Les attaques de chiens dangereux se sont multipliées ces derniers temps… Récemment, une famille entière a été attaqué et grièvement blessé par leur gentil toutou. Les croisements de certaines races sont interdites mais est ce suffisant ? Ne faudrait pas t-il pas penser à faire piquer les maîtres aussi ? Ces personnes et leurs 9 millions de toutous qui occupent de plus en plus la place d'un vrai membre de la famille.
La ministre de l'Intérieur souhaite développer les mesures de prévention après le décès d'une fillette de 17 mois, Fatima, mordue par Scarface un chien américain Staffordshire (chien de chasse et de compagnie), la petite était dans sa poussette, le chien l'a mordue à l'arrière du crâne. A l'issue d'une réunion évaluant la législation existante sur les chiens dangereux, la ministre de l'Intérieur a notamment demandé une interdiction de procéder à certains croisements de chiens dangereux avec une autre race qui le serait moins.
Une loi sur la prévention de la délinquance du 5 mars 2007 classe les chiens susceptibles d'être dangereux en deux catégories : les chiens d'attaque type pitbull et les chiens de garde ou de défense type rottweiler (bouvier). Leur détention doit être déclaré en mairie et la loi rend obligatoire l'obtention d'une évaluation comportementale lors de l'achat de chiens de première et deuxième catégorie. Ce qui permet d'encadrer plus sévèrement la détention de chiens dangereux.
Nous sommes d'accord avec cette loi pour interdire les croisements, réduire la prolifération et responsabiliser leurs propriétaires. Mais nous déplorons tous ces drames, encore une fois ce n'est pas une certaine race de chien qui est dangereuse, mais la façon dont celui-ci est élevé. Il ressemble ensuite au maître atrabilaire.
Comme par exemple, le croisement Boxer / Labrador donne un chien sympathique au demeurant qui adore jouer avec les enfants, cela donne également un animal très puissant, joueur et câlin. Les deux races dont il est issu ne sont pas dangereuses, c'est un gros chien -50 kg- qui doit être éduqué et surtout il ne faut pas le laisser faire et montrer qui est le maître. Normalement au niveau de la génétique il n'a pas d'agressivité, mais comme tout chien si il est dressé au mordant ou maltraité, par sa puissance il peut devenir méchant. C'est de la faute du maître et cette même personne peut obtenir des résultats identiques avec n'importe quel race de chien, comme un caniche.
Il faudrait également castrer tout les bâtards et corniaud de France pour ne pas qu'ils se reproduisent.
Que dire de cette dernière tragédie !
Aux Grandes Loges, un village de 300 habitants situé dans la Marne, prés de Châlons-en-Champagne (nord-est), une petite fille de 6 ans prénommée Louane a été découverte morte, ce samedi 28 mars en fin de journée, dans l'enclos des chiens de famille, mordue vraisemblablement et à priori égorgée par deux dogues allemands appartenant aux parents.
Les chiens risquent une euthanasie dont la race n'est pas dans la catégorie des chiens dangereux. Les dogues allemands adultes ne pèsent pas moins de 80/85 kgs et dépassent les 85 cm au garrot.
Les agressions canines ont fait une trentaine de décès en France en vingt ans.
La décision du CNOSF (Comité national olympique et sportif français) de Paris vient de tomber, c'est Annecy !
Après des mois d'attentes, les 42 membres du conseil d'administration du CNSOF ont tranché en un seul tour de scrutin. C'est la ville d'Annecy qui portera les couleurs de la France dans la competition internationale.
Rappel :
10h50 : ouverture par Monsieur Henri Sérandour dans l'amphithéâtre.
11 h : début de vote dans la salle du Conseil à huit clos
11h10 : annonce du résultat du vote
11h58 annonce de la décision finale du conseil d'administration du CNSOF.
L'ambiance était chaude mercredi matin au CNOSF où a été désignée la ville pour accueillir les Jeux d'hiver 2018.
A l'évidence Grenoble avait toute ses chances, dommage !
