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Figs & Cie

Degemer Mat

Cet après-midi Publié le Jeudi 23 Octobre 2008 à 17:43:00
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Certains vont se dire:

 "Mais, quel est le rapport entre cette photo et le thème de ce blog?"

Et bien Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, il y en a un!
Allez, cherchez un peu. Vous ne trouvez pas?
OK, je vous donne un petit indice mais attention il n'y en aura qu'un alors faites turbiner vos méninges.

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Je pense que quelques uns ont trouvé.
Pour les autres, je suis allé chercher sur cette plage une bonne provision de sable pour les socles de mes figurines et pour mes décors (j'ai 3 collines en attente), mais ne l'ébruitez pas trop, il paraitrait que c'est interdit de ramasser du sable sur les plages.
Me voilà de retour avec 2 petits kilos de sable très fin et sans résidus de coquillages (il faut bien choisir son endroit, il faut pas aller à la première plage venue!).
Reste plus qu'à le faire sécher parce qu'en cette saison et même si nous avons un très beau début d'automne, y'a que la surface de la plage qui est bien sèche.

Une autre photo pour bien montrer au gens du sud qu'il n'y a pas que chez eux qu'il fait beau!
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Kenavo,

Padup.

Afficher les 2 commentaires. Dernier par PZKARL (il sait qui je suis) le 20-11-2008 à 22h04 - Permalien - Partager
Descente de Pictes Publié le Lundi 13 Octobre 2008 à 19:59:06

Le contexte : vers 410 ap-JC, Rome, submergée de toutes parts par les invasions barbares venant de l'est, abandonne la province de Bretagne (L'actuelle Angleterre) et évacue ses légions. La Bretagne dégarnie de troupes, engage des mercenaires anglo-saxons afin d'organiser sa défense contre les attaques des Saxons, des Pictes et des Scots (Irlandais).

 

Nous sommes à proximité du mur d'Adrien, un raid de Pictes, descendant piller les contrées du sud a été détecté après avoir franchi l'ancienne fortification. Aussitôt une armée se constitue, regroupant d'anciens soldats romains, des mercenaires Saxons et des troupes locales (appelées « anglaises »), pour intercepter cette force d'envahisseurs.

 

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Un des petits forts qui jalonne le mur d'Adrien.


Les deux listes  :


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La composition de l'armée romaine.


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La composition de l'armée Picte.


(Nous jouons avec un placement défini par chaque camp à l'issue de la mise en place des terrains)

 

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L'envahisseur disposant de 20 points de reconnaissance contre 11 pour le romain d décide de rétrécir la zone de déploiement de son adversaire de 20 cm supplémentaires de chaque côté.

 

L'armée « romaine » dispose à son aile gauche d'un corps d'alliés Saxons composé de 4 hordes de 6 socles (infanterie lourde), au centre le général en chef qui a sous ses ordres l'ancienne cavalerie « romaine »[ ainsi que 2 hordes de 4 socles de saxons et l'infanterie « romaine » au moral peu élevé (MA 1) dont il a donné le commandement à un général subalterne, enfin à droite, le corps « anglais » avec de l'infanterie moyenne en formation de base, quelques archers légers et une unité de cavalerie noble (cavalerie lourde avec javelots).

Le centre romain s'appuie sur une colline et un bois qui se révèlera dense et donc profitable au positionnement de son infanterie romaine moral aggravé 1.

 

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Le centre romain, à gauche l'ancienne infanterie romaine en formation archaïque, au centre les archers moyens et à droite, au premier plan les cavaleries et derrière les hordes de saxons rattachées au général en chef.


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A droite, le corps allié saxon.


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La restriction de déploiement a obligé le général saxon a disposer ses troupes sur deux rangs qu'il faudra étendre dès que possible.


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L'aile droite avec le corps "anglais". Le déploiement restreint a obligé à empiler quelque peu les unités.


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Le chef Picte (Frangus Mac Frilus) a disposé son corps le plus léger composé de ses chars, sa cavalerie et 2 hordes à 4 socles sur son aile droite, à gauche son plus gros corps dont 2 grandes hordes et de nombreuses autres et au centre a pris place le corps du général en chef.

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La cavalerie noble et les chariots légers de l'aile gauche.

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Les unités de choc de l'aile droite.

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Le centre picte dont la majorité des hordes est doté de fascines.

