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Déca-Danse

décadence...

Musique Publié le Samedi 8 Mai 2010 à 10:40:26

 

Rock Haine Roles, Patrick Bruel :

ROCK comme la voix usée de ces hommes fatigués
De parcourir les routes afin qu'on les écoute,
De chercher à comprendre, mais comment se faire entendre
Quand personne ne répond au milieu de la HAINE,
La haine de devoir passer le plus clair de son temps
Au milieu de ces gens, forcés de jouer un RÔLE
De plus en plus bancal, dans le plus mauvais des bals

Où personne danse ensemble!
Rock, haine, rôles.
Où personne danse ensemble!
Rock, haine, rôles.

J'ai du ROCK dans la voix, de la HAINE, des blessures,
Des RÔLES sur mesure mais tout ça c'est pourquoi?


Pour te dire que j'ai peur, qu'ils sont devenus fous,
Que le monde a mal au coeur, mais que tout le monde s'en fout.

Qu'il y a tant de prières qu'on ne peut plus les comprendre,
Tant de mots qu'on croyait ne plus jamais entendre.
Alors tu montes sur scène comme un gosse sans gêne
Qui vient chercher de l'amour, qui vient crier au secours.
Je sais qu'il y a quelque chose qui te gêne mais je chante quand même,
Peut-être un peu trop fort, mais parfois fais l'effort de m'écouter un peu.

ROCK comme s'il n'y avait personne quand tu lèves les yeux,
Comme s'il y avait maldonne,
HAINE pour ce marteau rouillé qui s'abat sans pitié
Sur ses propres enfants...

Jusqu'à quand?
Rock, haine, rôles!
Jusqu'à quand?
Rock, haine, rôles!

J'ai du ROCK dans la voix, de la HAINE, des blessures,
Des RÔLES sur mesure, mais tout ça c'est pourquoi?
Pour te dire que j'ai peur, qu'ils sont devenus fous,
Qu'avant de faire des prières, je voulais te dire tout!

Y a des fous qui parlent fort, des types qui les écoutent,
Qui appellent à la mort quand tu suis pas leur route.
Les uns parlent de détails, les autres s'en balancent.
Pour faire partie du bal ils se perdraient dans la danse.
Il y a même des docteurs, qui soignent rien de tout ça,
Qui regardent les erreurs mais qui ne les voient pas.
Ça fait partie du jeu mais je vais pas jouer toujours.
Ça me donne envie de hurler, ça me fait perdre mon humour.
J'ai du mal à parler lorsque mes yeux se noient.
J'ai du mal à chanter, j'ai un voile sur a voix.
Même si personne m'écoute, ça changera pas ma route,
Celle d'un gosse sans gêne qu'est monté sur cette scène.

Qui vient crier au secours,
Qui vient chercher de l'amour,
Qui vient crier au secours,
Qui vient crier,
Qui vient chercher,
Qui vient crier,
WHERE IS LOVE NOW?
WHERE IS LOVE NOW?
WHERE IS LOVE NOW?
ROCK,
HAINE,
RÔLES!

Pour te dire que j'ai peur, qu'ils sont devenus fous,
Que le monde a mal au coeur, mais que tout le monde s'en fout.
Ça suffit pas toujours d'embrasser son étoile
Ou de parler d'amour que sur des cartes postales.

Rock pour te dire que j'ai peur, qu'ils sont devenus fous,
Qu'avant de faire des prières, je voulais te dire tout!
Je voulais te dire tout!... Je voulais te dire tout!

Afficher le commentaire. Dernier par livres à ne pas manquer le 24-07-2013 à 11h10 - Permalien - Partager
Cher B, Publié le Samedi 8 Mai 2010 à 10:34:08

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Je ne t'ai pas écrit hier, car j'avais bien trop mal aux doigts. Aujourd'hui, cela va un peu mieux, mais c'est quand même pas facile pour taper. qu'est ce que tu veux, l'angoisse se déchaine en moi, et je ne trouve pas mieux que manger (j'ai d'ailleur testé la sauce risotto champignon... que du bonheur !), et manger mes doigts... ca m'apprendra !

