Blog créé grâce à Iblogyou. Créer un blog gratuitement en moins de 5 minutes.

l'entreconnaissance

Congratulations on the occasion of Eid Al-Adha Publié le Lundi 29 Septembre 2014 à 23:17:00

Congratulations on the occasion of Eid Al-Adha

       

I send to the Muslim Brothers my sincere congratulations and best wishes on the occasion of Eid Al-Adha, asking God to protect them and preserve our country from all evil.

There is no freedom and no dignity without a real honest relationship recognizes and accepts the other as a brother and a partner in the land and home. Our citizens have suffered greatly from a variety of conflicts and wars, there must be genuine reconciliation, a brave dialogue, and an effective political approach to restore peace,  security and stability.

By awareness and education that incubates the religious, cultural, and national diversity and spread the culture of peace, tolerance respect, justice and dialogue we will maintain our national identity and unity, and raise barriers and promote trust and co-existence and eliminate all extremist ideology and everyone who urges to hatred and violence. This is the road map for the salvation of the disturbing situation.

We Iraqi Christians are a genuine and essential component in Iraq, we would like to stay with you as partners and work together as a team for the progress of our country and the good of our people. ISIS has displaced us of our towns and even in Baghdad the pressures are exerted on us, but we tell you that we love you because Jesus Christ commanded us to love everyone. We believe that all Muslims DO NOT approve the actions of ISIS and there are some of Muslims who are good and considered as a blessing like Dr. Mohammed Al-Asali, who was killed in defence of Christians in Mosul. We hope that you openly declare your reject and condemnation of violent religious extremism because it distorts the religion.

On this occasion, we call on our national government to unite and cooperation with the Kurdistan Regional Government quickly to liberate Mosul and the towns of Nineveh Plain and other cities so that the million and half of million displaced people can go back to their homes as fast as could especially schools will open their doors after the Eid al-Adha holiday and winter is coming.

We wish you happy Eid Adha , that returns the values ​​of sacrifice for the respect of human rights and dignity, not sacrificing people.

 

+ Louis Raphael I Sako

Chaldean Patriarch of Babylon

 

27 september 2014



Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
Publié le Lundi 29 Septembre 2014 à 23:14:52

Bruxelles 2 – 27 sep

Irak. La 3e guerre du Golfe démarre en trombe. 5 minutes de réflexion ?

Nicolas Gros-Verheyde / Editorial, Moyen Orient Golfe / Daech, démocratie, EEIL, intervention militaire, Irak, islam, Terrorisme / 0 Comments

(BRUXELLES2) Les tambours de l’intervention militaire roulent. Les mots claquent. Terrorisme, Déstabilisation, Danger. Pour la cinquième fois en 20 ans, une coalition internationale se met en place pour intervenir dans le monde face au « terrorisme » – dont deux fois déjà dans le même pays (Irak 1991, Afghanistan 2001, Irak 2003, Libye 2011). De façon plutôt étonnante, on se donne très peu le temps des explications, préférant laisser libre cours à l’émotion. L’exécution publique de quelques otages palliant à ainsi à toutes les interrogations. Et cependant il y en a…

L’axe du mal a changé de versant

L’ennemi est aujourd’hui désigné. Ce n’est plus Al Qaida ou les Talibans, cette fois ce n’est plus Saddam ou Kadhafi, les talibans afghans qui sont visés, l’ennemi, c’est Daech, l’état islamique en Irak et au Levant (EIIL, ISIL ou ISIS selon les appellations). Tout le monde se parle aujourd’hui, de façon quasi ouverte (ce qui est un changement), et s’échangent des informations : Américains et Iraniens, Français et Algériens, Arabes du Golfe entre eux. Le dirigeant syrien Bachar el-Assad n’est plus honni, ce n’est plus l’ennemi à abattre. L’Iran devient un allié plus que fréquentable, un partenaire. Quant à la Russie de Poutine, elle se tait, victorieuse dans sa posture de départ : soutenir les régimes en place. Et l’axe du mal a changé de versant. Un terroriste chasse l’autre. Mais chacun reste en place, sauf quelques « despotes », qui ont valsé, mais à leur place c’est un terreau de haine et une large instabilité qui se sont installés. Quelle leçon tirer de l’expérience passée ? Comment réussir à juguler les foyers d’instabilité déjà existants ? Comment éviter créer d’en créer autres ? Qui sera  » l’ennemi  » de demain : en 2015, 2016, 2020 ?