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Les "Arbalétriers" pictes.

Le Picte gagne l'initiative, son plan est de gêner le déploiement et la progression des saxons avec ses chariots et sa cavalerie, tous équipés de javelots, d'avancer quelques peu son centre puis de planter les fascines et de se retrancher derrière et surtout d'attaquer avec son aile gauche, la plus forte, d'écraser, les alliées « anglais » et de se rabattre sur le centre. Un seul ordre pour ces derniers : CHARGEZ ! (Ah ! Découvrir que le Capitaine Stark* a des origines Picte, un vrai choc !)

 * Capitaine Ambrose Stark, le capitaine du 22e de cavalerie

   (Ca ne vous dit rien ? Mais si ! Les tuniques Bleues de Raoul Cauvin)


Le romain n'a pas vraiment de plan mis à part que sa seule chance de vaincre est d'écraser le corps du général en chef et ainsi de faire partir en déroute l'armée ennemie complète. Il compte envoyer les saxons au combat soutenu par la cavalerie romaine. Le corps anglais doit retarder la progression des hordes pictes par ses tirs et profiter des opportunités qui se présenteront.

 

Les chariots viennent rapidement à portée de tir des saxons qui se déploient sur leur gauche pour occuper l'espace laissé libre par le déploiement restreint mais leur tir est peu puissant et s'ils font quelque peu reculer leur adversaires pendant leur phase, l'avancée de l'infanterie lourde se fera progressivement mais continuellement. Au centre le Picte avance ces hordes d'une vingtaine de centimètres puis plante les fascines et se met en position défensive. Le romain qui lui fait face avance sa cavalerie légère pour le gêner au tir suivie des 2 unités de lourde, installe 2 unités d'infanterie romaine dans le bois et couvre la colline, ou se sont postés ses archers moyens, par les saxons épaulés de la troisième infanterie romaine.

 

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L'avancée des premiers chariots, le but est de gêner par les tirs le déploiement et la progression du corps saxon.


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Le généralissime Frangus Mac Frilus à l'œuvre.


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La faible avancée du corps du général en chef picte dont les hordes ont déjà planté leurs fascines (représentées par les socles vides devant les figurines).


Par contre l'aile gauche picte avance, et bien que retardée par les archers légers et les javelots de la cavalerie anglaise, elle se rapproche dangereusement des lignes « anglaises », au point que la première ligne composée de 2 unités de lanciers décide de charger un groupe de deux hordes à six socles, combat pas très avantageux mais plus que si elles même se faisait charger. La première remporte le premier round et continue malgré les pertes, elle disparaîtra finalement en emportant la moitié de l'unité adverse, la seconde à moins de chance et sera détruite contre un seul malheureux socle. 18 points de moral perdus, le moral aggravé n'est pas loin.


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L'avancée de l'aile gauche picte, les tirs des archers ne seront pas suffisant pour la retarder efficacement.


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Vue du côté barbare (barbare c'est pour pas toujours employé le mot picte; rien de péjoratif!).


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Vue générale du champ de bataille avant les premiers combats.


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La première ligne de lanciers "anglais " va charger les 2 hordes à 6 socles.

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Abracadabra, les attaquants "anglais" ont disparus mais les hordes ont subis aussi des pertes (elles possédaient le double de socles que leurs assaillants)

Il va arriver, lorsqu'une grande horde charge la cavalerie noble qui esquive mais passe désordre, mais une deuxième charge réussie (jet de commandement à 4 !) ne permet plus l'esquive sans se faire rattraper et le combat doit être accepté. Un socle est perdu de chaque côté mais l'aile droite romaine est maintenant moral aggravé 1. Il ne plus qu'à reculer en ordre et retenir le plus longtemps possible le rouleau compresseur barbare.


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L'avancée inexorable et au fond la cavalerie obligée d'accepter le combat avec une grande horde soutenue par son général.


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Le 1er round de combat va finir par un match nul, issue heureuse pour la cavalerie en désordre. Le picte avait 20 dés d'attaque contre 3 tirs (à 6 du fait du désordre et qui ne toucheront pas) et 6 dés d'attaque pour la cavalerie. 10 réussite côté attaquant mais 6 sauvegardes (5+) pour l'anglais qui lui même fait 4 touches non sauvegardées. Patrick!


En aparté, on peut distinguer sur la photo ci-dessus l'inculte chef picte Frangus Mac Frilus, compter sur ces doigts s'il peut ou non gagner!


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La situation à l'issue des combats.


Pendant ce temps à l'autre bout du champ de bataille, s'opère un changement de place entre la cavalerie lourde romaine et les hordes saxonnes (Une manoeuvre en X digne du grand César lui-même). En effet, la cavalerie lourde face aux hordes campées derrière leur fascines est de peu d'efficacité (même si les tirs répétés des cavalerie légère les fait régulièrement reculer) et donc le général en chef qui les commande décide de leur faire dégager les chariots et la cavalerie de harcèlement pictes et de pouvoir tourner le flanc droit adverse. Manœuvre qui n'est pas des plus rapide, il faut contourner un terrain difficile infranchissable par les chevaux, mais qui se révèlera payante, les chariots sont repoussés vers le bord de table et une des cavaleries fondra sur une horde qu'elle détruira mais au prix élevé de 2 socles de pertes (mettant du même coup le faible corps gauche picte MA 1).


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Les saxons ont réussis malgré le harcèlement des chariots à se déployer et avancer.


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Les tirs des cavalerie légères "romaines ", peu gênées par la seule unité de tir du centre picte (qui leur occasionnera tout de même la perte d'un socle), sera par contre efficace à faire reculer les hordes et leur causer quelques dégâts.


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La manœuvre d'échange entre la cavalerie lourde du corps central et l'infanterie lourde saxonne.

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Rapidement les chariots et la cavalerie noble picte va devoir reculer surtout face à une cavalerie dotée de ténacité 1 et donc peu sensible aux tirs.

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Entre-temps, les saxons s'avancent vers le centre, avec comme objectif de bousculer le corps du général en chef Mac Frilus. La nuit arrivera avant l'affrontement décisif (il faut dire que Mac Frilus va récupérer ses fascines, reculer et reformer sa ligne défensive en arrière presque sur sa ligne de déploiement, toujours harcelé par la cavalerie légère.


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La partie se termine par une égalité quasi stricte en pourcentage de perte de moral.

 

La tactique du général Picte a péché à mon avis en voulant prendre beaucoup de troupes de choc au détriment d'unités de tirs (arbalétriers et archers) qui aurait pu gêner l'action de la cavalerie romaine et encaisser les tirs à la place des hordes (ce qui a nui à leur avance). Il a aussi vu la faible efficacité des chariots face à du lourd et surtout leur point faible: l'esquive et la faible distance de dispersion dont il dispose.

 

Pour le romain, la restriction imposée par l'adversaire de la zone de déploiement l'a obligé à passer quasiment 2 tours à se déployer efficacement,  temps qui lui a manqué en fin de partie pour tenter d'écraser le corps central.

 

Padup.

Afficher les 7 commentaires. Dernier par Phil le 05-12-2011 à 09h09 - Permalien - Partager
Vernissage Publié le Samedi 11 Octobre 2008 à 22:00:15
Tout droit sortis de l'atelier de finition, soclage/vernissage, voici mes dernières productions. Ça n'a pas été facile de se motiver pour peindre ces temps ci, mais comme il fallait que je finisse une cavalerie moyenne pour mes Carolingiens, alors je m'y suis remis cette semaine et j'espère continuer.

Tout d'abord, puisque j'en ai parlé juste avant, une cavalerie moyenne Dark Ages (Ages sombres pour les anglophobes). Nous allons débuter début novembre une mini campagne à 4 au club et j'ai choisi l'armée carolingienne (mes adversaires seront des normands, des Khazars et des vikings). J'ai pris entres autres (mais je ne peux pas tout vous dévoiler la composition complète ici, des espions ennemis m'ont été signalés trainant sur la toile ) 2  unités d'Ecuyers lombards, cavalerie moyenne de harcellement armée de javelots mais je n'en avait qu'une en stock, d'où obligation d'en peindre une supplémentaire pour avoir une belle armée.

Une petite pensée pour Pascal qui devait participer à cette campagne avec son armée Byzantine et qui nous a quitté brutalement, RIP.

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Il s'agit d'un mix de figurines (majoritairement Essex) trouvées dans le tiroir de Rab et qui pouvaient faire l'affaire. Ca de moins à s'entasser !