Je sais qu'en me réveillant ce matin, je me rappelais d'un rêve bizarre... mais, je l'ai perdu. peut être qu'il me reviendra, et que je pourrai t'en parler.

je ne sais comment c'est possible, comment ca a pu m'arriver, mais j'ai un entretien lundi pour un travail avec des autistes adultes du coté de Mantes la jolie. c'est la panique !!! bon, je me rassure en me disant que c'est un mi-temps, et que ca me laissera le temps pour l'analyse, et que ca me fera de l'argent pour payer. que c'est un commencement dans la vraie vie, et qu'il faut bien que ca arrive un jour, seulement... toutes ses responsabilités, ca me rend malade. bref, pourvu que ca marche... ou pas. je ne sais pas vraiment ce que je veux. ou plutot si, je veux les deux. que ca marche pas, et que ca marche. ou que ca marche et que ca marche pas... bravo !

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Cher B, Publié le Jeudi 6 Mai 2010 à 14:50:36

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Voilà, j'ai fait tout ce que j'avais à faire ce matin, et je suis bien fatiguée...

j'ai acheté trop de nourriture à carrefour ce matin, et avec les deux bouteilles d'alcool, et les trucs de la pharmacie, il a fallu faire un choix dans les priorités, car je ne pouvais pas tout chacher dans mon sac...

donc, aussitot acheté, aussitot jeter : un sandwich thon crudité, un sandwich oeuf bacon, et un taboulé oriental... dégoutée... moi qui me faisait une joie de manger mes sadwich tout en buvant pendant que je regarderai la télé ce soir... je ne pourrai pas m'offrir ce moment de réconfort.

Papa est là cette après midi. domage, sinon, j'aurai pu tester mes nouveaux achats : 2 sauces (tomates, champignon) spécial risotto... enfin, il me reste la salade de pates aux deux saumons, que je vais mangé cette apres midi, et pour le soir, il ne restera plus que le petit pot de sauce béarnaise. c'est mieux que rien, mais si peu, par rapport à tout ce que j'ai envie de manger !!!

toujours, cette histoire d'analyse qui me prend la tête. je ne sais toujours pas quoi faire. même si je commence à me dire, qu'il faut bien commencé par quelque part, et commencé par rencontré la personne que je souhaite, est peut être un bon début, et que ma fois, on verra bien après... mais tout ceci m'angoisse...

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Voyage au bout de la solitude (2) Publié le Jeudi 6 Mai 2010 à 14:42:45

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« En proie à un fort dépit, il hurle et frappe le canoë avec la pagaie. Celle-ci se brise. Il a une pagaie de secours. Il se calme. S’il la perd, il est mord. Finalement, après un effort considérable et des jurons en abondance, il parvient à tirer son canoë hors de l’eau et il s’effondre épuisé sur le sable tandis que le soleil décline ». Alex (Chris McCandless), p64

 

 

« Il n’avait vu personne ni parlé à personne depuis trente-six jours. Pendant toute cette période, il vécut de rien, sinon de cinq livres de riz et de ce qu’il pouvait tirer de la mer », J. Krakauer, p64

 

 

 

"Est ce le même Alex que celui qui est parti en juillet 1990 ? La mauvaise alimentation et la route ont marqué son corps. Perdu plus de 13 kilos. Mais son esprit est au plus haut". Alex, (Chris McCandless), p65

"En Buck, la bête primaire et dominatrice était puissante, et dans les dures conditions de sa vie errante, elle ne fit que grandir encore". J. London, "L'appel de la forêt" (in "voyage au bout de la solitude", J. Krakauer), p67

"Soulagé d'avoir une fois de plus évité la menace toujours présente de l'intimité humaine, de l'amitié, avec le pénible bagage émotionnel qui l'accompagne". J. Krakauer, p93

"A l'instat de beaucoup de gens que la nature attire, McCandless semble avoir poursuivi une grande variété de plaisirs qui supplantaient le désir sexuel. Ses aspirations, en un sens, étaient trop puissantes pour être comblées par un simple contact humain". J. Krakauer, p110