Une coalition en mode « improvisation »

De façon insensible, l’intervention occidentale est passé d’un soutien humanitaire, puis en équipements militaires aux forces kurdes et irakiennes à un véritable engagement armé menée par une coalition, dont tous les contours sont encore flous. On apprend les ralliements des uns et des autres au jour le jour, parfois au moment même d’un bombardement. Cette coalition assez informe regroupe de façon très malencontreuse, et pour tout dire dangereuse, ce qui ressort de l’action universelle – l’action humanitaire – et ce qui ressort de l’action de force. n’a d’ailleurs pas encore de commandant en chef attitré, même si on voit bien que c’est l’état-major américain basé au Qatar qui coordonne l’ensemble. Il n’a pas encore de nom, même si au niveau national, chaque pays a donné un nom de code (Chammal pour la France). Aucune organisation n’a pris le relais pour chapeauter cette coalition qui pourrait ainsi rester ad hoc comme en 2003. Mêler l’humanitaire au militaire est-il une bonne chose ?

Une stratégie difficile à percevoir

La guerre durera plusieurs mois, plusieurs années, ont averti les chefs d’Etat major. Mais pour quel objectif ? Le flou règne. Chacun n’a qu’un mot en bouche : « neutraliser », « éradiquer » Daech. Mais c’est un peu court comme stratégie. On a vu comment cette stratégie « contre » un ennemi désigné avait joué des tours en Afghanistan. « Eradiquer » ca veut dire « mettre au tapis ». Or, il ne s’agit pas d’un groupe d’une vingtaine de déseperados qu’il s’agit de réduire au silence. Mais plusieurs milliers de soldats (entre 20 et 25.000 selon les estimations), avec matériel, financement et organisation. Une organisation qui arrive à drainer derrière elle non pas seulement des populations locales mais aussi des « immigrés européens ». Des personnes qui n’avaient que faire jusqu’à aujourd’hui des combats entre sunnites et chiites mais ont besoin de retrouver une fierté qu’ils ont perdu ou ils n’ont pas eu. Là encore, on ne compte pas ces « combattants européens » (et non étrangers comme on les nomme souvent par facilité) sur les doigts d’une main mais par centaines. Le risque d’une réimportation du conflit, en cours de celui-ci ou à la fin du conflit, n’est pas une vue théorique. Le renforcement policier suffira-t-il ?

Une drôle de guerre

Lutter contre Daech avec les raids aériens apparait comme la partie la plus simple, la plus facile de l’opération, je dirais presque la plus joyeuse, en tout cas la moins couteuse politiquement. La vraie bataille sera ailleurs. C’est une grosse différence avec les principaux engagements. Lors des précédentes interventions (Afghanistan, Irak, Libye…), passés les premiers jours, une relative indifférence avait suivi. Seuls les militaires, leurs familles et quelques personnes sensibilisées se sentaient concernées. Aujourd’hui avec la présence de combattants européens, en nombre, c’est le contraire. Le plus grand danger de cette avancée de Daech (alias état islamique) comme de l’intervention militaire sera à l’arrière. Un versant d’autant plus difficile à assumer pour nos sociétés, pour nos démocraties qu’elles devront se battre sur plusieurs fronts : à la fois pour conserver leur sens de la liberté et de la discussion, pour ne pas céder à la peur et à l’intolérance, et aussi pour lutter contre les possibles « fauteurs de troubles ».