Au coude à coude avec Annecy après le rapport du Comité d'évaluation, la capitale de Haute Savoie a été élue au premier tour de scrutin (23 voix) candidate à l'organisation des Jeux olympiques d'hiver 2018. Mais également Nice (10 voix) la métropole de la Côte d'Azur qui devance Grenoble (9 voix) et Pelvoux les Ecrins (0 voix) petit village des Hautes-Alpes à 1.200 mètres d'altitude n'a obtenu aucun suffrage.
La candidature française doit désormais être présentée au CIO (Comité international olympique) avant le mois d'octobre.
Il faudra attendre juillet 2011 pour connaître le choix de la ville qui accueillera les J.O. Cela se passera à Durban –Afrique du Sud-. Car la concurrence est rude (Pveongchang -Corée-, Sotchi -Russie-, Munich -Allemagne-, etc.)
C'est avec surprise, que j'ai appris la décision à laquelle je ne m'attendais pas. En pleine crise économique, c'était surement un sérieux challenge. C'est évidemment douloureux pour tous ceux qui espéraient qu'une décision favorable permettrait d'engager Grenoble dans la voie d'investissement de modernisation.
Grenoble devra relever la tête et trouver d'autres combats pour conserver son statut de capitale des Alpes.
Le mystère sur l'éventuelle candidature française est levé.
Pour terminer, saluons toutes les personnes (bénévoles, entrepreneurs, commerçants, politiques, etc.) qui ont contribué à porter jusqu'au bout l'espoir de milliers de Grenoblois.
Un extrait sur le temoignage d'une petite experience sur une certaine jeunesse qui n'a pas d'objectif durable, sauf à croire que nous sommes dans un monde violent. A nous de leur faire valoir un autre avenir!
Voir la vidéo.
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Voici un extrait de mes occupations, avec la connivence d'un lutteur acharné Alexandre COHEN qui récompense de nombreuses personnes qui vivent dans notre belle ville de Grenoble et l'agglomération.
LE MOUVEMENT « LES ENFANTS D'ABRAHAM » !
Au moment même ou nous venons de célébrer le 60éme anniversaire de déclaration Universelle des Droits de l'Homme, le mouvement « les enfants d'Abraham », par l'intermédiaire de ces deux responsables, Messieurs Alexandre COHEN et Chérif BOUTAFA, a remis le prix des droits de l'Homme (année 2009) à madame Lisette BRUN, pour son attitude héroïque pendant la seconde guerre mondiale (tout particulièrement de soutien à la population juive).
Exemplaire de courage, de ténacité et de fidélité, Lisette BRUN se dévoue depuis de nombreuses années pour préserver le Devoir de mémoire.
Le prix des Droits de l'Homme lui a été remis au cours de l'assemblée générale du Souvenir Français Grenoblois ou de nombreuses personnalités civiles et militaires étaient présentes.
Madame Lisette BRUN est une militante active du Souvenir Français.
D'ailleurs à travers son courage, c'est l'ensemble de l'action du Souvenir Français que le mouvement « les enfants d'Abraham » a voulu honorer.
Ainsi, Monsieur Louis DA RONCK, Président de la section Grenobloise du Souvenir s'est vu décerner la médaille des Droits de l'Homme récompensant le digne dévouement de cet infatigable patriote.
N'oublions pas, qu'au moment ou des sépultures d'anciens combattants de confessions musulmanes sont régulièrement profanées, les militants du Souvenir Français honorent la Mémoire Nationale en entretenant les tombes et les monuments de tous nos martyrs.
Le mouvement « les enfants d'Abraham »
Le mouvement « les enfants d'Abraham » a été créé pendant l'année 2005 par des citoyens de confessions juives et musulmanes. Aujourd'hui, il rassemble des citoyens de toutes confessions, croyants et non croyants.
Chaque année, depuis sa création, il décerne le prix des Droits de l'Homme à une personnalité Iséroise qui s'est distinguée par son action Humanitaire.
