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DAROU 99

dolidarou

Pléthore d’élèves au Collège Modou Habib MBACKE de Darou Mousty Publié le Lundi 5 Octobre 2009 à 23:30:59

Naît des anciens bâtiments sommairement retapés du poste de santé de cette localité ; auxquels ont été ajoutées quelques classes, le collège « Serigne Modou Habib MBACKE » de Darou Mousty, est devenu trop étroit pour contenir les élèves qui y sont actuellement orientés.

Sa moyenne par niveau est de quatre classes dont les effectifs sont estimés, pour cette année scolaire 2009-2010 à prés de 1.000 élèves y compris les trois cent cinq (305) nouveaux admis en 6ème qui seront ajoutés au quatre vingt cinq (85) redoublants de cette classe, en plus des effectifs des quatre classes de 3ème, cinq classes de 5ème et quatre classes de 4ème.

Chacune des classes comprend un effectif variant entre 65 et 70 élèves qui partagent à trois et même quatre, les rares  tables bancs en bon état.

Dans sa gymnastique quotidienne, le Principal  qui ne sait plus où donner de la tête, fait naviguer les élèves de la 4ème entre les classes qui sont libérées par les autres niveaux afin de ne pas leur voir perdre le créneau horaire.

Pour ce qui est des nouveaux venus, il envisage à défaut, de les comprimer dans des classes de 75 à 80 élèves et pour cela, il ajoute qu’il aura besoin de quatre locaux.

Même si l’année scolaire est déjà lancée et que ces doléances devaient être soulignées à temps aux autorités académiques du département et de la région, il demeure que Darou Mousty qui est un pôle d’excellence reconnu, ne mérite pas cette négligence ou ce manque de communication entre l’établissement, l’association des parents d’élèves et les différents services chargés de gérer l’enseignement moyen secondaire.

Ces effectifs pléthoriques autorisent et appellent la construction d’un nouveau collège qui permettra de décongestionner et de recevoir le surplus en élèves. Dans tous les cas, les parents d’élèves fréquentant cet établissement sont inquiets et souhaitent voir l’Etat intervenir et trouver la solution des problèmes de ce collège.

 

Pour l’heure, le principal de cet établissement interpellé sur la question par les parents d’élèves déclare avoir tiré sur la sonnette d’alarme à temps aussi bien au niveau local, régional que national et attend leurs réactions.

 

En qualité de parents d’élèves, cette voie parallèle a été utilisée non pas pour dénoncer mais appuyer les efforts déjà déployés par ces enseignants.

Afficher le commentaire. Dernier par doilidarou le 07-10-2009 à 04h27 - Permalien - Partager
OPINION SUR LES FETES RELIGIEUSES AU SENEGAL Publié le Dimanche 4 Octobre 2009 à 23:15:02

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Contrairement au début du Karème qui a été unique pour toutes les confréries du Sénégal, voilà qu’arrive la date de la Korité pour diviser ces mêmes confréries. Les uns ont prié le Dimanche 20 septembre 2009 ; tandis que le reste a retenu le lundi 21 septembre 2009.

Cette différence de dates constitue une situation que le pays n’a que trop vécu et personne ne peut ou tout au moins, ne veut se prononcer sur les raisons et  sur une solution.

N’est il pas temps que les dignitaires religieux du pays de se retrouvent en conclave afin de trouver les voies et moyens d’unifier les dates des différents événements du genre ; surtout chez les musulmans.

S’agissant des chrétiens, leurs fêtes sont connues à l’avance grâce à un calendrier grégorien (inventé par Grégoire Ier, VII et XIII). Pourquoi les oulémas sénégalais musulmans ,ne peuvent t’il pas faire autant.

Quelque part dans certains pays musulmans d’Afrique, les gouvernants ont trouvé la formule idéale qui veut qu’à chaque évènement fêté par la Mecque (le modèle musulman), le lendemain soit retenu pour leurs pays. 

Cette décision bien que difficile à prendre doit être le résultat de concertations des musulmans décidés à unifier les célébrations afin d’éradiquer l’absentéisme et les nombreuses fêtes qui ne font que ruiner les économies trop faibles des pays africains comme le Sénégal.

Selon un pratiquant marocain établi à la rue Mohamed V à Dakar, il fut une année où le roi du Maroc avait ordonné à tous ses sujets de ne point immoler de mouton à l’occasion de la tabaski A la place, il avait prescrit de remplacer le mouton par le bovin (plus charnu et pouvant être partagé entre plusieurs familles) ; ce qui du reste n’est pas refusé par la religion.