Stopper la fabrique de terroristes

L’effort ne doit pas, en effet, se porter tant sur l’offensive guerrière que sur la reconquête des esprits et des corps à l’intérieur de nos sociétés. Si un effort de compréhension, un sens de l’intégration plus poussé, un changement de braquet et de discours n’est pas obtenu, la « fabrique de terroristes » continuera à exercer son activité. Et les lendemains de cette intervention seront plus noirs que la non-intervention. Il va surtout falloir redonner du sens, de la fierté à une partie des citoyens européens qui ne se reconnaissent pas (ou plus assez) dans leur pays d’origine (France, Belgique, etc.) et préfèrent aller donner leur sang et leur énergie dans d’autres contrées. Si on ne commence pas à comprendre ce qu’est l’Islam d’aujourd’hui, à lui donner un sens plus moderne, à donner toute leur place dans le débat public, et non pas à le mépriser, à ne le sortir qu’en cas de problème, on s’achemine vers des lendemains, très durs.

 

(Nicolas Gros-Verheyde)

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
Publié le Lundi 29 Septembre 2014 à 22:54:56

LE NOUVEAU DÉFI RÉPUTATIONNEL DE LA COMMUNAUTÉ MUSULMANE

Rédigé le Jeudi 25 Septembre 2014
Le nouveau défi réputationnel de la communauté musulmane
Il s'est passé quelque chose d'effroyable dans la séquence que nous venons de vivre en moins d'une semaine entre l'appel à tuer les américains et les français et l'assassinat épouvantable et barbare de Hervé Goudel. 

Une armée de musulmans, certes fanatisés à l'extrême et non représentatifs, a pris d'assaut la une des médias du monde entier pour manipuler l'opinion à qui elle jette en pâture le spectacle abject de sa sauvagerie pour mieux susciter la terreur. 

A l'ère des réseaux sociaux et de la vidéo virale, ces combattants ont réussi a faire parler d'eux au-delà de ce qu'ils représentent. Mais, ce qu'ils ont aussi réussi à faire, c'est de lancer un immense défi à la communauté musulmane.  

De quoi s'agit-il ? 

Cette barbarie est-elle l'enfant naturel de la religion ? Est-elle représentative de la colère des musulmans du monde entier ? Découle-t-elle de l'enseignement des écritures ? J'ai évidemment l'inclinaison naturelle à répondre par la négative à ces trois questions mais, dans les faits, ce n'est pas à moi que ces questions sont posées mais aux musulmans eux-mêmes.  

C'est à tous les musulmans du monde entier qu'il revient aujourd'hui de se démarquer de ces fous furieux qui égorgent et décapitent en se drapant sous les habits noirs de leur "foi" pour justifier des actes inqualifiables. 

Si l'actualité continue d'être parsemée de ces horreurs, je prédis qu'il va devenir de plus en plus compliqué pour le grand public de faire la part des choses et, pour le coup, les sociétés telles que la France seront tentées de faire des amalgames inappropriés et dangereux pour les valeurs de notre république.  

Moi-même, je me suis surpris à ressentir une forme de malaise en croisant dans le RER il y a quelques jours un barbu vêtu de sa djellaba et de quelques attributs traditionnels. J'ai été confus et agacé de ressentir ce trouble, je me suis même senti coupable. Mais je me suis dit qu'il était révélateur d'une confusion qui infuse sournoisement les esprits et que j'en étais moi aussi victime.  

Pourquoi est-ce que je vous parle de ça sur ce blog dont la ligne éditoriale (si tant est qu'elle existe) a pour ambition prendre de la distance par rapport à l'actualité et de traiter de sujets sous l'angle de la communication ? 

Tout simplement parce que je pense que le défi que doivent relever les musulmans du monde entier est un défi d'image, de réputation et qu'il va être passionnant d'observer comment ils vont collectivement s'en sortir. L'enjeu est énorme car s'ils ne font rien ou simplement se contentent d'adresser des communiqués de presse de désapprobation, ils vont se faire piéger par ces fanatiques dont les violences vont réussir à pourrir l'image de toute la communauté comme un mauvais cancer.  

