TOUJOURS VERS LES ANNÉES 1970.

AUJOURD'HUI, C'EST LA VIDÉO:

LA TÉLÉVISION DES ANNÉES 70 EST INSPIRÉE D'UN SCAPHANDRE D'ASTRONAUTE (1973).

LE 1^er MAGNÉTOSCOPE QUI UTILISE DES CASSETTES K-30 – BETAMAX DE SONY (1975).

LE MAGNÉTOSCOPE V-H-S COMMENCE A MODIFIER LES FORMATS (1975).

LE 1^er LECTEUR DE DISQUES VIDÉO, DURÉE 30 MN (1975).

L'APPAREIL PHOTO EST COMPLÈTE PAR L'AUTOFOCUS ET UTILISE LA LUMIÈRE INFRA ROUGE POUR CALCULER LA DISTANCE (1979).

LE 1^er LECTEUR DE DISQUES LASER - VIDEO ET AUDIO- (1980).

L'APPAREIL PHOTO OU IL N'Y A PLUS DE PELLICULE, MAIS SOUS UNE FORME MAGNÉTIQUE, IL STOCKE LES IMAGES (1981).

LE 1^er TÉLÉVISEUR AVEC UN SON STÉRÉO (1981).

LA TÉLÉVISION DE POCHE - TV DE POCKET DE SONY- ÉCRAN NOIR ET BLANC DE 4X5 CM (1982).

LA CAMERA VIDÉO AVEC LE NOUVEAU FORMAT 8MM (1985).

CRÉATION DES CAPTEURS POUR APPAREILS NUMÉRIQUES, QUI PRODUIT DES IMAGES DE 1,4 MILLION DE PIXELS (1986).

LA 1^ere TÉLÉVISION AVEC TÉLÉPHONE ET FAX INTÉGRÉS (1988).

LE 1^er CAMÉSCOPE EN FORMAT HI-8 (1989).

LE 1^er APPAREIL NUMÉRIQUE (1991).

LE CAMESCOPE AVEC L'IMAGE VIDÉO QUI DEVIENT NUMÉRIQUE, UN PETIT ÉCRAN LCD, UN STABILISATEUR D'IMAGE ET UN ZOOM (1993).

TÉLÉVISION NUMÉRIQUE ACCESSIBLE AVEC UN DÉCODEUR -150 CANAUX ET UNE QUALITÉ DES IMAGES- (1996).

LA 1^ere TÉLÉVISION A ÉCRAN PLAT (A PLASMA) AVEC UN ACCÈS INTERNET – LE GAZ DANS L' ÉCRAN ÉMET DE LA LUMIÈRE QUAND IL EST TRAVERS2 D'UN COURANT (1997).

LE 1^er LECTEUR DE DVD – LA CAPACITÉ DES DVD EST 7X SUPÉRIEUR A CELLE DES CD (1997).

LE 1^er GRAVEUR DE CD, ASSOCIE A L'INTERNET ET A SON RÉSEAU (1999).

LE DÉCODEUR DE DISQUE DUR, IL REMPLACE LE MAGNÉTOSCOPE (2001).

LE NOUVEAU DESIGN INFORMATIQUE CRÉÉE PAR APPLE (FORMAT ROND, ÉCRAN PLAT EXTRA LARGE, ETC – IMAC II (2002).

ENCORE A VOUS…(2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2008, 2009).

Rappelez-vous vers les années 1970, le téléphone à cadran, vous savez celui ou nous tournions le cadran avec des numéros. Il y avait l'appareil, le combiné, l'écouteur de couleur noir, gris, beige, rouge et même blanc.

Donc nous commençons par la communication :

Le 1^er téléphone cellulaire (1973), Motorola je pense !

Le protocole IP qui est l'architecture du net donnant naissance au réseau des réseaux (1974), l'inventeur est Vincent CERF (ingénieur américain de 29 ans).

Le 1^er messager n'a pas d'affichage, ni de mémoire, mais prévient le détenteur d'un message (1974), Motorola encore !

