1.
La Minière de Bakwanga, MIBA en sigle, a procédé la semaine
dernière à la reprise du patrimoine de la Sengamines. Ce patrimoine basé dans
les localités de Tshibwe et Senga Senga. Une forte délégation comprenant la
Miba, le gouvernement, le Gouvernorat de province, le parquet, la 5e Région
militaire, a procédé aux travaux de la remise- reprise technique entre la Miba
et la Sengamines . Opération effectuée sur instruction du ministère des mines
datée du 27 mars dernier. La Sengamines juge cet acte d’illégal et menace
d’aller en justice contre l’Etat Congolais.
Site de la MIBA: cliquez ici
Bisamba bia muana wa Muluba : cliquez ici
Kasaï Oriental | 22 Avril 2008 à 12:17:33
La crainte d’attaque meurtrière s’était emparée de part et d’autre, selon le gouverneur intérimaire du Kasaï-Oriental. Pour Bruno Kazadi Bukasa cette tension est aussi une des conséquences du retrait depuis la semaine dernière de éléments de la police qui étaient postés comme forces d’interposition entre les deux communautés depuis les affrontements de septembre 2007.
Philémon Patience Mushidiav, inspecteur provincial de la police explique les raisons du retrait de ces éléments : « Ce n’était pas une mission éternelle. Vu que la situation était devenue calme et stationnaire à Katanda, l’inspection provinciale a proposé au conseil provincial de sécurité la relève de policiers, chose qui a été faite en date du 16 avril. »
Toutefois, d’après le gouverneur intérimaire, ces policiers ont été remis en position entre les Bena Kapuya et les Bena Nshimba, d’une part, et entre les Bena Muenda et les Bena Nshimba d’autre part. En plus, d’après la même autorité provinciale, le conseil de sécurité de la province a décidé de la création des sous commissariats de police en permanence, le ramassage des armes détenues par la population ainsi que la mise en place d’un comité de sages de trois communautés pour favoriser une cohabitation pacifique.
Pour rappel, le conflit entre les trois communautés du territoire de Katanda est d’ordre foncier et date de plusieurs dizaines d’années. Ce conflit a rebondi en septembre 2007, faisant 32 morts.
Kasaï Oriental | 16 Avril 2008 à 12:41:16
La Minière de Bakwanga (Miba) peut à nouveau vendre ses diamants librement et à qui elle veut. C’est la conséquence du retrait par cette société minière mixte du contrat d’exclusivité d’achat des pierres précieuses qui la liait à Emaxon. L’annonce de cette décision a été faite le week-end dernier à Kinshasa à l’occasion de l’assemblée générale de la Miba, rapporte radiookapi.net
C’est l’une des grandes résolutions de cette
assemblée générale, selon le ministère du Portefeuille. Elle a été motivée,
d’après la même source, par le vœu de multiples partenaires qui voudraient
financer le Miba de voir un peu plus clair sur la vente de sa production
minière. En effet, depuis plusieurs années, le monopole d’achat de diamants de
cette entreprise minière était détenu par Emaxon. Le contrat entre les deux
parties prévoyait que 88 % de la production de la Miba devaient être
exclusivement vendus à Emaxon contre un financement 15 millions USD.
Selon Mme Christine Tuse, Adga de la Miba, Emaxon a donné son accord de
principe de perdre ce monople, à condition que la Minière de Bakwanga paie sa
créance évaluée à 10 millions USD. Dans l’entre-temps, une grande campagne de
vente au tender est en cours au ministère du Portefeuille à Kinshasa. Cette
vente aura lieu fin avril portera sur plus de 500 000 carats de diamants. A la
fin de l’opération, la Miba pourra alors pousser un ouf de soulagement. Le
produit de la vente lui permettra de payer les arriérés de salaire de son
personnel et de renouveler son outil de production.
Au moins treize personnes ont péri lors du naufrage de leur embarcation, survenu jeudi dernier au Kasaï oriental (centre de la République démocratique du Congo), a rapporté dimanche la radio onusienne Okapi.
Un premier bilan avait fait état de sept morts, mais six autres corps ont été découverts samedi dans la rivière Lubilanji à Bakwa Sumba, dans le territoire de Miabi, à 45 kilomètres au sud de la ville de Mbuji-Mayi, le chef-lieu de la province. Une vingtaine d'autres passagers sont toujours portés disparus, alors que six, sachant nager, ont survécu au naufrage, a ajouté Radio Okapi, parrainée par l'ONU. Les chances de retrouver d'autres corps s'amoindrissent d'heure en heure, a poursuivi la radio.
L'embarcation, une pirogue de fortune sans moteur, transportait 37 personnes, lorsqu'elle a chaviré, probablement en raison d'une surcharge, en plein milieu de la rivière Lubilanji, selon des témoins. Elle semblait en effet avoir une capacité de 25 passagers. La pirogue avait quitté la localité de Bena Tshimanga à destination de Bakwa Sumba Bamba, localité située au sud de Mbuji-Mayi. Les accidents sont fréquents sur les lacs et rivières congolais, notamment du fait de la surcharge des embarcations - dont le nombre réel de passagers ne correspond généralement pas aux données des registres de navigation - et d'un mauvais balisage des voies navigables.
La plupart des embarcations ne remplissent pas les conditions sécuritaires de navigation (gilets, bouées de sauvetages, signalisations lumineuses, etc) et les pilotes sont souvent peu formés.
KINSHASA, 3 avril 2008 - Treize personnes sont mortes à la suite des fortes pluies qui se sont abattues depuis dimanche au Kasaï occidental, dans le centre de la République démocratique du Congo (RDC), a indiqué jeudi l'ONG catholique Caritas dans un communiqué.
"Les pluies qui se sont abattues ces derniers jours à Tshikapa (ville du Kasaï occidental) ont causé d'importantes pertes en vies humaines et des dégâts matériels énormes (...). Le bilan provisoire est de 13 morts, 2 blessés graves et 100 maisons écroulées", précise Caritas.
Les victimes, parmi lesquelles plusieurs enfants, ont été tuées par l'écroulement des murs de leurs maisons, affirme Caritas.
L'ONG catholique a lancé un appel aux pouvoirs publics pour une assistance "d'urgence" aux populations sinistrées, qui n'ont encore bénéficié d'aucune aide.
Ces pluies, particulièrement dévastatrices dans la commune de Kanzala, lieu important d'extraction du diamant au Kasaï occidental, ont en outre aggravé le problème d'érosion à Tshikapa, où la route reliant l'aéroport au centre-ville menace de s'affaisser.
Dans cette ville, la multiplication des carrières et des puits de mines contribue depuis des années à la fragilisation des zones d'habitation, jusqu'au coeur de la cité.
Bonjour Zadain,
Je m'appelle MUBIKAYI MALUMBA Lu-Kashadi (Honoré). Après mes études secondaires à l'Athenée de la Kanshi à Mbuji Mayi et PréU à Kananga, j'ai donné cours au Collège Kabanda à Ngadanjika et au lycée Mpokolo à Mbuji Mayi; pour après aller poursuivre mes études à Madrid (Espagne) en 1973. J'ai fait les sciences économiques à la Complutense. et je suis au Luxembourg depuis 1989.
Je voudrais retrouver un ami de longue date à Madrid que j'avais retrouvé à Paris en 1987 et depuis lors pas de nouvelles. Il s'appelle Marcel TSHIBAKA et je pense qu'il est toujours à Paris. Merci d'avance pour votre aide.
Dans l'espoir d'avoir de vos nouvelles
Kolayi kolayi kabidi.
Muby.
Pourquoi les Baluba sont-ils haïs sur cette terre des hommes?