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Méditons la Bible

Le témoignage

Enseignement N° 2. Naître de nouveau. Publié le Samedi 18 Juin 2011 à 10:06:57

Naitre de nouveau

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1.    Qu’est-ce que naître ?

Naître signifie sortir du ventre maternel.

2.    Qu’est-ce que naître de nouveau ?

‘’De nouveau’’ se dit en hébreu ‘’ palin (pal’-in) ‘’ et signifie, encore, une seconde fois, avec l’idée de la répétition du principe de la naissance que nous connaissons tous.

Naître de nouveau veut dire naître une deuxième fois, comme on était déjà né. C’est d’ailleurs ce qui motive la réaction de Nicodème. Jean 3 :4. « Nicodème lui dit : Comment un homme peut–il naître quand il est vieux ? Peut–il rentrer dans le sein de sa mère et naître ? » Comment un vieux peut-il recommencer l’action de naître ? Voyons la réponse que le Seigneur donne à Nicodème.

Jean 3 :5. « Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. » Naître de nouveau, pour le Seigneur Jésus-Christ, c’est naître d’eau et d’Esprit.

Quand il passe le relai aux Apôtres, Pierre va continuer de nous éclairer sur le sens de naître de nouveau.

Actes 2 :38. « Pierre leur dit : Repentez–vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus–Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint–Esprit. » La révélation est maintenant claire et complète. Naître de nouveau, c’est ;

  • Naître d’eau : Le baptême d’eau.
  • Naître d’Esprit : C’est quand le baptisé reçoit le Saint-Esprit.

C’est alors que répéter l’action de la naissance physique prend tout son sens. Un bébé dans le ventre de sa mère, est immergé dans de l’eau. Le liquide amniotique. C’est l’eau dans lequel le fœtus baigne. Quand l’enfant sort de cette eau, il naît d’eau. Quand il reçoit le souffle de Dieu, il devient une âme vivante. Genèse 2 :7. « L’Eternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant. » Le bébé sort de l’eau. Il reçoit le souffle de vie. Il devient un être vivant.

La nouvelle naissance se fait dans le même principe. L’homme doit retourner dans une masse d’eau, comme le fœtus dans la poche des eaux. Puis, quand il sort, il reçoit le Saint-Esprit. On dit qu’il est né de nouveau.

Voyons l’exemple de notre Seigneur.

Matthieu 3 :16. « Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l‘eau. Et voici, les cieux s’ouvrirent, et il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui.»

  • Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l‘eau : C’est que Jésus-Christ est né d’eau.
  • Et voici, les cieux s’ouvrirent, et il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui : C’est ici qu’il est né d’Esprit.

Quiconque n’est pas né dans le même principe n’est pas né.

Tous ceux qui ont été baptisés par aspersion, ne sont même pas nés. Les fidèles catholiques et autres méthodistes dont les têtes ou les tempes sont mouillées par aspersion, ne sont pas nés. Ils peuvent s’appeler chrétien, mais ils ne le sont pas. Ils ont encore le temps de se repentir et de naître conformément à la saine et sainte doctrine de Christ.

 

3.    Pourquoi naître de nouveau ?

Jean 3 :3. « Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. » Selon la vérité divine annoncée par le Seigneur Jésus-Christ, il y a un royaume de Dieu. Marc 1 :15. « Il disait : Le temps est accompli, et le royaume de Dieu est proche. Repentez–vous, et croyez à la bonne nouvelle. » Ce royaume sera alors celui de ceux qui se repentiront pour croire à la bonne nouvelle. Le royaume des rachetés de Dieu. Pour y accéder, il faut naître de nouveau.

Alors que nous somme déjà nés, pourquoi naître de nouveau ? Pourquoi donc cette nécessité absolue de naître de nouveau ?

Job 15 :14. « Qu'est–ce que l'homme, pour qu'il soit pur ? Celui qui est né de la femme peut–il être juste ? » Job se disait saint et sans péché. Alors Eliphaz lui pose cette question. Celui qui est né de la femme, peut-il être juste ?

Job 25:4  « Comment l'homme serait–il juste devant Dieu ? Comment celui qui est né de la femme serait–il pur ? » Bildad, dans son intervention reprend la même interrogation d’Eliphaz. En somme, il est clair que notre naissance naturelle ne peut jamais nous rendre pur pour le royaume de Dieu. ‘’ Un morceau de bois malgré ses nombres d’années dans l’eau ne deviendra jamais un caïman !’’ Il y a donc nécessité absolue de naître de nouveau.

Jean 1 :12, 13. « Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu. » La naissance physique qui est de la volonté de nos parents biologiques est une naissance charnelle. Genèse 6 :3. « Alors l’Eternel dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l’homme, car l’homme n‘est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. » La chair ne vit pas éternellement. Elle est mortelle et fait que l’homme charnel est mortel.

Jean 3 :6. « Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est esprit. » Dieu est Esprit et donc éternel. Ceux qui naissent de l’Esprit deviennent aussi éternels. Et c’est alors que Jean 3 : 16 a tout son sens. « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » Ceux qui naissent de nouveau, grandiront, vieilliront, mais au lieu de mourir, ils vivront. C’est pourquoi le Seigneur Jésus-Christ s’adresse à toi en te disant, « Ne t’étonne pas que je t’aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau. » Jean 3 :7.

4.    Comment naître de nouveau ?

Actes 2 :38. « Pierre leur dit : Repentez–vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus–Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint–Esprit. » Naître de nouveau se fait en trois phases comme les trois phases que traverse un bébé avant de sortir du ventre de sa mère. La repentance – Le baptême – La réception du Saint-Esprit.

4.1            La repentance.

Se repentir : C’est regretter profondément et avoir un grand désir de réparer ou de changer.

Se confesser : C’est reconnaître et avouer quelque chose de secret, de mal ou de honteux ou de condamnable.

Ce que Christ attend de nous, c’est la repentance et non la confession. On confesse sans changer de vie, mais quand on se repent, on change de vie. Zachée a réparé le tord qu’il a fait aux autres. La femme surprise en flagrant délit d’adultère a été invitée à changer. Le Seigneur Jésus-Christ a dit : « Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus. » Jean 8 :11. A un autre qu’il a guéri, le Seigneur a recommandé ceci : « Voici, tu as été guéri ; ne pèche plus, de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire. » Jean 5 :14. Cet homme doit changer de vie. Il ne doit plus pécher.

4.2             Le baptême.

Baptiser quelqu’un, c’est plonger totalement son corps dans l’eau. Le terme biblique utilisé est ‘’baptizo (bap-tid’-zo)’’ qui signifie purifier en plongeant dans l’eau ou en immergeant ou en submerger. C’est laver ou rendre pur avec beaucoup d’eau. C’est se baigner. C’est sans controverse.

Le problème se trouve au niveau de la formule sacramentale pendant l’office.