La 1ere machine à faxer numérique (1975), Xerox.

Le 1^er photocopieur équipé d'une puce électronique pour avertir des pannes et des bourrages (1977), Xerox encore !

La 1ere imprimante laser pour ordinateur -120 pages/min- (1978), Xerox toujours !

Le minitel (1981).

La messagerie vocale, un système d'échange de message sous forme numérique (1982), l'inventeur est Gordon MATTHEWS.

Le visiophone (1983).

Le 1^er téléphone mobile analogique, les ondes radio sont modulés en fonction de la voix (1983), Motorola.

Le 1^er répondeur téléphonique numérique (1983), Hashimoto.

Les 1^ers réseaux de téléphonie cellulaire analogique par Itinéris et SFR (1985).

Le 1^er virus internet (1988).

Le lecteur CD-ROM portable peut afficher dix lignes de texte sur l'écran, il stocke l'équivalent d'un livre de 100 000 pages (1988), Sony.

La 1ere imprimante couleur (1991), Hewlett-Packard.

Le 1^er téléphone mobile numérique, transmission de la voix en code binaires (1992), Ericsson.

Le modem, internet grand public (1994).

Le 1^er téléphone qui combine un ordinateur et une téléphonie (1998).

Le 1^er téléphone mobile GPRS qui combine l'internet sans fil, un accès au web et une discussion en direct (2001).

Le système GPS est un positionnement par satellite reçu par le téléphone mobile (2001).

Le téléphone mobile associe la telephonie, l'agenda électronique, l'appareil photo-numérique, le lecteur de musique MP3 et l'accès à l'internet (2003).

A vous… (2004, 2005, 2006, 2007, 2008, 2009).

Il y a environ plus de 8 millions de jeunes de 16 à 25 ans et ils représentent environ 13 % des citoyens français.

Et pourtant, la jeunesse ne trouve pas sa place dans la société, qu'elle soit issue des quartiers dites défavorisés ou diplômée de master. Ce qui est malheureux, c'est que des enfants de cette génération vivront plus mal que leurs parents et cela est une première depuis 1945. Pourtant, la génération actuelle des 18-25 ans est plus diplômée que ne l'étaient les générations précédentes au même âge.

Et oui hier, c'était les retraité (es) qui étaient pauvres! Aujourd'hui, ce sont les jeunes essayant de rentrer dans la vie active. En effet, le constat est qu'un système fonctionne comme une machine à exclure les jeunes à coups de stage ou d'emplois précaires.

Beaucoup de famille, de personnes isolées, de plus de 60 ans, 1/4 des adultes et 1/3 des moins de 25 ans vivent sous le seuil de pauvreté à moins de 800 € par mois. Ne touchant pas anciennement le RMI et aujourd'hui exclus du revenu de solidarité active (RSA), ils sont de plus en plus nombreux à pousser la porte des associations pour une aide financière, un logement ou un panier-repas.

Pour ceux qui peuvent, il existe la solidarité familiale, 56,5 % vivent encore chez leurs parents, mais cela n'aide pas une génération qui n'arrive plus à avoir de repère. Et les 18-25 ans sont atteints par la dépression nerveuse, bien que le suicide soit la deuxième cause de mortalité chez les 15-24 ans, après les accidents de la route.

En France, les jeunes sont traités soit comme des sauvageons, soit comme des jeunes prises en charge, attardés et immatures, incapable de se débrouiller, l'âge moyen du départ du foyer familial est pour les filles, 21 ans et les garçons, 23 ans. Il y a encore cette image selon laquelle si les jeunes ne trouvent pas de travail, c'est parce qu'ils ne veulent pas travailler, qu'ils sont peu ou mal formés. Notre société ne veut-elle pas voir la réalité et se défausserait-elle facilement à bon compte sur les plus jeunes de son incapacité à leur proposer un avenir décent?

Un différend entre générations ne risque-t-elle pas d'opposer demain une jeunesse revancharde à ses ainés qui l'auront précarisée?