C'est une situation de communication que l'on rencontre souvent en économie. Il y a souvent dans certains secteurs des brebis galeuses, des acteurs qui font leur métier n'importe comment mais qui réussissent néanmoins à faire parler d'eux. S'ils deviennent "mainstream" sur les canaux de communication, si leur notoriété explose, il ne se passe pas beaucoup de temps avant que leur attitude condamnable contamine tous les professionnels et emporte la réputation de tout le monde par le fond. Réfléchissez et je suis sûr que vous connaissez des entreprises ou des marques qui ont nui à l'ensemble d'une industrie par des comportements déplorables, et alors même qu'ils n'étaient pas représentatifs des pratiques majoritaires.  

Même si nous sommes à une autre échelle de l'horreur, c'est ce à quoi la communauté musulmane est aujourd'hui confrontée et ce, dans le monde entier. Une partie de son histoire se joue maintenant et c'est une guerre d'influence et de réputation qu'ils vont devoir livrer pour se démarquer, s'inscrire en faux sans la moindre ambiguité et affirmer au monde entier qu'on ne peut pas associer leur religion à cette barbarie. 
http://www.ginisty.com/Le-nouveau-defi-reputationnel-de-la-communaute-musulmane_a1102.html

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
Publié le Lundi 29 Septembre 2014 à 22:17:53

Editorial de Ghaleb BENCHEIKH

Un de nos compatriotes, tombé entre les mains d’un groupe de barbares fanatisés, a été lâchement assassiné. C’est avec horreur, consternation et indignation que nous apprenons ce crime abject. Nous nous inclinons devant la mémoire de notre compatriote Hervé Gourdel. Cette ignominie s’est abattue encore une fois au nom d’un prétendu islam dans lequel aucun de nous ne se reconnaît nullement. Nous musulmans de France, ne pouvons qu’exprimer notre répulsion et dénoncer avec la dernière énergie ces crimes abominables perpétrés au nom de notre tradition religieuse. Celle-ci est avilie et son message est perverti, religion dont les fondements mêmes, nous l’avons toujours cru, sont la paix, la miséricorde et le respect de la vie.

Simplement, cette affirmation incantatoire n’est plus suffisante. Nous adjurons les hiérarques et les théologiens musulmans de s’atteler à la grande entreprise qui consiste à désacraliser la violence et sortir des idéologies meurtrières drapées dans le discours religieux. Nous sommes arrivés à ces atrocités à cause de la démission de l’esprit depuis des décennies et l’abdication de la raison devant le détournement des valeurs spirituelles pour assouvir la haine et verser dans la barbarie. Ce travail de refondation de la pensée islamique est une nécessité impérieuse. Nombreux sont les manquements à la liberté, à l’égalité et à l’humanisme qui sont à déplorer dans une vision théologique surannée, passéiste et rétrograde.

Nous dénions certes à ces êtres sauvages le droit de se revendiquer de l’islam et de s’exprimer en notre nom. Mais, nous devons débusquer aussi tout ce qui a pu à travers l’histoire servir à tort ou à raison de prétexte pour adosser leurs crimes à des préceptes religieux d’essence islamique. L’architectonique doctrinale de l’idéologie islamiste qui nous a causé beaucoup de torts ne repose que sur des artefacts fallacieux que nous devons dirimer. Les supplices et la mort que des terroristes djihadistes infligent à nos frères chrétiens, azéris et musulmans perçus comme tièdes, en Syrie, en Irak, au Nigeria et ailleurs, nous révulsent et heurtent notre conscience. Ils nous rendent encore plus malheureux de ne pouvoir faire rien d’autre que d’exprimer notre solidarité et notre immense compassion.

Nous tenons à exprimer avec force notre totale solidarité avec toutes les victimes de cette horde de barbares, guerriers égarés d’un prétendu État islamique, et dénonçons avec la dernière énergie toutes les exactions commises au nom de croyances fanatiques destructrices qui se cachent derrière la religion islamique en confisquant son vocabulaire. Personne ne peut s’arroger le droit de s’exprimer en notre nom et de salir ainsi notre tradition.