Pour rester dans la même époque, tout d'abord des anglo-Danois,  une unité de Housecarles:

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Là encore des figurines de la marque Essex avec 2 Touller.
Les Housecarles sont l'élite et l'ossature de cette armée, de vrais monstres : 4 en attaque, 5+ en sauvegarde, ténacité 2 et ardeur au combat 1. Si je vous dis qu'en plus il peuvent faire le mur de bouclier, je suis pas sur qu'on trouve beaucoup mieux (mais à 90 pts l'unité de 3 socles! Eh oui tout se paye!)

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2 unités d'archers saxons ou anglo-saxons ou anglo-Danois, des socles basiques qui vont couvrir une plage assez grande de la période, marque inconnue (achetées d'occasions, pas hyper jolies mais simples et rapides à peindre).

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Une unité de javeliniers, type de troupe qui commence à se faire rare dans les listes âges sombres (souvent remplacé par des archers ), mais qui figure encore dans la liste Anglo-danoise par exemple.

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Des lanciers plutôt typés slaves (Figurines Gladiator distribuées maintenant par Black Hat)

On saute quelques siècles plus tard et de l'autre côté de la Méditerranée, quelques compléments pour mon armée arabe, déjà présentée dans un article précédent :

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Des cavaliers légers avec arc (Essex).

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4 socles d'infanterie lourde (dont 2 de commandement avec des figurines gentiment fournies par Luc). Il me reste à mettre des bannières et un ou 2 décalcos sur les boucliers.

Petit bonus mais qui n'est pas de production locale (et loin de là puiqu'en provenance direct de Honk-Kong!) : de très jolis chevaliers période 1100-1200 (Essex) pour combattre les infidèles ci-dessus en Terre Sainte.

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Padup.



Afficher les 3 commentaires. Dernier par frank le 12-10-2008 à 21h55 - Permalien - Partager
Partie entre Romains César et Germains Publié le Dimanche 28 Septembre 2008 à 21:04:34
Samedi, nous avons fait une partie de DSC entre hordes de Germains, commandés par Frank et moi, et cohortes de romains César dirigées par le grand Brunius (Bruno pour les intimes), armées en 1700pts.

L'armée des Germains comprenait :
 - au centre le corps du général en chef avec 2 cavalerie escortée, 6 hordes de 4 socles et 2 unités d'archers légers.
 - à droite un corps regroupant les unités impétueuses avec 2 généraux, l'un commandant une grande horde (9 socles) et 2 javeliniers, l'autre 3 hordes (4 socles) et 2 javeliniers.
 - à gauche, le plus petit des 3 corps avec 2 cavaleries escortées et 2 hordes (6 socles).
Les guerriers germains (en hordes) ont comme caractéristiques d'être tenace 1, ardeur au combat 1 et de pouvoir adopter la formation en coin, bref de l'infanterie moyenne mais de bonne qualité. De plus certaines unités disposent de fascines.

L'armée romaine était composée comme suit :
 - au centre, le général en chef commandant une légion de vétérans et une de novices, 2 archers Crétois et 2 balistes.
 - à droite, un tribun avec sous ses ordres une légion de vétérans et une de novices et 2 unités de frondeurs des Baléares.
- à gauche, un petit corps de cavalerie avec 2 unités légères numides et 2 cavalerie des Trévires, cavalerie moyenne avec un moral aggravé 2.
Le romain à l'avantage d'avoir un excellent commandement et une bonne manœuvrabilité.

Autre avantage du romain, son bon général en chef lui permet de mieux gérer la mise en place des terrains et le germain se retrouve dans la plaine alors que son adversaire peut appuyer sa tactique sur 2 collines, une au centre sur laquelle il placera ses balistes et une autre sur son aile droite.


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La table de jeu, à gauche les Germains, on voit que le joueur romain dans la phase de mise en place des terrains à réussi à écarter sur le bord de table les deux bois que son adversaire voulait placer au centre pour faire obstacle au tir des balistes et gêner les cohortes (l'infanterie lourde dans les bois est pénalisée).

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L'aile de cavalerie romaine, presque pas de valeur combattive face aux hordes mais une grande capacité de nuisance face au corps impétueux germain.

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La masse des barbares.