Exigé par une jeunesse, l'idée serait un revenu pour les moins de 25 ans qui permettrait aux jeunes français de prendre leur envol, de conquérir leur autonomie et de choisir leur avenir. Verra-t-elle enfin le jour?

Pourtant la jeunesse devrait être présentée comme une ressource pour l'avenir dans laquelle il faudrait investir.

 

La ville de Grenoble comme à son habitude et parce qu'elle est précurseur dans l'innovation saura prendre ce pari, celle d'influencer sa jeunesse, de nommer par exemple des jeunes étudiants de tous les pays vivant à Grenoble le temps de leurs études, ambassadeurs dans leurs propre pays et leurs propre villes.

Voici un extrait du rapport que j'ai présenté à la dernière A.G. Il vous est présenté simplement pour prouver la transparence du CLUQ.

Assemblée générale du Comité de liaison des unions de quartier (CLUQ).

Mercredi 27 mai 2009 à 19 h00

Une année marquée par la mise en place d'un nouveau trésorier.

Il y a eu d'abord une révélation d'un déficit important dans les comptes du CLUQ pour l'exercice 2007 à l'Assemblée Générale de 2008. Le CA suivant a désigné un nouveau trésorier (moi-même). Aussi tôt élu, aussitôt au travail.

En effet avec l'aide de Mathieu MAUVAIS et du responsable de la commission budget, Monsieur Gérard BORJ  un travail de longue haleine a été fourni. Il n'y a pas eu un conseil d'administration ou nous n'avons pas expliqué la situation des finances, c'était d'ailleurs un vœu de l'ensemble de la commission budget. La transparence s'imposait.

Groupe de travail pour revoir les comptes.

Bien que le montant de la subvention se soit élevé à 23000 euros ces dernières années, nous avons mis en place un groupe de travail et élaboré un budget en équilibre pour l'année 2008 bien que celle-ci était déjà largement entamée.

En six mois effectif sur 2008, nous avons à diviser le déficit par presque 3. Il est passé de 7593 € 2794 €. Il convient de rappeler que l'exercice déficitaire de 2007 succédait à deux autres exercices également déficitaires, ce qui avait conduit les précédents bureaux à consommer la totalité de l'épargne que s'était constituée notre association au fil des années.

Avec le responsable de la commission budget, nous avons analysé notre travail, informé le Président, par la suite alerté et soumis des suggestions au Bureau et au CA du CLUQ.

En effet, nous avons été étonnés par différentes anomalies dans les comptes.

Recherche d'une stabilité financière et assainissement des comptes.

Réduction des dépenses :

- Annulation et renégociation des contrats des leasings de photocopieur.

- Réduction des charges salariales induites par le poste du secrétariat.

- Nous avons très fortement diminué les frais d'affranchissement.

- Tout frais superflu qui ne sert pas l'association ont été supprimés.

Situation financière redevenue saine mais trésorerie délicate.

Malgré ces efforts et ces résultats, nous sommes dans un passage en termes de trésorerie. En effet la mairie tarde à nous verser la subvention.

La ville est notre principale source de financement par la subvention, elle a tardé à être votée et donc versée

Ce problème est commun à beaucoup d'associations ; il est en général pour les associations résolu grâce au « petit matelas » d'épargne, mais pour nous il n'existe plus depuis fin 2007.

Pourtant malgré ce souci avec la collectivité, nous avons négocié une facilité de caisse avec notre banque (chose rare pour une banque), mais aussi à la solidarité de certaines Unions de Quartiers qui ont accepté de nous faire un prêt sans intérêt. N'oublions pas L'AHGGLO qui nous a aussi aidés dans cette rude épreuve. C'est une belle preuve de solidarité envers le CLUQ, pour ceux qui en doutaient!

Investissement : Relancer l'activité du CLUQ et réformer son mode de fonctionnement.

Bien que nous avons été informées d'une nouvelle politique de subvention au mois de mai alors que nous l'avons demandé au mois de novembre et que celle-ci n'a toujours pas été versée à ce jour avec les conséquences que vous connaissez. Le Conseil Municipal a finalement voté un premier versement de 5000 euros lors de la séance du 18 mai 2009.