LA NOUVELLE ANNEE NE DOIT PAS ETRE UN SIGNE DE PRECARITE POUR 2009 !
La précarité gagne du terrain, environ sept à huit millions de français dont 121 000 isérois vivent aujourd’hui en dessous du seuil de pauvreté, soit 870 euros par mois pour une personne seule et environ 1300 euros pour un couple sans enfant.
Notre pays connaît une crise économique et sociale, sans précèdent depuis celle des années 30 et l’ascenseur social n’est pas prêt d’être renvoyé.
Les nouveaux visages de la précarité touchent aujourd’hui de plus en plus de personnes qui occupent un emploi. Ils s’ajoutent aux pauvres existants et débouchent sur des risques d'exclusions.
La précarité à une incidence majeure sur le citoyen, qui peut se traduire par :
- Une dégradation des conditions de travail - un salarié (e) en situation précaire n’a pas les outils et le courage pour défendre ses droits-.
- Une difficulté à développer une vie sociale (quitter le domicile parental, fonder une famille).
- Une révolte sociale (les salariés en situation précaire auront plus tendance à s’opposer au système).
- Une dégradation de la santé physique ou mentale.
Combien de personnes cumulent des emplois, vivent à plusieurs sur un salaire, se réveillent la nuit avec l’angoisse de ne pas pouvoir subvenir au besoin de leurs familles, etc.
Pour un emploi, c'est le fait que celui-ci ne soit pas sûr, c'est à -dire que sa durée soit limitée, introduisant une incertitude face au lendemain. Même si celui-ci dure dans l’année, le salarié peut rester dans la pauvreté à cause du pouvoir d’achat trop bas.
En période d'expansion, le recrutement en emplois précaires est plus important (recours fréquent aux travailleurs intérimaires), car les chefs d'entreprise ne sont pas certains que la croissance va durer. En période de récession, ces emplois précaires se réduisent ce qui provoque des licenciements ou des fins de contrat à durée déterminée et une montée rapide du chômage.
Le retour de la précarité, même si elle ne concerne pour le moment qu'une fraction somme toute encore minime du total des emplois, est ressentie très fortement par une grande partie des salariés : beaucoup se sentent menacés alors même qu'ils disposent d'emplois en CDI. Alors ne parlons pas des emplois partiels et ceux qui n’ont pas les avantages d’un contrat stable.
Parce que le social ne se réduit pas à l’assistanat, et qu’il peut être question de choix de société et que nous vivons dans un pays riche, nous devons écouter et accompagner les personnes en difficulté.
La vague de froid exceptionnelle n’arrange pas les choses avec les dépenses de chauffage et d’électricité, le travail précaire, les retraites qui ne sont pas valorisés comme il se doit, le coût de la vie, le manque de logements sociaux, le coût des soins de santé, la baisse des remboursements des frais médicaux, la hausse des produits alimentaires.
Citation : « La précarité est l'absence d'une ou plusieurs des sécurités permettant aux personnes et aux familles d'assumer leurs responsabilités élémentaires et de jouir de leurs droits fondamentaux. L'insécurité qui en résulte peut être plus ou moins étendue et avoir des conséquences plus ou moins graves et définitives » J.WRESINSKI. Grande pauvreté et précarité économique et sociale. Paris, Journal Officiel.
Elle conduit le plus souvent à la grande pauvreté quand elle affecte plusieurs domaines de l'existence qu'elle tend à se prolonger dans le temps et devient persistante, qu'elle compromet gravement les chances de reconquérir ses droits et de réassumer ses responsabilités par soi-même dans un avenir prévisible.
Les notions de précarité et pauvreté sont à la fois distinctes et liées. Cependant il convient de ne pas confondre les termes : une personne en situation de précarité n'est pas forcément -ou pas tout de suite- en situation de pauvreté.
Des orientations doivent être entreprises pour améliorer le système et permettre une confiance dans l’avenir. Il faut sortir les personnes touchées par ce fléau qu’est la précarité.