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Les deux corps de légions, au centre la colline d'où les balistes peuvent arroser la moitié de la table. Devant celles-ci, deux unités d'archers Crétois avec discipline de tir, la puissance combinée de leurs tirs va fortement gêner l'avancée du corps central germain et occasionner les premières pertes.

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Le placement fait, le germain gagne l'initiative et commence sa progression en avant.

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Sur l'aile gauche germaine, les cavaleries escortées vont scotcher la légion de novices qui leur fait face et qui longtemps ne voudra pas quitter la position avantageuse de la colline. Au centre, les tirs combinés balistes-archers ont déjà fait reculer avec perte une cavalerie escortée, la deuxième ne va pas tarder à suivre le même chemin.

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On voit le centre germain en désordre suite au recul des cavaleries et le romain qui avance. Au fond, l'aile impétueuse essaye de se réorienter mais des échec d'ordre vont la faire avancer sur les cavaliers qui reculent.

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Un certain attentisme de l'aile droite romaine couplé, à là aussi des échecs d'ordres, font que ce corps est en retard sur l'avancée romaine. Les hordes du plus faible des corps barbares ont plantés les fascines et attendent elles aussi le romains.

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Au centre, les premiers combats, à l'initiative du germain, entre les deux corps des généraux en chef on fait des dégâts.

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On voit ici, un combat entre une horde et une cohorte de vétérans (une autre cohorte a été anéantie dans un autre choc). Il faut dire que pour ces premiers combats, les dés autant en attaque qu'en sauvegarde ont été largement en faveur du germain.

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C'est au tour du romain d'attaquer et le centre adverse va souffrir de la charge des cohortes. Les hordes attaquées vont être anéantis à peu de frais.
Au fond le puissant corps impétueux germain qui ne fera rien de la partie hormis faire reculer la faible cavalerie romaine et n'aura pas le temps de pouvoir se réorienter et intervenir au centre, là ou va se jouer la partie.

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Voyant leurs camarades attaquer, la légion de vétérans de l'aile droite décide enfin de descendre de la colline. Une des cohortes va tenter de percer à travers le mur de fascines.

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On voit la cohorte se heurter à une horde de six socles retranchée derrière ses fascines, elle va au premier round de combat faire reculer le germain mais ensuite elle sera repoussée et détruite pour la perte finale d'un seul socle de germain. Qui s'y frotte, s'y pique.

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La fin du corps du général en chef germain, à l'issue des combats précédents, il est passé moral aggravé 2 (moral aggravé 1 pour celui du romain) et pour éviter l'anéantissement et la défaite, il recule mais ce ne sera pas suffisant et la perte d'une autre horde sonnera la déroute et la fuite de l'armée barbare. Rome a vaincu.

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Les restes du corps central germain à la fin de la partie.

Padup.

Afficher les 5 commentaires. Dernier par nom le 27-12-2018 à 18h21 - Permalien - Partager
Une petite tribu de Celtes Publié le Lundi 8 Septembre 2008 à 18:47:23
Quelques photos de Celtes ou Gaulois (mais comme y'a des chariots on va dire des Celtes), c'est pas du récent mais comme j'ai pas mis la main sur un pinceau depuis 10 jours, pit-être que ça va me remotiver un peu!

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Figurines Corvus Belli sauf le socle de druides derrière avec 2 Donnington et les figurines du socle d'infanterie (commandement) que l'on aperçoit à l'arrière plan gauche qui sont des Touller.

Padup.

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Spécial Dédicace Publié le Dimanche 7 Septembre 2008 à 12:07:36
Ça n'a aucun rapport avec le sujet du blog mais là je suis un peu vener comme dirait les jeunes alors :
Merci Raymond, j'aurais mieux fait de regarder le Best of  NTM sur Virgin 17, voire même c'est vous dire le Catch américain sur NT1 (et pourtant qu'est ce que c'est mauvais ou alors j'ai pas compris que c'est en fait un spectacle comique?).


Allez tous avec moi : RAHHHHHHHHHHHHHHHHHH!
Ah qu'est ce que ça fait du bien!

Padup.
Afficher les 3 commentaires. Dernier par Padup le 07-09-2008 à 22h20 - Permalien - Partager
Journée des associations à Bruz Publié le Dimanche 7 Septembre 2008 à 11:25:54
Hier, c'était la journée des associations à Bruz et comme chaque année, nous animons notre stand avec de petites parties de figurines. Cette année, la section historique a fait le matin une partie navale sur la règle "Empires des mers" et l'après-midi du Basic Impetus, avec aussi la participation de membres de la section fantastique qui avec du Warhammer 40k attirèrent beaucoup de jeunes.

La partie "Empires des mers", a vu s'affronter une flotte russe d'un côté et française de l'autre. Chaque camp comptait 3 escadres, une de 4 pré-dreadnoughts, une de 4 croiseurs légers et une troisième composée de 2 croiseurs blindés et 1 croiseur léger côté français et 2 croiseurs blindés côté russe.

la partie a duré trois petites heures entrecoupées bien entendu (c'est le but) de questions autant sur la partie que sur l'association. Nous avons fait 7 tours et l'engagement a été intense et a vu une victoire tactique russe, ce dernier n'ayant pas perdu d'unités contre 3 croiseurs légers et un
pré-dreadnought pour les français. Il faut dire que le placement et les évolutions ont amenés l'escadre de croiseurs légers française du côté de l'escadre lourde russe et cela n'a pas pardonné. Dès le 1er tir, un croiseur léger français était envoyé au fond par une salve de calibre 12.
Ensuite ce fut le tour de 2 autres avant que ces 2 lignes ne s'éloignent. Puis le 
pré-dreadnought Henri IV (pas le meilleur des français), en tête de ligne, subit le feu des croiseurs lourds russes, et sombra à la suite d'un incendie non maitrisé (deux résultats 10 au dé de suite) qui entraina l'explosion de la soute à munition principale.
Côté russe, s'il n'y eu pas de perte, certains navires étaient mal en point, un croiseur léger réduit à l'état d'épave qui quittait son escadre à vitesse fortement réduite, et 2
pré-dreadnoughts qui avait entre un tiers et la moitié de leur points de structure détruits.

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La flotte française, au premier plan la ligne de
pré-dreadnoughts, de l'avant sur l'arrière: Le Henri IV, le Jaureguiberry, le Charles Martel et le Suffren.

 Les navires sont à l'échelle 1/3000ème de marque Navwar.

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Vue de dessus, les plus proches, l'escadre mixte composée de la gauche vers la droite :
le d'Entrecasteau, le Julien de la Gravière (LC) et le Chateaurenault.

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La première perte. On voit sur la droite la ligne avancée de l'escadre de croiseurs légers et le trou en 2ème position crée par la perte du Lavoisier, croiseur léger de la classe du même nom.

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Vue générale avec à droite la flotte russe, la perte du Lavoisier est du au tir du Borodino, navire de tête de l'escadre lourde.

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L'escadre de croiseur léger russe avec en tête l'Aurora, l'arrière de cette ligne sera bientôt sous le feu des
pré-dreadnoughts français et le l'Izumrud (3ème de la file) ne s'en sortira pas intact.

L'après-midi et après la pause galette-saucisse, 2 parties de Basic Impetus, la première entre Mycéniens et Égyptiens qui vit l'anéantissement des premiers et la seconde entre Romains République et Carthaginois, ces derniers l'emportant.

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La table de Basic Impetus de la deuxième partie avec en arrière plan la démo Warhammer 40k.
Les figurines appartiennent à Bruno et sont soclés pour Basic Impetus.

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A gauche les romains, à droite les carthaginois.

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L'aile droite romaine avec 2 unités de cavalerie moyenne.

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L'armée carthaginoise, au premier plan une unité de cavalerie légère numide.

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Une autre cavalerie numide en train de tourner le flanc gauche romain, la dernière légion romaine, malgré sa position sur la colline sera détruite par l'attaque combiné d'une horde celte et de la cavalerie numide.

Padup.

Afficher les 6 commentaires. Dernier par Padup le 09-09-2008 à 17h59 - Permalien - Partager
Test Publié le Samedi 23 Août 2008 à 17:40:42
A priori, il est impossible de mettre un commentaire à côté d'une photo, mais là il y a comme un Bug, non?Image

Padup.

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Tout droit sortie de la boite à vernis! Publié le Samedi 23 Août 2008 à 17:35:33
Tout d'abord, une unité de Thraces, troupe que l'on retrouve dans pas mal d'armée de la période classique.

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Figurines Chariot Miniatures, une seule pose, l'officier provenant d'un sachet de commandement grec.