Faut-il pour autant se contenter d’exprimer notre solidarité sans aller plus loin dans l’expression de notre fraternité ? Non ! Car il est de notre devoir, au nom précisément des valeurs de paix et de fraternité auxquelles nous croyons avec force, de continuer à oeuvrer inlassablement pour qu’une ère promise de concorde et d’entente puisse très tôt advenir. C’est notre invincible espérance.

Ghaleb Bencheikh, le 24 septembre 2014

 

publié sur le site de Religions pour la Paix - France : http://www.religionspourlapaix.fr/

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
Publié le Lundi 29 Septembre 2014 à 22:17:53

Editorial de Ghaleb BENCHEIKH

Un de nos compatriotes, tombé entre les mains d’un groupe de barbares fanatisés, a été lâchement assassiné. C’est avec horreur, consternation et indignation que nous apprenons ce crime abject. Nous nous inclinons devant la mémoire de notre compatriote Hervé Gourdel. Cette ignominie s’est abattue encore une fois au nom d’un prétendu islam dans lequel aucun de nous ne se reconnaît nullement. Nous musulmans de France, ne pouvons qu’exprimer notre répulsion et dénoncer avec la dernière énergie ces crimes abominables perpétrés au nom de notre tradition religieuse. Celle-ci est avilie et son message est perverti, religion dont les fondements mêmes, nous l’avons toujours cru, sont la paix, la miséricorde et le respect de la vie.

Simplement, cette affirmation incantatoire n’est plus suffisante. Nous adjurons les hiérarques et les théologiens musulmans de s’atteler à la grande entreprise qui consiste à désacraliser la violence et sortir des idéologies meurtrières drapées dans le discours religieux. Nous sommes arrivés à ces atrocités à cause de la démission de l’esprit depuis des décennies et l’abdication de la raison devant le détournement des valeurs spirituelles pour assouvir la haine et verser dans la barbarie. Ce travail de refondation de la pensée islamique est une nécessité impérieuse. Nombreux sont les manquements à la liberté, à l’égalité et à l’humanisme qui sont à déplorer dans une vision théologique surannée, passéiste et rétrograde.

Nous dénions certes à ces êtres sauvages le droit de se revendiquer de l’islam et de s’exprimer en notre nom. Mais, nous devons débusquer aussi tout ce qui a pu à travers l’histoire servir à tort ou à raison de prétexte pour adosser leurs crimes à des préceptes religieux d’essence islamique. L’architectonique doctrinale de l’idéologie islamiste qui nous a causé beaucoup de torts ne repose que sur des artefacts fallacieux que nous devons dirimer. Les supplices et la mort que des terroristes djihadistes infligent à nos frères chrétiens, azéris et musulmans perçus comme tièdes, en Syrie, en Irak, au Nigeria et ailleurs, nous révulsent et heurtent notre conscience. Ils nous rendent encore plus malheureux de ne pouvoir faire rien d’autre que d’exprimer notre solidarité et notre immense compassion.

Nous tenons à exprimer avec force notre totale solidarité avec toutes les victimes de cette horde de barbares, guerriers égarés d’un prétendu État islamique, et dénonçons avec la dernière énergie toutes les exactions commises au nom de croyances fanatiques destructrices qui se cachent derrière la religion islamique en confisquant son vocabulaire. Personne ne peut s’arroger le droit de s’exprimer en notre nom et de salir ainsi notre tradition.

Faut-il pour autant se contenter d’exprimer notre solidarité sans aller plus loin dans l’expression de notre fraternité ? Non ! Car il est de notre devoir, au nom précisément des valeurs de paix et de fraternité auxquelles nous croyons avec force, de continuer à oeuvrer inlassablement pour qu’une ère promise de concorde et d’entente puisse très tôt advenir. C’est notre invincible espérance.

Ghaleb Bencheikh, le 24 septembre 2014

 

publié sur le site de Religions pour la Paix - France : http://www.religionspourlapaix.fr/

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager