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poetenegre

lenegrenoir

bienvenue Publié le Lundi 18 Août 2008 à 23:20:48

Bienvenue

Ce blog a un but et un objectif,voir et retrouver l'expression des sentiments humains.C'est mieux un portail qu'un blog parce que cet espace devra etre immense pour que cette communion soit belle et fructueuse.Beaucoup de poèmes y seront posés,des vers sans style ni technique,qui disent cependant les profondeurs d'un coeur;le coeur de nègre noir devenu poète.Que tous viennent y jeter un regard,bref ou circonspect pour la survie de la littérature.

Afficher le commentaire. Dernier par tidipadapam le 19-08-2008 à 01h47 - Permalien - Partager
royaume perdu Publié le Mercredi 20 Août 2008 à 22:43:53

Le jour où veindra l'été

on partira main dans la main,

dans la nature,grande beauté,

marchant sur le secret chemin

qui s'ouvre sur des rèves.

On passera sous l'ombre

où nos senteurs si brèves

rempliront cette pénombre

d'un éclat de merveilles.

On chantera des chansons

des époques très vieilles,

et nos amours sur ces sons

porteront de belles ailes.

On s'envolera tout deux

sur des sommets de grèles,

et meme ces froids cieux

fondront devant nos pas.

On sera deux,quel bonheur!

L'amour,ontueux repas,

délice en cette heure,

chaleurs,caresses et calins!

On descendra dans des plaines,

fiers comme de petits felins,

nos crinières telles des laines

couronneront tous nos ébats.

Princesse en ce bel instant,

prince dans tes doux bras,

suivant la voix du vent

on trouvera notre royaume.

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le chagrin Publié le Mercredi 20 Août 2008 à 23:00:05

Le souvenir de cette ère

courant en mon triste coeur

comme la morsure d'une vipère

me remplit de grande douleur.

Les éclats de tes sourires,

les éclairs de tes baisers,

autrefois tous des délires,

aujourd'hui de tristes gésers.

Comme une fumée de nuages

se dissipant dans les airs,

mes peines comme des orages

s'expriment en vifs éclairs.

Elles deviennent des foudres

quand parait la tempete,

et comme de noires poudres

explosent ma tete.

Ma raison à l'endroit,

mon coeur à l'envers,

pour me tenir droit

il m'a fallu tous ces vers.

Quel homme peut oublier

ces hum!ces frissons?

Quel homme peut délier

les paroles des chansons?

Autant quitter son corps

pour devenir un esprit,

mais meme au dehors

cet amour toujours vit.

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Le chant du colibri Publié le Samedi 23 Août 2008 à 22:10:07

Le chant strident du colibri,

caché dans son sombre abri,

déchire cette nuit de voile

comme une lumière d'étoile.

Tout est triste,tout est calme,

et devant cette nuit sans charme

le petit oiseau crit son chant.

Son regard d'un air méchant

perce ce gros vetement noir

d'où l'oeil du poète peut voir.

Il reste ébahi devant le spectacle

comme l'incrédule face au miracle,

et son esprit comme une onde

capte merveilleusement ce monde.

Lorsqu'il sort de cette sphère,

beauté parfaite,beauté éphémère,

il voit la terre,son univers

comme marchant à l'envers.

La tristesse remplit son coeur;

il pleure certes sans rancoeur

mais la douleur qu'il reçoit,

de son monde le déçoit.

Ont-ils des yeux ou des oreilles

qui voient ou entendent ces merveilles?

ou une raison ou un esprit

qui perçoit ce qui vit?

Ce chant,délire d'un oisillon

annonce l'approche du tourbillon.

Ce n'est donc pas un hasard

que,sous le charmant regard

de la nature,le bel oiseau

chante brillament son morceau.

S'il organise ce nocturne concert,

c'est qu'en vérité il nous sert.

Il nous faut preter ame et coeur

pour saisir le sens de ce choeur.

Afficher le commentaire. Dernier par des recettes traditionnelles et authentiques le 29-07-2013 à 10h08 - Permalien - Partager
Les hirondelles Publié le Samedi 23 Août 2008 à 22:21:21

Sous un ciel de beau soleil,

une ronde de belles hirondelles,

ombre dans une lueur d'étincelles

faisait battr son plumage vermeil.

Comme l'éclair dans sa lancée,

l'envol de ces beaux petits etres

faisait s'ouvrir toutes les fenetres.

L'oeil en l'air,la tete balancée,

le regard se perdait dans ce paysage.

Dans le ciel s'ouvrait ce théatre

que projettait le soleil,bel astre!

La joie rayonnait les traits du visage

où s'irradiaient de blancs sourires.

La tristesse s'en allait lasse

détachant les coeurs de sa nasse;

la bouche esquissait des rires

à la vue de cet envol d'hirondelles.

Sous ce ciel de beau soleil,

faisant battre leur plumage vermeil,

ces oiseaux devenaient des étincelles.

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