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Avec quelques transferts Veni, vidi, vici sur les boucliers.

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4 socles d'infanterie franque, pour la période croisade mais qui comme les Thraces peuvent servir dans d'autres armées, normande, Bretonne, ou toute autre occidentale du X et XIème siècle. Un Mix de figurines essex, Museum et Black Hat.

Et enfin, des Celtes/Gaulois, j'ai normalement fini toute l'infanterie que j'avais, il ne me restera plus que de la cavalerie, mais comme j'en ai déjà 6 unités, je suis pas pressé, voire même j'hésite à les faire. je vais peut-être les transformer en 2 unités de cavalerie légère pour pouvoir faire la liste des Bretons (mais il faudra alors faire aussi quelques socles de javeliniers en plus )
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Des archers, unité d'infanterie légère que l'on retrouve dans les listes tardives de celtes et celles des Gaulois. Figurines Corvus Belli.

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L'infanterie, exclusivement classée moyenne (c'est à dire 3 figurines sur un socle de 40mmx20mm), souvent impétueuse. Essentiellement des Corvus Belli avec quelques Touller.

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3 figurines Touller.
Petit aparté, Alain Touller est le seul fabricant de figurines de l'hexagone, donc je fais un peu de pub, voici l'adresse de son site commercial:
http://www.atoufigs.com/

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Idem sauf le mort qui est de marque Donnington.

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Une horde de 4 socles, figurines Corvus Belli, une réelle diversité de poses, et comme les boucliers sont à coller pour la plupart (prévoir la colle lors des parties!), on peut encore varier un peu plus.

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Padup.

Afficher les 4 commentaires. Dernier par Padup. le 24-08-2008 à 20h04 - Permalien - Partager
Volley & Bayonet : Dennewitz. Publié le Jeudi 21 Août 2008 à 20:08:15
Dans le cadre d'un second test de la Règle "Volley & Bayonet" (période de l'Empire), nous avons pris comme scénario historique la bataille de Dennewitz, qui a eu lieu le 6 septembre 1813 et qui vit s'affronter une armée française commandé par Ney et une armée Prussienne commandé par Von Bülow. Scénario ambitieux au vu du nombre des unités et dont nous n'avons joué qu'une partie (l'équivalent de 3h00) mais dont nous disposions à peu près des figurines pour le faire (certaines non peintes comme vous le verrez).

Cela nous à permis de bien voir les fonctionnements de la règle, d'en appréhender l'usage et bien entendu de nous poser des questions sur certains points qu'il faudra éclaircir.
Pour moi l'avantage de cette règle c'est quelle ne m'a pas semblé trop compliquée à comprendre, et pas trop lourde à mettre en œuvre.

Voici quelques photos, elles seront assez peu légendées, m'étant plus intéressé à la compréhension de la règle qu'au scénario (adapté par Luc) et aux descriptif des unités présentes. Ne jugez pas trop sévèrement les décors, on a fait avec ce que nous avions et avec un délai assez bref d'organisation  ).

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Le placement initial des troupes Prussiennes, essentiellement composées d'unités de Landwehr mais bien positionnées sur une colline avec devant un village déjà investi par les français.


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La vue côté français, à droite un corps italien et côté prussien, à l'extrême gauche, les 1ers renforts qui arrivent.

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Les 1ères lignes françaises au pied de la colline.

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Un petit corps de cavalerie prussien (1 cavalerie landwehr, 1 cavalerie moyenne et un artillerie à cheval) rentrant au 1er tour en renfort sur le flanc gauche des français et dont la présence va gêner (modestement) le déploiement des renforts français et en chargeant, détruire 2  artillerie isolée progressant sur la route.

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L'avancée de l'aile gauche française.

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Les Prussiens prennent position pour retarder cette progression.

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Les français sont nombreux et les premiers combat sont acharnés.

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Pendant ce temps là, le corps italien à pris pied sur la colline, le prussien se positionne pour essayer de l'en déloger. La bataille de ce côté là sera aussi âpre et à la fin de la partie, l'italien y est toujours même si les pertes sont nombreuses chez lui et les renforts inexistants pour venir le soutenir.

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Vue côté français du champ de bataille.

Padup.

Afficher les 7 commentaires. Dernier par Batlin le 31-08-2008 à 12h50 - Permalien - Partager