 Ainsi, cette année là, seul le mouton du roi avait été immolé et le cheptel ovin décimé par les nombreuses fêtes, était reconstitué. 

Tout cela pour dire que nos chefs religieux doivent se décider à se prononcer sur la question et ainsi aider à lutter contre les nombreuses fêtes qui ne font que ruiner l’économie du pays.

Un Conseil du Culte ou une organisation religieuse du genre, est devenu une chose indispensable voir même une nécessité à l’instar de pays comme la Cote d’Ivoire où les autorités administratives se sont désengagées au profit d’une institution du genre et à qui, elles ont  également chargé d’organiser les pèlerinages aux différents lieux saints-

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Intervention des Chefs religieux sur la vie politique au Sénégal Publié le Dimanche 4 Octobre 2009 à 23:13:30

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Il est temps que les trois principaux guides religieux; tous Petits fils de Serigne Touba, El hadji Malick SY et El Hadji Omar TALL, se prononcent sur les difficultés et malaises politiques que le pays vit actuellement à l’instar des grands guides religieux comme Serigne Abdoul Ahat MBACKE, Serigne Abdou Aziz SY et El Hadji Mountaga TALL pour ne citer que ceux là qui, en pareil cas et circonstances, intervenaient à travers les médias pour dépassionner le débat politique.

Le président Wade n’est t’il pas celui qui disait, dans l’opposition, qu’il ne souhaite pas marcher sur des cadavres pour accéder au palais ; alors qu’il briguait le fauteuil présidentiel.

Cette phrase avait fait le tour du monde et renforcé l’estime et nourri l’espoir des populations envers lui et tout ce qu’il défendait comme arguments politiques pour un réel changement.

Maintenant et après un deuxième mandat qui s’achèvera en Février 2012, rien n’a changé dans la marche du pays (à l’exception des nouvelles infrastructures) sauf que les politiciens ne raisonnent plus qu’en termes de milliards que le peuple n’a pas encore vu ou senti dans le panier de la ménagère ou dans ses activités de tous les jours.

. Cette même autorité politique ne semble plus se souvenir de sa phrase historique et semble chercher d’autres voies que celle des urnes pour sa succession.

Formé dans les grandes écoles comme du reste tous les autres cadres du pays son fils ne paraît pas faire l’unanimité parmi ses proches collaborateurs. Sa percée politique pourrait être celle et l’œuvre de tout un staff mobilisé par la Première Dame (quoi de plus naturel pour une mère); par contre l’échec de cette tentative pourrait entraîner une bagarre des « clans » qui l’entoure et il ne fera plus bon vivre dans ce palais présidentiel pour des proches comme :…………/

Le clan Seck aura en face de lui celui de SALL, sans compter les inconditionnels du père lui-même comme le PM et les indécis tapis dans l’ombre attendant l’occasion de s’afficher au grand jour. Des Difficultés, sans nul doute, se dessinent à l’horizon 2012.

Le pays est sur les traces du Gabon avec l’avènement contesté de Ali BONGO et son cortège de dégâts aux propriétés d’autrui. Tout cela pour dire que notre pays est parti pour vivre des moments difficiles fermentés déjà par les intempestives hausses du carburant, des denrées de grande consommation, les inondations et leurs lots de situations désolantes comme les embouteillages, pour ne citer que ceux là.

Au Sénégal, le spirituel et le temporel ont toujours cohabité dans un respect mutuel et ont eu à se compléter dans la recherche de solutions de paix et de concorde ; le cas échéant.

L’état a toujours consulté les religieux pour leur faire participer et trouver avec lui les solutions à divers évènements qui menacent de plonger le pays dans un désordre inestimable. Le spirituel de tout bord, a toujours répondu présent et s’est généralement acquitté des tâches confiées.

Malheureusement cette intervention est volontairement gratifiée  par l’état ce qui provoque par la suite, des dissensions et conflits d’intérêts entre et dans ces familles qui commencent à être dépréciées par les populations.

C’est vraiment le moment d’entendre (comme par le passé avec serigne abdou aziz sy- serigne abdoul ahat mbacké) les discours rassembleurs de ces chefs religieux pour une paix des cœurs dans le pays.

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