J'ai moi-même alerté les services municipaux en charge de notre subvention, ainsi que de nos difficultés grandissantes dés le début de l'année. Ma démarche est restée sans suite.

Le montant est faible, mais Madame Laure MASSON a précisé lors du Conseil Municipal du mois de mai 2009 qu'il s'agit bien d'un premier versement, qui sera complété en septembre (avec, si nécessaire, une seconde avance d'un montant indéterminé en juillet) pour un montant final qui nous a été annoncé dans une fourchette de 11000 à 13000 euros.

Aussi, Madame Laure MASSON nous a demandé de réduire encore notre budget prévisionnel et nous nous sommes exécutées.

Ceci  va nous conduire à continuer dans la voie d'une gestion saine et de présenter pour 2009 un budget équilibré.

Nous essayerons de conserver le poste de secrétaire et nous rembourserons les Unions de Quartiers qui nous ont prêté de l'argent. Nous le ferons dès le versement des 5000 euros alloués le 18 mai 2009.

Il est par contre absolument nécessaire de relancer l'activité du CLUQ et de réformer son mode de fonctionnement pour vivre avec ce nouveau type de subvention.

A savoir les projets devront correspondre au cadre de trois axes prioritaires définis par la ville, au risque que le complément de subvention ne soit pas versé.

Nous craignons également que ce système conduise à une gestion financière au jour le jour, puisque aucune prévision de dépenses ne pourrait être envisagée avec certitude sur l'année.

Nous pensons que, malheureusement, les actions du CLUQ et son indépendance depuis quelques années ne permettent pas de prétendre à ces subventions complémentaires!

Au nom du Bureau, je tiens à vous remercier de la confiance que vous nous avez accordée tout au long de cette année, ainsi que la municipalité.

Echirolles est impacté par cette crise !

Mais le processus de décision est long à entrer en application d'où la réactivité de Caterpillar. Il existe un ralentissement net des pays émergents frappés par la crise et désormais décidés à reporter des travaux liés à des métiers traditionnels pour Caterpillar dont les applications industrielles.

Caterpillar France SAS est une filiale de Caterpillar Inc., premier fabricant mondial d'engins de terrassement et de travaux publics. L'entreprise, implantée à Grenoble depuis 1961, emploie aujourd'hui 3 000 personnes dans ses usines de Grenoble et d'Échirolles pour de la fabrication de tracteurs, chargeuses, pelles hydrauliques sur pneus, trains de roulement et composants. Plus de 90 % des machines produites sont destinées à l'exportation.

Caterpillar, leader mondial des engins de chantier n’échappe pas à la crise actuelle, à commencer par de grandes entreprises de Rhône-Alpes. Ainsi, les sites de Grenoble et d'Échirolles de Caterpillar seraient fortement touchés par une importante baisse d'activité. Arrêt des primes au mérite, gel des embauches, baisse des salaires, mise en place d’un guichet départ pour les volontaires.

12 et 15 jours d’arrêts de l’activité des deux sites par mois !

Au Versoud également, ce sont aujourd'hui 172 personnes qui sont directement touchées.

À Echirolles, l'inquiétude est de la même teneur. Toutes les productions sont touchées par ce ralentissement, tracteurs, excavatrices sur pneus et sur chaînes, chargeuses.

Caterpillar France fait actuellement face à une baisse de son carnet de commandes. Aussi, avec un chiffre d'affaires de 44,96 milliards de dollars en 2007, Caterpillar est à la pointe de la technologie et le premier constructeur mondial de matériel de construction et d'exploitation minière, de moteurs diesel et à gaz naturel, et de turbines à gaz industrielles.

De la formation, des mesures de chômage partiel dans les secteurs concernés et des arrêts de production ont été programmés jusqu'à la fin de l'année 2008. Pour 2009, les perspectives économiques sont incertaines, caractérisées par une forte volatilité. La visibilité actuelle des commandes est faible.

Nous sommes de tout cœur avec vous et solidaire de l’action que vous menez.