Bonsoir je reviens sur le cas de François Bayrou car cet homme politique apporte quelque chose de nouveau dans le clivage actuel à savoir qu'il ne se situe nie à gauche ni à droite un vrai centriste quoi ! De quoi donner le tournis à Santini et d'autres ténors de l'UDF qui se sont ralliés à Sarkozy ! Ce qui a de bien avec cet homme c'est que seule la valeur de l'individu et qui plus est s'il a de la volonté est importante . Si cela gêne les autres moi au contraire ,je trouve qu'il faut souligner ce mérite qu' enfin certains dinosaures comprennent que l'étiquette ne fait pas tout ! s'ils veulent que la France s'en sorte à tout point de vue eh bien il leur faudra retrousser leur manches gauche, droite on s'en fout cela fait plus de gâchis pour le citoyen ! qui ne demande qu'une chose, que sa vie s'améliore enfin ! Alors j'espère que François Bayrou sera fidèle à lui même malgré le danger de sa troupe qui semble séduite par le Sieur Sarko !
Bonsoir tout le monde en zappant sur les JT toutes chaînes confondues et en écoutant les candidats potentiels eh oui je dis bien potentiels il y a une évidence qui crêve les yeux ! Vont-ils vraiment pouvoir obtenir leur fameuses 500 signatures ! En 1962, le Général de Gaulle instaurait 100 signatures pour les candidats puis, la constitution a été révisée et aujourd'hui elle est au nombre fatidique de 500. Vu les difficultés actuelles pour eux et au nom de la démocratie, en tant que citoyen je pense et peut être que d'autres me rejoindront la-dessus, il vaudrait mieux diminuer le nombre de promesses de soutien a savoir 300 dont 150 seraient donnés de façon obligatoire et ce au nom du "principe de démocratie" qui serait ratifié par l'assemblée Nationale et le reste le candidat démarcherait comme d'habitude. Je ne sais pas si vous pensez comme moi mais j'ai l'impression que tout doucement notre démocratie républicaine tourne vers une dictature républicaine et cela nous ne devons pas l'accepter il suffit déjà de regarder ce qui se passe au niveau des journalistes que l'on met au pilon pour leurs idées ! certains hommes politiques oublient que le journaliste est d'abord un citoyen à part entière.
ROMAN POLICIER Ier CHAPITRE Les cadavres du canal épisode 3
la fouine marchait d'un pas rapide lorsque son téléphone sonna deux fois puis plus rien. Il reconnaissait là son ami Cadino travaillant pour le Parisien et c'est sans tarder qu'il se rendit sur le quai de Seine jouxtant la Mairie de Paris lieu habituel de rendez-vous qu' appréçiait la fouine. Après l'accolade les deux amis de longue date, marchèrent le long du fleuve se racontant quelques blagues avant d'en venir aux choses sérieuses.
- Alors Jacques que penses-tu des cadavres qu'on a découvert dans le canal ?
- Je dirais que c'est encore trop tôt pour dire quelque chose
- A d'autres ! j'te connais t'as une idée derrière la tête ! je le sais !
Peluchon eut un petit sourire puis fit comprendre à son ami qu'il adopterait le profil de la discrétion le temps de trouver ses marques. Le journaliste lui remit les noms des passagers de la voiture obtenue de façon illégale espérant ainsi être aux premières loges.
Dis moi ça te dit un petit resto chinois ? Il y en a un qui m'interresse depuis quelques jours
- Ma foi ouais très bonne idée
Peluchon emmena le journaliste déjeuner dans le 13ème arrondissement avec au menu canard laqué, riz cantonnais et observation du lieu fréquenté. Le journaliste regardait la fouine scrutant les clients du restaurant de la tête au pied sans en donner l'impression.
- l'un des passagers tu sais l'asiatique dont tu m'as donné le nom
- Ouais je t'écoute
- eh bien figure toi qu'il travaillait dans le restaurant où nous mangeons actuellement
- Comment tu peux dire ça ? Tu ne l'as même pas vu en photo.
- Tu vois la corbeille sur la table du fond de la salle, c'est une quête pour les défunts et depuis tout à l'heure plusieurs personnes sont allés mettre de l'argent et ont salué le chef cuisinier. Si c'était des funérailles classiques tu aurais vu une table réservée avec les membres d'une famille autour. J'en conclut donc que le chef cuisto est soi le frère de la victime ou un parent proche voir ami
A ces mots, Cadino recopiait scrupuleusement l'oral du détective afin d'ouvrir une piste qui les menerait aux autres passagers de la voiture. Les deux hommes se quittèrent promettant de se voir dès qu'il y aurait du nouveau. La fouine se dit qu'elle mangerait chinois cette semaine afin de causer avec le cuisto espérant que la langue ne serait point celle du silence.