"En février, à court de nourriture, il était mort de faim. Sans faire la moindre tentative pour se sauver, semble-t-il, car à cinq kilomêtre à peine il y aviat une autre cabane pleine de viande", J. Krakauer, p121

"Des corniches frêles comme des meringues surplombaient des vides profonds de 1 500 mêtres. Les murs de glace verticaux étaient aussi friables qu'un seau de cubes de glace à demi dégelé puis regelé. Ils conduisaient à des crêtes si étroites entre deux profonds précipices que la solution la plus facile consistait à avancer à cheval sur elles. Par moments, la douleur et la solitude le submergeaient, alors il s'effondrait en pleurant". J. Krakauer, p127

"La beauté de ce pays devient une part de moi-même. Je me sens plus détaché de lavie et un peu meilleur... J'ai quelques bons amis ici, mais aucun ne comprend vraiment pourquoi je suis là, et ce que je fais. Je ne connais personne qui dépasse une compréhension partielle; je suis allé trop loin dans cette voie solitaire". Everett Ruess, p147

"Les finesses, la stratégie, et tout ce qui allait au-delà des rudiments n'intéressaient pas Chris. Sa seule façon d'affronter une épreuve était de foncer droit devant avec toute son extraordinaire énergie. En conséquence, il était souvent décu". J. Krakauer, p175

"Chris se servait de l'aspect spirituel pour nous motiver, se souvient Eric Hathaway, un autre membre de l'équipe. Il nous disait de penser au mal dans le monde, à la haine, et d'imaginer que nous courions contre les forces du mal qui tentaient de nous empêcher de courir de notre mieux. Il croyait que la réussite venait entièrement du mental, qu'il suffisait de mobiliser toute l'énergie disponible". E. Hathaway, p177

"Tu vois, Eric, on peut lire des lives sur ces choses-là, mais on peut vriament les comprendre qu'en les vivant". Alex (Chris McCandless), p179

"Chris répondit que la carrière était une "invention avilissante du vingtième siècle", un assujettissement plus qu'un atout, et que tout irait bien en s'en passant, merci." J.Krakauer, p180

"Plutôt que l'amour, l'argent, la gloire, donne-moi la vérité. Je me suis assis à une table où il y avait de riches mets et des vins en abondance servis par des domestiques obséquieux, mais où la sincérité et la vérité étaient absentes; et j'ai quitté cette table si peu accueillante la famil au ventre. Leur hospitalité était froide comme la glace". Henry David Thoreau, Walden ou la vie dans les bois (in "voyage au bout de la solitude", p185)

"Il ne s'intéressait pas tant à l'argent qu'au fait qu'il réussissait à en gagner. C'était comme un jeu, l'argent servait à évaluer le résultat". Carine, p190

"Chris était le genre de personne à ruminer dans son coin, observe Carine. Quand quelque chose le tracassait, il ne venait pas en parler directement. Il le gardait en lui, il cachait son ressentiment et laissait se développer les sentiments hostiles". Carine, p191

"Apparement, à l'instar de beaucoup de gens, Chris jugeait les artistes et les amis proches non d'après leur vie mais d'après leurs oeuvres. Cependant, il était incapable d'étendre uen telle bienveillance à son père". J. Krakauer, p192

 

 

"Il fit le choix de garder pour lui, secrètement, ce qu'il pensait de ces sombres événements et d'exprimer sa rage indirectement, en silence et dans une retraite ombrageuse". J. Krakauer, p193

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Cher B, Publié le Jeudi 6 Mai 2010 à 10:30:33

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Aujourd'hui, c'est un peu la panique...

je viens de me lever... et pleins de truc à faire.

je finis mon jus d'orange, et je fais mon lit, ensuite :

  • je passe au tabac
  • je passe poser l'accusé de récéption au tribunal comme quoi on a recu le recommandé au sujet l'audience de la mise sous tutelle de mamie
  • je fais les courses à lidl
  • je vais à carrefour (magasine, bouquin, bouffe, alcool...)
  • je vais à la pharmacie (steri-strip, eau oxygénée, compresses...)

je sais, c'est pas grand chose, mais moi, ca me boulverse complètement d'avoir tant de choses à faire...

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