C'est-à-dire que pendant le baptême que doit-on dire ? Au nom de Jésus ou au nom du père, du Fils et du Saint-Esprit. Dans quel nom le baptême se fait ou au nom de qui le baptême se fait. Un faux débat d’incultes bibliques a lieu et les faussaires disent que pour plonger les gens dans l’eau, il faut le faire au nom de Jésus. C’est faux. Pourquoi ?

Premièrement, le baptême ne se fait pas au nom de quelqu’un ou de quelque chose.

Le baptême se fait ;

-          Physiquement dans quelque chose.

-          Spirituellement dans le nom de quelqu’un. Le nom que le Seigneur Jésus-Christ a indiqué.

Le vrai baptême se fait donc physiquement, dans beaucoup d’eau et spirituellement, dans le nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Voyons le soutien biblique et analysons et analysons la sémantique linguistique. C'est-à-dire donnons le sens des mots dans leurs contextes.

Dans Actes 2 :38 l’Apôtre Pierre dit : « que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus–Christ » Ici au nom de se dit ‘’ epee (ep-ee) onoma ‘’ de Jésus-Christ. Cette expression se traduit par : sur, à, avant, au dessus, contre, à travers, au temps de, … etc. Ce qui donnera littéralement selon le contexte, Que chacun soit baptisé au temps de Jésus-Christ. Que chacun soit baptisé comme Jésus-Christ veut. Que chacun soit baptisé selon la doctrine de Jésus-Christ. Opposition faite au temps de Jean-Baptiste.

 

Maintenant, que dit la doctrine de Jésus-Christ ?

Jésus-Christ a dit dans Matthieu 28 :19: « les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint–Esprit » Ici, au nom de se dit ‘’ eis (ice) onoma ‘’ du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Cette expression se traduit par : en, dans, à, vers, envers, pour, parmi, entre, contre, … etc. Au nom du Père, … donnera littéralement dans le nom du Père, …

La formule sacramentale à utiliser pendant le baptême est : Je te baptise au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Pour terminer, voyons le verset central de ce conflit : Colossiens 3 :17. « Et quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant par lui des actions de grâces à Dieu le Père. » Ici, au nom de se dit ‘’ en onoma ‘’ du Seigneur Jésus. Cette expression intermédiaire entre eis et epee se traduit par : Dans ou à l’intérieur de. Ce qui se traduit littéralement par faites tout à l’intérieur du nom de Jésus. En un mot, faites tout selon la loi de Jésus-Christ.

4.3             Le don du Saint-Esprit.

Soit on l’a directement en sortant de l’eau ou par imposition de main.

Il y a des bébés qui dès qu’ils sortent du ventre leurs mères, ils crient tout de suite : Actes 8 :38, 39. « Il fit arrêter le char ; Philippe et l’eunuque descendirent tous deux dans l’eau, et Philippe baptisa l’eunuque. Quand ils furent sortis de l’eau, l’Esprit du Seigneur enleva Philippe, et l’eunuque ne le vit plus. Tandis que, joyeux, il poursuivait sa route. » Après son baptême, il est rempli du Saint-Esprit sans tambour ni trompette. Il est heureux et joyeux, il continue sa route.

Comme des bébés reçoivent des fessées, certains ont besoin des impositions de mains. Actes 8 :14-17. « Les apôtres, qui étaient à Jérusalem, ayant appris que la Samarie avait reçu la parole de Dieu, y envoyèrent Pierre et Jean. Ceux–ci, arrivés chez les Samaritains, prièrent pour eux, afin qu'ils reçussent le Saint–Esprit. Car il n’était encore descendu sur aucun d’eux ; ils avaient seulement été baptisés au nom du Seigneur Jésus. Alors Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent le Saint–Esprit. »

Oui ! Naître de nouveau, c’est naître d’eau et d’Esprit. Il faut pour cela ;

·         Se repentir, c'est-à-dire regretter la mauvaise vie et prendre l’engagement de changer de comportements et de vie.

·         Ensuite il faut naitre d’eau par le baptême des eaux.

·         Ensuite Dieu nous fait don de son Esprit Saint.

 

Afficher le commentaire. Dernier par AIGLE le 29-08-2013 à 19h16 - Permalien - Partager
Enseignement N° 1. La repentance Publié le Samedi 18 Juin 2011 à 09:59:09

LA REPENTANCE

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1. Qu’est–ce la repentance?

Repentir: Regret d’avoir fait ou de n’avoir pas fait. Regret d’avoir commis une faute.

Se repentir: Regretter.

Repentance: C’est la tristesse, le regret qu’on éprouve de ses péchés, la douleur d’avoir offensé Dieu et le profond désir de changement.

Regrets: « Mon péché est constamment devant moi. O Dieu, Dieu de mon salut! Délivre–moi du sang versé, Et ma langue célébrera ta miséricorde » Ps51:5,14.

Désir de changement: « Lave–moi complètement de mes torts, et purifie–moi de ma faute.

Fais disparaître ma faute, et je serai pur; lave–moi, et je serai plus blanc que neige.

J’enseignerai tes voies à ceux qui les transgressent, Et les pécheurs reviendront à toi» Ps51:2,7,13.

 Ici, il faut savoir que cette tristesse et ce regret sont mis en nous par Dieu lui–même. C’est le ministère du Saint–Esprit. « Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché. » Jean16:8. Attristé lui–même il répand sa tristesse dans le cœur qu’il veut gagner. « N’attristez pas le Saint–Esprit que Dieu vous a accordé » Eph4:30.

Quand il convainc de péché, il produit une tristesse conséquente qui fait regretter et conduit sur la voie du changement. « Car la tristesse conforme au plan de Dieu produit un changement de comportement (une repentance) qui conduit au salut. Mais la tristesse causée par les soucis de ce monde produit la mort. » 2Co7:10.

 2. Comment se repentir?

a)    La conviction de péché. Il faut reconnaître son péché dans l’honnêteté, car rien n’est caché devant Dieu. On peut se jouer des hommes, mais pas Dieu.

« Je t’ai désobéi, je le reconnais; ma faute est toujours là, je la revois sans cesse.

C’est contre toi seul que j’ai mal agi, puisque j’ai fait ce que tu désapprouves. Ainsi tu as raison quand tu prononces ta sentence, tu es irréprochable quand tu rends ton jugement.

Oui, je suis marqué par le péché depuis que je suis né, plongé dans le mal depuis que ma mère m’a porté en elle. » Ps51 :3–5.

Ce n’est pas la peine de jouer les vaniteux et feindre de n’avoir pas de péchés.

« Si nous prétendons être sans péché, nous nous trompons nous–mêmes et la vérité n’est pas en nous. Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous faisons de Dieu un menteur et sa parole n’est pas en nous. » 1Jean1:8,10.

 b)    La confession. Il faut avouer ces fautes à Dieu premièrement et si besoin se fait sentir, à l’autorité spirituelle établie sur nous comme berger.

Beaucoup d’hommes savent très bien qu’ils ont mal agi, mais ils ne veulent pas en demander pardon à Dieu et ils sont consumés dans le silence par le remord et le péché.

« Tant que je ne reconnaissais pas ma faute, mes dernières forces s’épuisaient en plaintes quotidiennes.

