche et rouge, fraîche et gracieuse ; elle a beaucoup de distinction et, en même temps, elle est bonne ménagère et ne dédaigne pas les soins domestiques. Il allait lui adresser sa demande, lorsqu'il aperçut près d'elle une cosse à l'extrémité de laquelle pendait une fleur desséchée :
- Qu'est-ce cela ? fit-il.
- C'est ma sœur, répondit Fleur des Pois.
- Vraiment, et vous serez un jour comme cela ! s'écria le papillon qui s'enfuit.
Le chèvrefeuille penchait ses branches en dehors d'une haie ; il y avait là une quantité de filles toutes pareilles, avec de longues figures au teint jaune.
- A coup sûr, pensa le papillon, il était impossible d'aimer cela.
Le printemps passa, et l'été après le printemps. On était à l'automne, et le papillon n'avait pu se décider encore. Les fleurs étalaient maintenant leurs robes les plus éclatantes ; en vain, car elles n'avaient plus le parfum de la jeunesse. C'est surtout à ce frais parfum que sont sensibles les cœurs qui ne sont plus jeunes; et il y en avait fort peu, il faut l'avouer, dans les dahlias et dans les chrysanthèmes. Aussi le papillon se tourna-t-il en dernier recours vers la menthe. Cette plante ne fleurit pas, mais on peut dire qu'elle est fleur tout entière, tant elle est parfumée de la tête au pied ; chacune de ses feuilles vaut une fleur, pour les senteurs qu'elle répand dans l'air. «C'est ce qu'il me faut, se dit le papillon ; je l'épouse. » Et il fit sa déclaration.
La menthe demeura silencieuse et guindée, en l'écoutant. A la fin elle dit :
- Je vous offre mon amitié, s'il vous plaît, mais rien de plus. Je suis vieille, et vous n'êtes plus jeune. Nous pouvons fort bien vivre l'un pour l'autre ; mais quant à nous marier... sachons à notre âge éviter le ridicule.
C'est ainsi qu'il arriva que le papillon n'épousa personne. Il avait été trop long à faire son choix, et c'est une mauvaise méthode. Il devint donc ce que nous appelons un vieux garçon.

L'automne touchait à sa fin ; le temps était sombre, et il pleuvait. Le vent froid soufflait sur le dos des vieux saules au point de les faire craquer. Il n'était pas bon vraiment de se trouver dehors par ce temps-là ; aussi le papillon ne vivait-il plus en plein air. Il avait par fortune rencontré un asile, une chambre bien chauffée où régnait la température de l'été. Il y eût pu vivre assez bien, mais il se dit : « Ce n'est pas tout de vivre ; encore faut-il la liberté, un rayon de soleil et une petite fleur. » Il vola vers la fenêtre et se heurta à la vitre. On l'aperçut, on l'admira, on le captura et on le ficha dans la boîte aux curiosités. « Me voici sur une tige comme les fleurs, se dit le papillon. Certainement, ce n'est pas très agréable ; mais enfin on est casé : cela ressemble au mariage. » Il se consolait jusqu'à un certain point avec cette pensée. «C'est une pauvre consolation », murmurèrent railleusement quelques plantes qui étaient là dans des pots pour égayer la chambre. « Il n'y a rien à attendre de ces plantes bien installées dans leurs pots, se dit le papillon ; elles sont trop à leur aise pour être humaines. »

Hans Christian Andersen

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Charlie Chaplin de passage à Londres, voit un jour dans le journal qu'un concours de sosies de Charlot est organisé dans le quartier de son hôtel.

Il s'y rend, anonymement, fait sa démonstration ...
et finit classé 27ème !


              J'ADORE ...
je pense qu' IL a dû aimer aussi cela follement!


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