suite (roman policier) I CHAPITRE LES CADAVRES DU CANAL épisode2
Le Gatt, eu tout d'un coup un sursaut à la vue d'une voiture extirpée hors de l'eau par l'engin mécanique sa cigarette elle-même s'enfuit de sa bouche pour finir sur le sol. Lorsque la grue déposa le véhicule sur le sol, l'on remarqua cinq cadavres tout frais moulu. Le Gatt n'osa pas regarder ce spectacle morbide alors que la police scientifique s'affairait déjà autour de la voiture. Il se renseigna auprès des ouvriers pour avoir une description de l'homme qui leur avait conseillé de faire venir la grue et changea d'humeur comprenant qu'il s'agissait de Jacques Peluchon. On ne pouvait pas dire que les deux hommes s'appréciaient d'autant que le policier lui en voulait d'avoir raflé les honneurs lors d'une précédente affaire du côté de Montfermeil. La "fouine", descendit d'un pas rapide l'escalier de son vieil immeuble pour prendre son petit noir chez Fernand le rade d'à côté où l'on carburait sec au p'tit blanc et calva. Les croissants chauds et le canard du matin attendait la bouche molle du fin limier.
- Je vois que le téléphone arabe fonctionne bien aujourd'hui ! dit-il d'un ton sec.
Tout le monde se tut un instant puis peut-être dans une fausse indifférence, la populasse du rade revint à son occupation quotidienne.
Fernand le patron faisait mine de compter le sou l'oeil en coin scrutant la "fouine" qui parcourait le canard annonçant la macabre découverte.
- J'me demande ce qu'il va nous pondre cette fois-ci dit une voix anonyme
- Il doit avoir une chance de cocu ce gars là ! Ils l'ont pas encore cané !
Las de ces mots, Peluchon quitta le rade, canard en poche sans oublier de lancer le sou sur le comptoir à la manière d'un basketteur. Le patron secoua la tête laissant échapper un sourire car Peluchon était le héros de ce boui-boui crasseux où au fond les gens avaient bon coeur.
- Bah ! cela nous fera des vacancces de pas le voir !
La fouine semblait déjà être en pleine action dès lors qu'elle avait quitté le petit café du coin. L'intérimaire laissait place au limier imperturbable doté d'un sens critique aigu qui irritait le poil de ses interlocuteurs.
encore un petit essai que j'ai écris ( roman policier)
I er chapitre LES CADAVRES DU CANAL episode1
Une chambre vétuste d'un vieil immeuble de Bondy, Jacques Peluchon, la trentaine vivant de petits boulots tardait à se lever en ce lundi 3 février 2000. Voilà déjà une semaine, qu'il demeurait dans son plumard sauf le temps d'aller chercher son paquet de blonde et de remonter aussi sec histoire de suivre les sitcoms du matin sur France 2. Il ne s'inquiétait guère de sa situation du fait qu'il disait à qui voudrait l'entendre, qu'il reprendrait le travail dans une semaine via la tournée des intérims. Alors, que l'on en était au flash de 8 heures, Peluchon avalait son petit noir d'un geste flemmard tout en réfléchissant à ce qu'il allait faire aujourd'hui. Ce serait tout d'abord une ballade sur les bords du canal de l'Ourcq puis il bifurquerait à la "Limoise" café restaurant de son pote Achille dit "Chilou". Le canal était d'une beauté sans égal pour Peluchon qui adorait marcher des heures durant à ses côtés regardant les pêcheurs assis sur leur petite chaise pliante buvant un coup le temps que la ligne morde. Il marchait d'un pas rapide ,se retrouvant vers l'une des parties les plus large du canal s'approchant un instant au plus près de l'eau, il vit une nappe noire plutôt bizarre à son goût au point qu'il fronça les sourcils. Conformément à son programme, il alla se restaurer chez son pote à la Limoise. Au menu, raie au beurre noir et pommes de terre au four. Peluchon arrosa le tout d'un bordeaux et fromton pour le finish et saluant son compère prit congé de la Limoise. Achille, sentait que son client peu ordinaire, reniflait quelque chose de pas très catholique. Peluchon à ses heures pouvait passer du simple travailleur intérimaire au détective amateur d'ailleurs à ce titre il traînait une réputation de fouine qui dérangeait de temps à autre les flics qui s'passeraient bien de lui dans certaines affaires qu'il avait réussi à démêler comme l'on fait avec une pelote de laine. Le pseudo-détective revint sur les bords du canal à l'endroit de la nappe noire histoire de vérifier ce à quoi il pensait. Des ouvriers de la mairie de Paris chargés de l'entretien des berges furent interpellés par Peluchon leur conseillant de faire venir une grue convaincu qu'une chose anormale reposait au fond de cette eau verdâtre. Le lendemain, l'engin fut emmené et commençait à sonder le fond de l'eau sous l'oeil médusé des cyclistes et piétons se demandant ce qu'il se passait. Les flics étaient là eux aussi avec le lieutenant Le Gatt qui se rongeait les ongles sous ce froid matinal pensant sans doute à son lit qu'il quitta d'urgence sous ordre de son supérieur. Peluchon n'était pas de la fête ce matin du fait que du temps, il en aurait pour mener à bien ses propres investigations laissant les flics commencer les préliminaires.
BONJOUR
Savez vous qu'un inventeur français a crée un moteur à air comprimé il y a quelques temps avec un modèle de petite voiture ? Le comble alors que tout le monde parle d'écologie tient du fait que cet homme a essayé de trouver des industriels en france pour produire cette voiture avec ce moteur "propre" sans succès ! Ce qui est incroyable ! Devinez quoi ! un lobby indien va financer son projet et les voitures avec ce moteur à air verront le jour l'année prochaine en Inde pour commencer. Je me demande pourquoi en France notamment, quand on a des hommes qui ont de très bonnes idées et qui plus est font des essais concluants de leur inventions on ne les aide pas comme il le faudrait ! Alors est - ce un complot de la part des autres constructeurs automobiles ? Son moteur a le mérite de ne pas utiliser de carburant alors affaire à suivre lorsque les voitures sortiront l'année prochaine