Car de jour et de nuit, Seigneur, tes coups pleuvaient sur moi, et j’étais épuisé, comme une plante au plus chaud de l’été.

Mais je t’ai avoué ma faute, je ne t’ai pas caché mes torts. Je me suis dit: Je suis rebelle au Seigneur, je dois le reconnaître devant lui. » Ps32:3–5.

 c)    L’abandon du mal. Il faut délaisser la mauvaise voie. La vraie repentance produit un dégoût du péché, une rupture des mauvaises habitudes suivies jusque là. Il s’agit, par un changement de vie, de "produire des fruits dignes du changement". Lu3:8.

L’Apôtre Paul ceci: « je les ai appelés à changer de comportement, à se tourner vers Dieu et à montrer par des actes la réalité de ce changement. » Ac26:20. Suivons son exemple. Ac22 :3,4,21,25. Persécuteur de chrétiens, il a abandonné cette voie pour être persécuté à son tour pour leur cause: L’évangile.

 d)    La complète soumission à Dieu. La conversion et le cri de Saul de Tarse terrassé qui s’écrie: "Seigneur, que veux–tu que je fasse?" est un exemple. Sa soumission a commencé par l’obéissance à cette parole.

« Mais relève–toi, entre dans la ville, et là on te dira ce que tu dois faire. » Ac9:6. Il parcoura ensuite le monte entier et la faim, le péril, la nudité ne l’ont pas séparé de l’amour du Seigneur. « Qui peut nous séparer de l’amour du Christ? La détresse le peut–elle ou bien l’angoisse ou encore la persécution, la faim, les privations, le danger, la mort? " A cause de toi, nous sommes exposés à la mort tout le long du jour, on nous traite comme des moutons qu’on mène à la boucherie." »Ro8:35,36.

e)    La persévérance dans une attitude constante de repentance. Tant que nous serons ici–bas, nous aurons des progrès à faire, des victoires à remporter. La nature de pécheur est restée au tombeau. Nous ne sommes plus pécheur. Nous ne devrions pécher, mais la possibilité en est toujours présente. Nous devons donc veiller et prier pour ne pas tomber dans la tentation.

« Restez éveillés et priez pour ne pas tomber dans la tentation. L’être humain est plein de bonne volonté, mais il est faible. » Mat26:41.

La tentation est le point de départ du péché.

Voyons comment l’Apôtre Jacques la définit: « chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. » Ja1:14.

Attirer: se laisser entraîner par nos mauvais désirs qui sont des appâts.

Amorcer: prendre au piège. Comme le poisson qui est pris par l’hameçon, on est tiré contre notre volonté par le détenteur du piège. Il faut donc persévérer chaque jour dans une attitude de repentance, en confessant aussitôt tout péché reconnu.

 3. Pourquoi se repentir?

L’appel que Dieu adresse au monde comme à l’Église est toujours: Repens–toi!. Pour que tous parviennent à la repentance, il retarde le retour de Jésus. « Le Seigneur n’est pas en retard pour accomplir sa promesse, comme certains se l’imaginent; il est seulement très patient à votre égard, car il ne veut pas qu’un seul périsse: il voudrait, au contraire, que tous parviennent à changer de vie. » 2Pi3:9.

         Avantage.

+ La repentance précède le pardon des péchés. « On appellera les humains à changer de comportement et à recevoir le pardon des péchés » Luc24:47.

« Rien ne réussit à celui qui cache ses fautes, mais celui qui les avoue et y renonce est pardonné. » Pr28:13.

 + La repentance donne de saisir la purification qu’offre le sang de Christ répandu au Calvaire. 1Jean1:9.

 + La repentance nous donne de marcher dans la lumière de Dieu, parce qu’elle rend notre lumière.

« Si nous prétendons être en communion avec lui, alors que nous vivons dans l’obscurité, nous sommes menteurs, nous n’agissons pas selon la vérité. Mais si nous vivons dans la lumière, comme Dieu lui–même est dans la lumière, alors nous sommes en communion les uns avec les autres et le sang de Jésus, son Fils, nous purifie de tout péché. » 1Jean1:6,7.

 + Le repenti, connaît la puissance du Saint–Esprit qui le fait progresser chaque jour sur la voie de la sanctification. Actes2:38

        Inconvénients.

« Mais si vous refusez, si vous êtes rebelles, vous serez la proie de l’épée. Voilà ce que déclare le Seigneur. » Esa1:20.

 

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Le deuxième livre de Samuel Publié le Jeudi 16 Juin 2011 à 17:17:32

Second livre de Samuel.

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Le deuxième livre de Samuel raconte le règne de David, le premier grand roi de tout Israël.

Il s’ouvre sur la lamentation funèbre que David prononce lorsqu’il apprend la mort de Saül et de son fils Jonathan; il rapporte ensuite comment David devint roi de la tribu de Juda. Un fils de Saül, Ichebaal, règne durant une brève période sur les tribus du Nord; à sa mort, ces tribus se rallient à David et le choisissent comme roi.  David va donc régner désormais sur l’ensemble des douze tribus.

La fin du livre rassemble quelques faits, relatifs au règne de David, dont la première partie n’avait pu faire cas.

Le roi David nous est présenté sans complaisance dans sa grandeur, sa puissance, ses faiblesses, qui du reste ont assombri la vie de sa famille.  David nous apparaît comme celui qui sait reconnaître ses fautes et en demander humblement et sincèrement pardon à Dieu.

 THEME PRINCIPAL: Le règne de David. Le règne de David peut être diviser en deux périodes. La première où il fit preuve d’une attitude vraiment spirituelle, est victorieuse à cause de son attachement à l’Éternel son Dieu. La seconde est celle des souffrances du roi David.

 PREMIERE PERIODE:

 (1)   Événements préliminaires.

(a) L’exécution de l’Amalécite dont la bouche déposa contre lui–même(2Sa1:2–16)

Cet homme est mort à cause de son mensonge(1Sa31 :4,8–11)

(b) L’oraison funèbre de David(2Sa1:17–27)

 (2)   David est oint comme roi de Juda(2Sa2:1–4)

(3)   David bénit les habitants de Jabès qui avaient enterré Saül(2Sa:5–7)

(4)   Isch-Boscheth, fils de Saül est établit roi sur les tribus du nord(2Sa2:8–11)

(5)   La bataille David et la maison de Saül(2Sa2:8–32, 2Sa3:1)

-          Les enfants de David(2Sa3:2–5)

-          Isch-Boscheth reproche à Abner d’être allé avec la concubine de son père défunt(2Sa3:6–8)

-          Abner se rallie à David selon la promesse de Dieu(2Sa3:9–21)

-          Sans consulter Dieu ni le roi, Joab assassine Abner par vengeance(2Sa3:22–27)

-          David maudit Joab(2Sa3:28–30)

-          David décrète un deuil pour Abner(2Sa3:31–39)

-          Les fils de Rimmon assassine Isch-Boscheth(2Sa4:1–3,5–8)

-          David tue ses assassins(2Sa4:9–12)

-          David roi de tout Israël(2Sa5:1–5)

-          David expulse les jébusiens et prend Jérusalem(2Sa5:6–12)

-          Les autres enfants de David nés à Jérusalem(2Sa5:13–16)

-          La victoire sur les philistins(2Sa5:17–25)

-          L’Arche de l’Éternel chez Obed–Edom(2Sa6:1–12)

                                                     i.      Bonne intention(2Sa6:1–2)

                                                    ii.      Mauvaise réalisation(2Sa6 :3–7) L’histoire du char neuf de David et ce qui a suivi révèle une vérité saisissante et éducative. Ce qui importe pour Dieu, ce ne sont pas les bonnes intentions, mais ce sont les bonnes intentions accomplies selon ses propres voies(No4:1–15, No7:9) alors que David a agit comme les philistins ont fait(1Sa6:7,8)

                                                  iii.      L’Arche dans la maison d’Obed– Edom(2Sa6:9,10)

                                                 iv.      L’Éternel bénit Obed–Edom et toute sa maisons(2Sa6:11,12)

-          Le transport de l’Arche à Jérusalem(2Sa6:12–23)

                                                     i.      David danse devant l’Éternel(2Sa6:14)

                                                    ii.      Mical méprise pour cela David et devint stérile(2Sa6:20–23)

-          David veut bâtir une maison à l’Éternel(2Sa7:1–3)

-          L’Éternel lui en interdit la réalisation(2Sa7:4–11)

-          Son fils qui lui succédera bâtira la maison de l’Éternel(2Sa7:12–17)

-          La prière de David adressée à l’Éternel(2Sa7:18–29)

-          Extension du royaume de David(2Sa8:1–18)

-          David reconnaissant à la maison de Jonathan(2Sa4:4, 2Sa9:1–13) par fidélité à son alliance(1Sa20:42)

(6) Faits qui prouvent la piété du roi et son attachement à l’Éternel.

(a) Sa recherche de la direction divine(2Sa2:1)

(b) Le châtiment qu’il infligea à ceux qui voulaient obtenir sa faveur en assassinant son rival(2Sa1:2–16, 2Sa4:5–12)

(c) Son discernement, après avoir été élevé à la dignité royale en Israël: Il reconnut que sa promotion venait de Dieu(2Sa5:1–12)

(d) Son humilité en attribuant son succès militaire à la puissance de Dieu.

#2Sa 5:20

(e) Son enthousiasme lors du retour de l’arche de l’alliance à Jérusalem.

#2Sa 6:1-5

(f) Son désir de bâtir un temple à l’Éternel et l’apport de grandes richesses pour permettre son édification.

#2Sa 7:1-8:1

(g) Sa bonté envers le fils de Jonathan.

#2Sa 9:1

 LA PERIODE INTERMEDIAIRE.

(1) Les grands succès militaires du roi.

-          Les campagnes victorieuses de Joab et de David(2Sa10:1–19,2Sa12:26–31)

     (2) Sa chute et son châtiment.

(a) L’adultère volontaire de David oisif(2Sa11:1–5)

     (b) Tentative de corruption du foyer de Urie

-          Première tentative(2Sa11:6–11)

-          Deuxième tentative(2Sa11:12,13)

 (c) Le crime de David(2Sa11:14–18)

-          David informé de l’accomplissement du forfait(2Sa11 :19 –25)

-          Après son deuil, Bath–Schéba devint la femme de David(2Sa11:26,27)

 (c) Le jugement de David l’atteint lui–même

-          La parabole de Nathan le prophète(2Sa12:1–4)

-          La sentence prononcée par David(2Sa12:5,6) Le coupable est condamné à payer quatre(4) fois pour sa faute.

-          David est rattrapé par son péché(2Sa12:7–9)

-          David confesse et est pardonné(2Sa12:13)

-          Mais David doit payer pour sa faute:

                                                     i.      Première sentence(2Sa12 :10) : L’épée contre la maison de David

                                                    ii.      Deuxième sentence(2Sa12:11a) : Le malheur dans la maison de David

                                                  iii.      Troisième sentence(2Sa12 :11b–12) : Adultère public des femmes de David

                                                 iv.      Quatrième sentence(2Sa12:14) : La mort de l’enfant adultérin

 (d) Le jugement de l’Éternel contre David est exécuté

-          L’enfant adultérin meurt malgré le jeûne de David(2Sa12:15–23)

-          Le malheur dans sa maison par le crime de son fils Ammon

                                                     i.      Tamar est la sœur d’Absalom, fils de David(2Sa13:1)

                                                    ii.      Ammon déshonore sa sœur Tamar et l’humilie(2Sa13:2–19)

                                                  iii.      Absalom venge sa sœur(2Sa13:20–29)

                                                 iv.      David l’apprit et est consterné(2Sa13:30–36)

                                                  v.      Absalon s’enfuit après son forfait(2Sa13:37–39)

                                                 vi.      Le retour d’Absalon est négocié par Joab

1.      La parabole de la femme(2Sa14:1–11)

2.      Elle en donne le sens à David(2Sa14:12–20)

                                               vii.      David pardonne à son fils Absalom(2Sa14:21–33)

-          L’épée contre la maison de David par la révolte de Absalom(2Sa15:1–12)

                                                     i.      La fuite de David(2Sa15:13–23)

                                                    ii.      David fait retourner l’Arche à Jérusalem(2Sa15:24–30)

                                                  iii.      Huschaï l’espion de David dans le camp de Absalom(2Sa15:32–37,2Sa17 :15–19,23)

                                                 iv.      Tsiba, le perfide serviteur de Mephibosceth(2Sa16:1–4)

                                                  v.      David est maudit par Schimeï de la maison de Saül(2Sa16:5–8,13)

1.      Le roi David ne répond pas à cette provocation(2Sa16:9–12) car  dit–il « Mon fils, celui qui est né de moi, veut me tuer. Alors, pourquoi être surpris par les paroles de ce Benjaminite? Laissez-le lancer ses malédictions, si le SEIGNEUR lui a dit de le faire. » David n’a jamais levé la main contre Saül et sa maison (1Sa24:7,1Sa26:10)

                                                 vi.      Architophel veut attaquer David(2Sa17:1–3)

                                               vii.      Interrogé, Huschaï déjoue le plan(2Sa17:4–14)

                                              viii.      Huschaï fait prévenir David(2Sa17:15–22)

1.      les informateurs échappent aux gens d’Absalom(2Sa17:18–20)

                                                 ix.      Architophel se suicide(2Sa17 :23)

                                                   x.      David campe à Manahim(2Sa17:24,27–29) et Dieu est avec lui

                                                 xi.      Absalom campe dans le pays de Galaad(2Sa17:25,26)

                                                xii.      David organise son armée(2Sa18:1,2) et battit Absalom(2Sa18:6–8)

1.      David est empêché d’aller en guerre(2Sa18:3,4)

2.      Joab tue Absalom(2Sa18:9–18)

3.      David est informé de la victoire(2Sa18:19–32)

4.      David pleure Absalom(2Sa18 :33) et la victoire fut transformée en deuil(2Sa19:1–4)

                                              xiii.      Joab reprend David(2Sa19:5–8)

                                             xiv.      Le peuple consterné réclame David(2Sa19:9,10)

                                              xv.      David fait appel aux sacrificateurs et aux anciens(2Sa19:11–15)

                                             xvi.      David pardonne à Schimeï(2Sa19:16–23) comme il l’a fait pour Saül à plusieurs reprises. Celui qui savait demander pardon pour ses péchés, savait aussi pardonner à son prochain: « Pardonne –nous nos offenses comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés »

                                           xvii.      Mephiboscheth calomnié par son serviteur Tsiba(2Sa19:24–30) Voir (2Sa16:1–4)

                                          xviii.      Les bienfaits de Barzillaï profitent à Kimham(2Sa19:31–39)

                                             xix.      Querelles entre Juda et Israël au sujet de David(2Sa19:40–43)

                                               xx.      Les concubines déshonorées par Absalom séquestrées(2Sa20:3)

                                             xxi.      Joab assassine son remplaçant promu(2Sa20:4–13)

                                            xxii.      Le révolte de Schéba est conjurée(2Sa20:1,2,14–22) sous l’impulsion de Joab

                                          xxiii.      Le gouvernement de David(2Sa20:23–26)

-          Adultère public des femmes de David(2Sa16:20–22)

 DERNIERE PERIODE: Les dernières années de David.

 -          La colère de Dieu pour une alliance brisée(Jos9:3–27) par Saül(2Sa21:1,2)

-          Sept hommes des fils de Saül pour laver l’affront(2Sa21:3–6)

-          David épargna Mephiboscheth(2Sa21:7–9)

-          Leurs restes enterrés et l’Éternel fut apaisé(2Sa21:10–14)

-          Dernières campagnes contre les philistins(2Sa21:15–22)

-          Cantique de délivrance de David(2Sa22:1–51)

-          Dernières paroles prophétiques de David(2Sa23:1–7)

-          Les vaillants hommes de David(2Sa23:8–39)

                                                     i.      L’eau de la citerne comme aux noces de Canan(2Sa23:13–17)

-          Le péché de David : Le dénombrement du peuple(2Sa24:1–10)

                                                     i.      Joab l’en dissuade en vain(2Sa24:3)

-          Les trois fléaux à David(1Sa24:11–17)

                                                     i.      David choisit la sentence du Dieu de compassion(2Sa24:14)

-          La plaie s’arrête quand David(2Sa24:18–25)

 CONCLUSION

            Ce récit nous montre au travers de la vie de David, que l’homme souffre des conséquences liées à son péché même si l’Éternel nous pardonne nos fautes. L’histoire de David montre qu’il est possible de revenir à Dieu en faisant preuve d’une repentance sincère et d’un chagrin réel. Dans ces conditions seulement, Dieu nous pardonne et nous relève.

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Premier Livre de Samuel Publié le Jeudi 16 Juin 2011 à 17:08:26

Premier livre de Samuel.

 Image

Le prophète Samuel, auteur de ce livre, est en fait le dernier des "Juges". Il exerce son double ministère, politique et religieux, dans une période de transition.  Le peuple Israël ne veut plus du règne de l’Éternel Dieu sur eux au travers des "Juges" et aspire à l’institution d’une autorité politique humaine.

Malgré ses réticences, Samuel doit, à la demande du peuple et sur l’ordre de l’Éternel Dieu, établir un roi en la personne de Saül. Très vite pourtant Saül se laisse aller à des infidélités envers l’Éternel Dieu, de sorte que Dieu lui retire son appui. Dieu choisit alors le jeune David, qui succèdera plus tard à Saül.

David entre au service de Saül et se familiarise ainsi avec la vie de la cour, avant de s’enfuir pour échapper à Saül qui veut le tuer. Au fil du temps, nous suivrons le contraste qui montre la déchéance progressive de Saül et la puissance grandissante de David. Le livre se termine par le récit de la mort de Saül et de ses fils au cours d’une bataille contre les Philistins.

L’HISTOIRE de ce premier livre est centrée sur les trois personnages principaux suivants.

 1)     Samuel dernier Juge et prophète en Israël (Ch1 à 7)

SAMUEL,  fils d’Elkana et d’Anne, le dernier juge, fut droit (1Sa12:3,4), et consacré à Dieu par ses parents(1Sa1:24–28). Il eut une enfance merveilleuse (1Sa 2:8 –21) au cours de laquelle il entendit la voix de Dieu(1Sa 3:1–18). Courageux(1Sa 13:13 15:16 –29) et prophète inspiré(1Sa 3:19,21 8:22), il fut un homme de prière(1Sa 7:5–8 8:6 12:17 15:11) et un juge de circuit(1Sa 7:16)

 2)     SaüL premier roi d’Israël et sa chute(Ch8 à 15)

SAUL,  fils de Kis, premier roi d’Israël qui perdit une couronne. Jeune et beau (1Sa 9:2 10:24), il a commencé son règne avec beaucoup d’humilité(1Sa 10:22) et de maîtrise de soi(1Sa 10:27, 11:13). Obstiné(1Sa 13:12,13) et désobéissant à souhait(1Sa 15:11-23), il est un homme superstitieux(1Sa 28:7), jaloux et rempli de haine(1Sa 18:8 19:1). Il mourut par suicide(1Sa 31:4)

 3) David son appel et son exil(Ch16 à 31)

DAVID, poète et roi modèle d’Israël aux talents multiples. Beau(1Sa 16:12),

Courageux(1Sa 17:34–36), ce grand soldat(2Sa 5:7) choisi par Dieu(1Sa 16:13) est un tireur d’élite(1Sa 17:40). Malgré ses bonnes intentions, il s’est vu interdire de construire le temple de l’Éternel, parce qu’il avait été un homme de guerre dont les mains avaient rependu du sang(1Ch 28:3). Réprimandé par le prophète Nathan(2Sa 12:1–31) à la suite de graves péchés commis en un moment d’oisiveté(2Sa 11:1–27), il eut une vraie repentance et confession(2Sa12 :13 Ps 51)

 L’EPOQUE: Une époque de transition qui couvre 115 années jusqu’à 1056 av JC. Le règne des juges prend fin et la royauté est établie.

THEMES ET EVENEMENTS PRINCIPAUX DU LIVRE DE 1 SAMUEL.

 (1) La naissance et la consécration de Samuel.

-          Anne, la femme éprouvée dans la douleur(1Sa1:1– 8)

-          La prière et le vœu de Anne à l’Éternel(1Sa1:9–18)

-          Anne exaucée ; Samuel naît(1Sa1:19–23)

-          Samuel est confié à Eli le sacrificateur de l’Éternel(1Sa1:24–28, 1Sa2 :18,19)

-          La louange de Anne à l’Éternel(2Sa1:1–11)

-          La fidélité de Dieu(1Sa2:20,21)

 (2) L’échec d’Eli en temps que juge et père de famille.

-          La perversité des enfants de Eli(1Sa2:12–17)

-          Eli reprend ses enfants(1Sa2:22–26), mais n’ôte pas le péché(De21:18–23)

-          Dieu averti Eli du jugement(1Sa2:27–36)

-          Confirmation du jugement de la maison d’Eli à Samuel(1Sa3:11–18)

-          Mort de Eli et ses enfants(1Sa4:12–18)

 (3) L’appel de Samuel et son enfance remarquable.

-          Samuel est agréable à Dieu(1Sa2:26)

-          Appel de Samuel(1Sa3:1–10)

-          Samuel le prophète de circuit(1Sa7:15–17)

-          L’intégrité de Samuel reconnu par le peuple(1Sa12:1–5)

 (4) La capture et le retour de l’arche de l’alliance.

-          L’Arche enlevée par les philistins: La gloire de Dieu bannie d’Israël(1Sa4:1–11,19–22)

-          La toute puissance de l’Éternel Dieu : L’Arche détruit Dagon(1Sa5:1–5)

-          La main de l’Éternel s’appesantit sur les philistins(1Sa5:6–12)

-          L’Arche renvoyée en Israël avec des offrandes(1Sa6:1–18)

-          L’Éternel frappe Beth–Schémesch(1Sa6:19–20) pour n’avoir pas traité l’Arche comme il faut(No4:15)

-          L’Arche à Kirjath–Jearim pendant vingt années(1Sa6 :21–1Sa7:2)

-          Après vingt années d’apostasie, Israël crièrent à l’Éternel(1Sa7:2)

-          Israël revient à l’Éternel(1Sa7:3–6)

-          Samuel crie à l’Éternel(1Sa7:9) comme Moïse(Ex17:9,11–12) et Israël vainqueur des philistins(1Sa7:10–14).

 (5) Le cri d’Israël qui veut un roi.

-          La cupidité des enfants de Samuel(1Sa8:1–3)

-          Déboussolé, Israël demande un roi humain(1Sa8:4,5)

-          La réaction de l’Éternel devant cette requête de son peuple(1Sa8:6–9)

-          Samuel averti Israël au sujet du roi(1Sa8:10–18)

-          Le peuple refuse d’écouter Samuel(1Sa8:19,20)

-          Dieu promet un roi(1Sa8:21,22)

 (6) Saül est choisi et oint pour être roi.

-          Saül à la recherche des ânesses de son père(1Sa9:1–5)

-          Saül consulte l’Éternel(1Sa9:6–13)

-          Samuel oint Saül roi en privé(1Sa9:14–1Sa10:1)

-          Samuel prophétise sur la journée de Saül(1Sa10:2–8)

-          Les signes s’accomplirent pour Saül(1Sa10:9–13)

-          Saül discret et humble(1Sa10:14–23,27)

-          Saül présenté et acclamé(1Sa10:24–26)

(7) La première bataille de Saül.

-          Jabès assiégé et méprisé(1Sa11:1–4)

-          Victoire de Saül sur les ammonites(1Sa11:5–11)

-          Saül humble et plein de miséricorde(1Sa11:12,13)

-          La royauté de Saül confirmée devant l’Éternel(1Sa11 :14,15)

-          Samuel rappelle les chutes d’Israël et la fidélité de Dieu(1Sa12:6–11)

-          Samuel exhorte Israël(1Sa12:12–15,20–24)

-          Israël est mis en garde contre son mauvais choix(1Sa12:16–19,25)

 (8) L’obstination de Saül et la prophétie de Samuel.

-          Apeuré, le peuple fuyait devant les philistins(1Sa13:1–8)

-          Saül usurpe le sacerdoce de Samuel(1Sa13:8 –10)

-          À cause de son péché, l’Éternel rejette Saül(1Sa13:11–14)

-          Israël désemparé devant les philistins(1Sa13:15–23)

 (9) Jonathan délivre Israël.

-          L’acte de foi de Jonathan(1Sa14:1–15)

o   Jonathan comptait sur l’Éternel(1Sa14:6)

o   Le signe de la victoire(1Sa14:8–12)

-          La victoire finale d’Israël(1Sa14:16–23)

-          Jonathan est délivré par le peuple du vœu de Saül(1Sa14:24–46)

o   Interdiction de manger avant le soir(1Sa14 :26)

o   Jonathan, ignorant l’interdit mange et entraîne le peuple(1Sa14 :26 –31)

o   Le peuple consomme des animaux avec le sang(1Sa14:32)

o   Saül bâtit son premier autel et consulte Dieu(1Sa14:33–37)

o   Saül décrète la mort du responsable de ce péché(1Sa14 :38,39)

o   Jonathan reconnu et délivré par le peuple(1Sa14:40–46)

-          Jusqu’à maintenant, Saül avait un bon règne(1Sa14:47–52)

 (10) L’obéissance vaut mieux que les sacrifices.

-          L’Éternel ordonne à Saül de détruire Amalek et vouer tout par interdit(1Sa15:1–3)

-          La victoire de Saül(1Sa15:4–7)

-          Le péché de Saül(1Sa15 :8,9)

-          L’Éternel réprimande Saül(1Sa15:10–35)

o   Dieu élève les humbles(1Sa15:17)

o   L’obéissance vaut mieux que les sacrifices(1Sa15:22)

o   La désobéissance est pire que la divination(1Sa15:23)

o   Samuel pleure Saül(1Sa15:35–1Sa16:1)

(11) David est oint comme roi.

-          L’Éternel envoie Samuel qui a peur : Dieu lui fourni un alibi(1Sa16:1–5)

-          Au milieu de ses frères, David est oint roi(1Sa16:6–13)

-          Saül sous l’emprise d’un mauvais esprit(1Sa16:14–17)

-          David à la cour royale(1Sa16:18 –23)

 (12) David tue le géant Goliath.

-          Israël rangé en ordre de bataille, vis à vis des philistins(1Sa17:1–3)

-          Le portrait de Goliath le philistin(1Sa17:4–7)

-          Goliath défie Israël qui a peur(1Sa17:8–11,24)

-          David rend visite à ses frères au front(1Sa17:12 –22)

-          David entendit

o   Les propos du philistin(1Sa17:23)

o   La promesse faite à celui qui tuera Goliath(1Sa17:23,25–27)

-          David abandonne son frère qui veut le décourager(1Sa17:28–30)

-          David relève le défi(1Sa17:31,32)

-          David compte sur la fidélité de l’Éternel Dieu(1Sa17:33–37)

-          David se débarrasse des armures de Saül pour user des siennes(1Sa17:38–40)

-          Goliath méprise David et le maudit par ses dieux(1Sa17 :41–44)

-          L’arme de David : L’Éternel des armées(1Sa17:45–47)

-          David tue Goliath et tranche sa tête(1Sa17 :48 –58)

 (13) L’amitié de David et Jonathan.

-          Cela annonce que David est le successeur de Saül(1Sa18:1–4)

 (14) Saül persécute David qui se met en fuite.

-          Saül, jaloux de David attente à sa vie(1Sa18:1–16,29,30)

-          Saül dupe David(1Sa18:17–19)

-          Saül donne Mical en mariage à David pour lui être un piège(1Sa18:20–24)

-          Cent(100) prépuces de philistins comme dot(1Sa18:25–28)

-          Jonathan parle en faveur de David son ami, à Saül son père(1Sa19:1–7)

-          David échappe à trois attentats de Saül

o   Le premier(1Sa19 :8 –10)

o   Le second(1Sa19 :11 –18)

o   Le troisième(1Sa19:19–24)

-          Engagement sacré de deux amis : David et Jonathan(1Sa20:1–23)

-          Jonathan devant David contre son père Saül(1Sa20:24–33)

-          Jonathan prévient David de la résolution de Saül(1Sa20:34–43)

-          David se nourrit des pains de proposition : Pain de vie(1Sa21:1–6)

-          David se procure l’épée de Goliath(1Sa21:8,9)

-          David joue le fou pour sauver sa vie(1Sa21:10–15)

-          Les gens en détresse et endettés se joignent à David(1Sa22:1,2)

-          Le roi de Moab, tuteur des parents de David(1Sa22:3,4)

-          Saül massacre des sacrificateurs(1Sa21:7, 1Sa22:6–19)

-          Abiathar échappe au massacre et se réfugie chez David(1Sa22:20–23)

-          Par deux fois David consulte l’Éternel et délivre Keïla(1Sa23:1–5)

-          Dieu protégea David(1Sa23:6–15)

-          David et Jonathan renouvellent leur alliance(1Sa23:16–18)

-          L’Éternel délivre à nouveau David et ses hommes(1Sa23:19–28)

-          David refuse de tuer Saül, l’oint de l’Éternel(1Sa24:1–23)

o   Saül est à portée de David(1Sa24:1–4)

o   David n’écoute pas les conseils des méchants, mais coupe un pan de l’habit de Saül(1Sa24:5–9)

o   David démontre la pureté de son cœur(1Sa24:10–12)

o   L’Éternel est le seul Juge entre le méchant et le bon(1Sa24:13–16)

o   Saül reconnaît la bonté de David et demande sa miséricorde(1Sa24:17–23)

-          La mort de Samuel(1Sa25:1)

-          David sollicite l’aide de Nabal(1Sa25:2–9)

-          Nabal méprise David et la loi de l’hospitalité(1Sa25:10–12)

-          David décide marcher sur Nabal(1Sa25 :13, 21,22)

-          Abilgaïl, femme de Nabal est saisie de l’ingratitude de son mari(1Sa25:14–17)

-          La sagesse d’Abilgaïl, l’aide semblable de Nabal(1Sa25:18–20, 23–30)

-          La requête d’Abilgaïl(1Sa25:31)

-          David accepte le repenti d’Abilgaïl(1Sa25:32–35)

-          La mort de Nabal(1Sa25:36–38)

-          Abilgaïl devint la femme de David(1Sa25:39–42) en plus des deux autres (1Sa25:43,44)

-          Saül à nouveau sur les traces de David(1Sa26 :1 –3)

-          David refuse de tuer Saül, l’oint de l’Éternel(1Sa26:4–25)

o   Saül est à portée de David(1Sa26:7)

o   David n’écoute pas les conseils des méchants, mais prend la lance et la cruche de Saül(1Sa26:8–13)

o   David démontre la pureté de son cœur(1Sa26:14–17)

o   L’Éternel est le seul Juge entre le méchant et le bon(1Sa24:18–20)

o   Saül reconnaît sa faute et bénit David(1Sa26:21–25)

-          David obtint un refuge chez les philistins(1Sa27:1–7)

-          Les actions de David pendant son exil de seize mois(1Sa27:8–12)

-          Les philistins sollicitent David pour attaquer Israël(1Sa28:1–4)

-          Saül effrayé consulte l’Éternel qui ne lui répond rien(1Sa28:5,6)

-          Saül consulte l’esprit de mort(1Sa28:7–12) et sa défaite lui est prophétisée (1Sa28:13–25)

-          David est empêché de combattre contre Israël(1Sa29:1–11,1Sa26:26,34)

-          Les Amalécites tiennent les habitants de Tsiklag captifs(1Sa30 :1 –5)

-          David consulte l’Éternel(1Sa30:6–8)

-          David marche contre l’envahisseur(1Sa30:9,10, 17–20) et délivre les captifs

o   C’est avec amour que David obtint les informations(1Sa30:11–16)

-          David partage le butin(1Sa30:21,26 –31)

o   Partage équitable entre combattants et non combattants(1Sa30:22–25)

-          Défaite d’Israël à Guilboa : Mort de Saül et de Jonathan(1Sa31:1–13)

o   Saül se suicide(1Sa31:4)

o   Les corps de Jonathan, Saül et de ses hommes sont brûlés et enterrés (1Sa31:8–13)

 MESSAGE SPIRITUEL: La prière, l’élément dominant de la vie de Samuel. Son nom signifie demandé à Dieu(1Sa 1:20). Lui–même réponse à la prière de sa mère(1Sa 1:10 –28), il priait constamment pour son peuple(1Sa 7:2–13, 1Sa 8:21, 1Sa 12:23)

 CINQ DEVIATIONS DE LA LOI DIVINE qui engendrent la souffrance.

 (1) La polygamie.

Peninna, l’autre femme, n’arrête pas de blesser Anne par ses paroles. Elle se moque d’elle, parce que le SEIGNEUR ne lui a pas donné d’enfant(1Sa1:6)

 (2) L’indulgence paternelle.

Les enfants de Eli pèchent contre Dieu

Héli est devenu très vieux. Il entend raconter comment ses fils agissent envers les Israélites. On lui dit aussi qu’ils couchent avec les femmes qui sont de service à l’entrée de la tente de la rencontre(1Sa2:22)

   Le père n’ôte pas le péché du milieu du sacerdoce

Si quelqu’un commet un péché contre un homme, Dieu peut servir d’arbitre. Mais si un homme fait une faute contre le SEIGNEUR, qui servira d’arbitre?» Les fils d’Héli n’écoutent pas leur père. En effet, le SEIGNEUR a décidé de les faire mourir (1Sa2:25) 

 Dieu avertit

Voici donc ce que je déclare, moi le SEIGNEUR, Dieu d’Israël: J’avais dit que ta famille et la famille de ton père seraient mes prêtres pour toujours. Mais maintenant, j’affirme avec force que c’est fini. En effet, j’honore ceux qui m’honorent, mais ceux qui me méprisent seront couverts de honte à leur tour(1Sa2:30)

 Le salaire du péché est la mort.

Le messager répond: «Les Israélites ont fui devant les Philistins. C’est une grande défaite pour nous. De plus, tes deux fils, Hofni et Pinhas, sont morts,  et les Philistins ont pris le coffre sacré.»(1Sa4:17)  

  (3) La confiance dans les objets sacrés.

Le peuple rentra au camp, et les anciens d’Israël dirent: Pourquoi l’Éternel nous a-t-il laissé battre aujourd’hui par les Philistins? Allons chercher à Silo l’arche de l’alliance de l’Éternel; qu’elle vienne au milieu de nous, et qu’elle nous délivre de la main de nos ennemis(1Sa4:3)

  (4) L’impatience.

       Le péché d’impatience de Saül qui usurpe le sacerdoce

Alors Saül commande de préparer les animaux pour le sacrifice complet et pour les sacrifices de communion. Puis il offre lui-même le sacrifice complet. 

Samuel lui dit: «Qu’est-ce que tu as fait là?» Saül répond: «J’ai vu que les soldats m’abandonnaient et qu’ils partaient de tous côtés. Toi-même, tu n’es pas venu au rendez-vous au moment fixé, et les Philistins se sont rassemblés à Mikmas (1Sa13:9,11)

       La sanction de l’Éternel

Mais maintenant, tu ne pourras pas rester roi. Tu n’as pas obéi à l’ordre du SEIGNEUR. Alors le SEIGNEUR a cherché un homme qui lui plaît pour l’établir comme chef de son peuple(1Sa13:14) 

 (5) L’obéissance partielle.

Ordre de l’Éternel donné à Saül

Eh bien, maintenant, va les attaquer. À cause de moi, détruis complètement tout ce qui leur appartient. Sois sans pitié pour eux! Fais mourir tout le monde:  les hommes et les femmes, les enfants et les bébés, les bœufs et les moutons,  les chameaux et les ânes!"(1Sa15:3)

 Saül obéit à moitié à cet ordre

Saül et ses soldats ne tuent pas Agag, le roi des Amalécites. Ils ne tuent pas non plus les plus beaux animaux: les moutons, les bœufs, les gros animaux et les agneaux. Ils gardent tout ce qui est bon. Ils tuent seulement ce qui ne vaut rien, ce qui ne peut pas servir(1Sa15:9)

 L’obéissance vaut mieux que le sacrifice

Alors Samuel dit: «Qu’est-ce que le SEIGNEUR aime mieux? L’obéissance à sa parole ou bien les sacrifices d’animaux? L’obéissance vaut mieux que les sacrifices des animaux les plus gros(1Sa15:22) 

 CONCLUSION

Ce livre nous rappelle que Dieu seul est le vrai roi de son peuple. Dans ce peuple l’autorité légitime ne peut être exercée que par celui qui accepte pleinement d’être lui-même soumis à l’autorité unique de Dieu.

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Ruth Publié le Mardi 14 Juin 2011 à 20:40:48

Ruth.

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Le livre de Ruth, qui doit son nom au principal personnage du récit, raconte l’histoire d’une famille de Bethléem s’expatriant au pays de Moab. Elimélek, époux de Naomi, y meurt ainsi que ses deux fils Mahlôn et Kilyôn qui avaient épousé deux Moabites, Ruth et Orpa.

Au bout de dix ans Naomi déchirée et affligée se résout revenir chez elle à Bethléem. Ruth choisit d’accompagner sa belle–mère, tandis que Orpa retourne chez elle dans son peuple. Ruth va glaner dans le champ de Boaz qui l’accueille avec bienveillance. Naomi, sachant que Boaz a sur Ruth un droit de rachat, conseille à sa belle–fille d’inciter Boaz à l’épouser. Celui–ci accède à la demande et, après le désistement d’un racheteur plus proche, prend Ruth pour femme. De cette union naquit un fils: Oved, le père de Jessé, père de David.

Cette une histoire belle et originale de foi et d’amour qui a été écrite sûrement par Samuel au temps des juges. Une pauvre veuve étrangère, descendante de LOT, épouse un riche fermier israélite, fils de RAHAB la prostituée de Jéricho. Ils furent les grands–parents du Roi David. Ouvrant ainsi la lignée royale, de laquelle mille ans après allait naître Jésus de Nazareth, l’Emmanuel annoncé par le prophète Esaïe.

Chaque chapitre de ce livre présente les divers aspects d’une vie qui se confie en Dieu:

·         ch. 1: Le choix 

·         ch. 2: La persévérance 

·         ch. 3: Le repos

·         ch. 4: la récompense

Il y a dans cette histoire, une telle richesse que toute la providence divine y est révélée avec clarté.

 Dans les personnages:

Naomi ruinée et incrédule

Ruth l’étrangère, introduite par grâce dans la promesse de Dieu

Boaz le parent rédempteur qui fait alliance avec l’étrangère

Dans les situations, une belle mutation:

Le deuil changé en allégresse

La pauvreté  changée en richesse

Le choix humain qui introduit dans la volonté de Dieu

La prescience de Dieu qui conduit à travers les siècles

 THEME PRINCIPAL: Comment la vie d’une jeune femme moabite a été enrichie par une belle fidélité et un choix sage(Ru1:16). Travaillant avec humilité(Ru2:2,3) et acceptant de marcher selon le conseil d’une personne plus âgée(Ru3:1–5), elle obtint une alliance providentielle(Ru4:10,11) qui la fit entrer dans une famille royale(Ru4:13–17).

BUT PRINCIPAL: Montrer comme par la grâce et la souveraineté de Dieu, une païenne est devenue ancêtre de Christ, le messie.

ANALYSE HISTORIQUE.

(1) Le séjour à Moab.

-          La famine : Cause du départ au pays de Moab(Ru1:1)

-          Le deuil de Naomi pendant son séjour au pays de Moab(Ru1:2–5)

(2) Le triste retour à la maison.

-          Naomi décide son retour à la maison(Ru1:6 –7)

-          Naomi bénit ses belles filles pour un adieu qu’elles refusent(Ru1:8–10)

-          Naomi les en dissuade(Ru1:11–13)

-          Orpa renonce mais Ruth est formelle(Ru1:14–17)

-          Naomi, la femme amère rentre à Bethlehem avec Ruth(Ru1 :19–22)

(3) Ruth glane dans les champs de Boaz.

-          Ruth trouve grâce aux yeux de Boaz et va glaner toute la moisson(Ru2:1–23)

-          Ruth dans l’obéissance de la foi(Ru3 :1–9)

-          Boaz est favorable à cette démarche et la bénit(Ru3 :10–18)

(4) Son mariage avec Boaz.

-          L’ayant droit désiste et Boaz obtient le droit de rachat(Ru1:1–12)

-          Le mariage qui comble tous(Ru4:13–14)

(5) La naissance de son fils.

- Le  fils de Ruth est le grand–père  de David(Ru4:15–16)

 (6) La généalogie de David(Ru4:18–22)

 CONCLUSION

Le récit, montre un exemple saisissant de fidélité dans les relations humaines et de confiance en Dieu. Cette fidélité a donné à une invitée surprise, Ruth la Moabite, le droit d’appartenir aux ancêtres de David, et entrée ainsi dans la descendance messianique.

 

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