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Parler de Grenoble, etc.

Publié le Dimanche 25 Juillet 2010 à 17:42:26

La Villeneuve !

Un braqueur descendu par la police, le quartier réagit comme si on avait tué un innocent, la police est devenue l’ennemi en ayant perdu tout lien avec la population, montrant l’absence criante de la police de proximité.

Malgré sa réputation, Villeneuve une sorte de petit village en plein cœur de Grenoble en FRANCE demeure un endroit convivial. Ses habitants y partagent leurs coutumes, leurs habitudes et leur organisation. Certains se sentent bien sur la place du marché de l’arlequin : ses arbres, sa fontaine. Un vrai patelin méridional, le PMU en moins. Enfants, nous nous amusions dans des parties de marelle, de corde et de balançoire, autant d’inventions de fortune. Les familles qui ne possédaient pas certains accessoires de la vie moderne se retrouvaient dans un appartement pour créer ce lien manquant.

Le quartier n’est pas aussi malfamé qu’on pourrait le croire. Les habitants évoquent la cohabitation entre les fratries : les uns et les autres. Beaucoup s’enivraient de la plénitude qui y régnait et de son fameux parc. Toutefois quelques histoires, violences, et bagarres, sont venue troubler la quiétude environnante. « Ces troubles fêtes, jeunes et moins jeunes, rentraient chez eux pour dormir », mais est ce que n’est pas dans tous les quartiers de France que cela existe ?

Une vie tranquille dans ce quartier bâti sous l’ancien Maire M.DUBEDOUT. Seul bémol, dans les années 1970, l’entretien des bâtiments fait défaut faute de finances. Le quartier perd en qualité de vie et en charme. Dès sa création, pour tous ses aspects innovants, la Villeneuve fut la cible de multiples critiques.

Bref, une orientation très forte pour "BIEN VIVRE ENSEMBLE", que l'on peut appeler encore convivialité, rencontre, dynamisme associatif... Certains de ces principes ont été repris dans le cadre du "Développement Durable " (mixité sociale, mixité logements / activités / services, compacité des habitations, espaces verts, quartier piéton - sans voiture (moins d'effet de serre), espace de concertation …

En principe, la Villeneuve devait devenir le symbole non "du socialisme municipal", mais d’une municipalité qui voyait, dans un urbanisme innovant dans la forme et le contenu, un des éléments nécessaires à une transformation sociale.

Pourtant, l’histoire a pris une autre direction. D’une part, parce que ni la société française, ni la société grenobloise ne sont les mêmes en 2009 qu’au milieu des années 1960. Aux "trente glorieuses" a succédé la crise. Les aspirations d’ouverture et d’acceptation des différences ont fait place au repli sur soi et à la hantise de la sécurité. A la croissance a succédé le chômage, en particulier des jeunes, partie importante de la population dans ces quartiers les plus jeunes de Grenoble.

Les étapes du développement urbain de la ville réussi ? Par rapport aux objectifs, oui, par rapport aux exigences de la société actuelle, cela est probablement moins sûr. L'architecture qui prend place dans ce cadre subit également une évolution dont l'apogée pourrait correspondre à l'établissement d'une imposante construction à galeries.

Et le gigantesque complexe de Grand Place qui va se construire à côté devait contribuer à une ouverture ... beau projet ? Dommage, oui! J'avoue qu'il est plutôt beau, même si gargantuesque, mais ont-ils prévu l’emploi des jeunes, la mixité sans penser obligatoirement clients.

Le souci c'est qu'ils n’y ont pas pensé !

Eh oui, car ce Patrimoine il y a...peu connu, caché, peu médiatisé (ou plutôt mal). Mais l'histoire de Villeneuve est riche, des témoins du temps passé existent encore.

Quelques figures emblématiques du quartier peuvent encore nous parler de Villeneuve au début , car nous avons des figures emblématiques qui vivent ici depuis bien des dizaines d'années.

Les enfants sont l’espoir des quartiers, il faut tout miser sur eux !

C'est pourquoi, nous encourageons toutes celles et ceux qui veulent remonter leurs manches, montrer qu'ils sont avant tout usagers d'un service public qu'ils souhaitent de qualité, des parents, amis, tantes, grands-parents soucieux de la qualité de la vie, contribuables et électeurs de la ville de Grenoble ou tout simplement citoyen motivé!

Il est urgent aujourd'hui d'entamer un dialogue constructif avec toutes les autorités.

La Capuche : le quartier oublié ?

La Capuche est un quartier populaire de la ville de Grenoble dans l’Isère. Autrefois, l’endroit était très animé et on venait de loin pour s’y divertir. Pour les anciens du quartier, cette époque semble lointaine…

Cette description idyllique n’empêche pas l’exercice plus ou moins encadré de la collectivité. A la Capuche, le matin, les lieux sont investis par le personnel de la ville. Les trottoirs sont nettoyés, la voirie, les espaces verts. Le soir dès 19 heures le quartier se meurt. Des hommes et femmes entrent ou sortent rapidement dans leurs logements.

Revers de la médaille, les conditions sur l’activité des jeunes et moins jeunes sont déplorables. Les familles socialement fragiles transmettent leur lot de problèmes, dont un certains types de vandalismes par le biais d’un ou deux rejetons. Des mesures sont toutefois prises afin d’endiguer la transmissions de cette délinquance.

Pendant la fameuse nuit de guérilla urbaine à la Villeneuve, l’activité délinquante ne cesse pas. Au contraire… La Capuche occupe largement le champ des voitures brulées, une quinzaine environ. Les habitants choqués sont descendus pour constater les dégâts, trois véhicules de CRS étaient présents, ainsi que la BAC.

Les habitants étaient envahis par une haine mélangé à une incompréhension de ces actes, ils sont restés de 21h30 heures à 1heure du matin. Il n’y a pas eu d’histoire pendant toute cette période. En revanche, il était demandé la présence des élu (es) et éventuellement une indemnisation comme cela s’est fait à Villeneuve ? Une demande également de prise en charge psychologiquement des habitants qui souffrent depuis des années des incendies, des vols, des agressions, etc., oui, cela s’est nettement détérioré.

L’ensemble de la Capuche et ses rues d’accès sont déclarés quartier sensible par les habitants et certaines institutions.

Un projet d’aménagement urbain est étudié, accompagné d’une vidéosurveillance.

Réanimer le quartier !

Si certaines grandes villes Françaises laissent mourir leurs quartiers, d’autres, au contraire, s’acharnent à leur redonner vie. Certains diront que les évolutions industrielles et technologiques les étouffent. D’autres confieront qu’ils sont motivés par cette envie de renouer avec les racines de leurs ancêtres.

Il y a quelques mois, à l’initiative de la MJC Capuche, tout le quartier s’était replongé dans la belle époque de l’échange, quatre structures (Clos d’Or, hoche, les Alpins, Beauvert) travaillaient ensembles. Le projet avait pour objectif de montrer à toutes les générations que la Capuche bougeait. Jusqu'à l’année 2006, la jeune population du secteur 4 et au-delà passée par la MJC (200 environs) toute la journée dans cet ancien quartier populaire, dans le cadre du projet initié par la ville. Ce dernier, imaginé il y a un an, entre dans le cadre de la rénovation du quartier. A cette occasion, nombreuses étaient les personnes qui en découvraient certaines facettes pour la première fois. Lien avec les commerçants, rencontres avec les habitants, etc., le projet en a séduit plus d’un. Les jeunes ont activement participé au projet. Et ce qui ressort principalement des clichés des ados, c’est sans conteste le côté multiculturel du quartier, car Grenoble est avant tout une cité cosmopolite où cohabitent des gens de toutes nationalités et origines sociales.

Quid de l’avenir ?

La commune de Grenoble et ses habitants ont en effet pris conscience du besoin de réinvestir ces quartiers quelques peu oubliés.

Tout Grenoblois connaît la Capuche ou Villeneuve, c’est un peu comme le quartier du Midi pour les Anglais. Quand on habite depuis toujours un endroit, on voit rarement ce qui s’y passe, c’est souvent l’étranger qui pointe les richesses du quartier. Que pourrait-on imaginer pour la suite ? Ce qui fait vivre un quartier, ce sont notamment ses commerces. La Capuche n’en compte plus énormément. « Autrefois, il y avait plusieurs cafés, des dancings aussi, sans compter les maisons du peuple où les copains se réunissaient ». Librairies, papeteries, quincailleries et boutiques de mode envahissaient la rue de Stalingrad. Aujourd’hui, il ne reste plus grand-chose…Pourquoi ? Par peur d’investir dans un quartier justement peu prisé par la population ? C’est la réponse la plus plausible que les Grenoblois trouvent à leur question…

« Personnellement, je ne pense pas que la Capuche puisse un jour redevenir aussi riche et animé qu’autrefois… Ce n’est pas impossible, mais ce serait difficile », confie un habitant.

Quand on se balade dans le quartier, on remarque de nombreuses habitations abandonnées, des bâtiments en ruine. Des logements se rénovent, se construisent même, mais il est certain que la Capuche n’est pas un quartier qui fait l’unanimité auprès des jeunes. A moins de trois kilomètres de là, centres commerciaux et zonings industriels fleurissent de toute part. Et ça n’est pas prêt de s’arrêter. Les terrains vagues sont envahis. L’arrivée de ces nouvelles entreprises pourrait toutefois avoir le mérite de donner l’espoir aux jeunes de ces quartiers moins favorisés de trouver de l’emploi…

C'est pourquoi, nous demandons aujourd'hui aux autorités d’être totalement transparente sur la gestion des quartiers oubliés, et de mettre en place une véritable concertation avec les habitants pour la rentrée de septembre 2010 :

• l’amélioration de la prise en charge de la jeunesse.

• l’amélioration de l’indemnisation des véhicules brulés comme à Villeneuve.

• l’amélioration de la prise en charge par une cellule psychologique des sinistrés et victimes.

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LES TRAVAUX QUI DERANGENT GRENOBLE ! Publié le Mardi 20 Juillet 2010 à 23:49:47

Les travaux, c’est de la gêne, ça fait du bruit et ça rend souvent la circulation difficile. Mais difficile aussi de faire autrement si l’on veut que la ville change. Alors : "Merci de coordonner l’ensemble"

En effet, comment le dire autrement ? Pour se faire une idée regardez chaque rue, chaque quartier, chaque secteur tout est en chantier.

Je suis souvent questionné par des voisins, des associations (U.Q.) et nous constatons que nous sommes rarement consulter sur les travaux engagés.

Des chutes sont signalées suite à des trottoirs encombrés, des pistes cyclables gênées, des voiries inaccessibles. Il se trouve que des chaussées sont très abîmées dans certains coins de la ville, suite à des travaux dans des rues qui sont cote à cote, parallèles, perpendiculaires. Pour situer ceux qui connaissent, c'est rue Lesdiguières, boulevard Gambetta, allée hoche, Teisseire, mistral, Villeneuve, centre ville, quartier sud, quartier nord, est, ouest Et comme il est signalé aucun secteur n’est épargné. Ce genre de travaux sans consultation et organisation semble provoquer pas mal d'accident, il a été vu qu’un vélo s’est pris la roue avant dans une fosse (place Félix poulat) et son propriétaire est tombé assez lourdement.

Les abords des travaux de constructions n’échappent pas à cette gabegie, elles ne sont pas suffisamment sécurisées.

Nous demandons donc si la responsabilité du maintien dans un état acceptable de la route n’incombait pas à la ville, à la DDE ou même au préfet, et si les accidents liés à ces mauvais entretiens pouvaient leur être imputés. Auquel cas, quelle est la marche à suivre pour obtenir, sinon réparation financière, qu'au moins les trous, les tranchées, et les abords du chantier en général, soient mieux entretenus.

En principe, si travaux il y a, c'est l'entreprise exécutante de ces travaux qui auraient dû mettre la signalisation et les moyens de protection nécessaires en place qui, semble-t-il, ne l'a pas fait ou les a retirés prématurément.

En principe, un panneau disposé sur le lieu des travaux doit indiquer qui est le maître de l'ouvrage. Il peut s'agir d’une propriété communale, départementale, régionale, nationale.

Dans la continuité des travaux entamés en 2000 (tramway) les travaux d'aménagement des espaces de voirie ont débuté, dans cette vaste opération, la ville et ses prestataires se sont engagés à respecter l’environnement, en prévoyant notamment de ne pas pénaliser les citoyens, afin de permettre une meilleure fluidisation de la circulation et les parkings ne devaient pas être neutralisés :

Pourtant les témoignages des riverains via les unions de quartier indiquent qu’ils sont indisposé par les nuisances sonores, que nous qualifieront d’une exagération des travaux. Donc, il faut s'exprimer publiquement et ne pas réserver ses confidences aux initiés.

Les travaux ne semble pas etre coordonnée et semble t-il ont détérioré la ville de Grenoble.

Aussi, la circulation piétonne, véhiculée et à mobilité réduite est lamentable. Les contestataires peuvent se frotter les mains.

Négligent, sûrement l'ont-ils été ! Coupable? Qui peut l'affirmer? En tardant à reprendre la situation, les responsables accentueront l'idée selon laquelle l’ordre établi n'est que d'apparence.

 

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LES OUBLIES DE LA NATION. Publié le Dimanche 6 Juin 2010 à 23:41:55

Le 8 mai 2010, comme à l’accoutumé, la France a célébré le 64ème anniversaire de la fin de la barbarie nazie qui a marqué le retour d’une paix durable en Europe (8 MAI 1945). Cette date est l'occasion de rendre hommage à ces hommes et à ces femmes connus ou anonymes qui ont donné jusqu'à leur vie pour que cesse l'intolérable. Les oubliés de la Nation  qui ont risqué leur vie pour que triomphe la liberté, oubliés de la République qu'il faut reconnaître et assumer leur prix du sang.

Mais qui se souvient que cette liberté a été aussi chèrement payée par les combattants « indigènes » goumiers, zouaves, tabors, tirailleurs, spahis, engagés voire pour certains enrôlés de force dans l’armée française !

Mais cette année est particulière puisque nous fêterons le 50ème anniversaire de la création d'une discrimination entre combattants ayant servi sous le même drapeau.

1959 - 2009 : 50 ans d'injustice.

Depuis 1959, les anciens combattants issus des anciennes colonies sont victimes d'une discrimination que nous ne pouvons plus tolérer.

Nous devons donc nous mobiliser fortement en faveur de cette cause qui doit être une cause nationale. Pour ce combat qu'ils ont mené pour la France libre, c'est à nous désormais de mener un combat pour la justice et la dignité.

Face à tant d'injustice et à l'urgence de la situation, la Proposition de loi d'Alain Rousset, député et président de la région Aquitaine a déposé en octobre une proposition de loi en vue de « compléter les mesures déjà intervenues de « décristallisation », améliorer les conditions d'accueil et de prise en charge de ces anciens combattants en France et leur permettre de choisir librement leur lieu de résidence ». Parce qu'il ne s'agit pas seulement d'argent, mais de liberté de circulation sur le territoire national pour ceux qui se sont battus pour son intégrité.

La France ne peut décemment se cacher derrière l’ignorance pour voiler les oublis de son histoire. Il est enfin temps de regarder notre passé en face : le pays a plus que tout autre le devoir d’équité et de justice.

Depuis une loi du 26 décembre 1959, ceux parmi les français de l'époque devenus ensuite étrangers à la suite de la décolonisation ne bénéficient pas des mêmes droits, des mêmes pensions que leurs camarades de combattants restés français.

Cette situation inique s’accompagne d’un système tout aussi pervers qui conduit à des drames humains intolérables. Faute de pension militaire décente, des milliers de personnes âgées ont émigré au début des années 1990 pour bénéficier de minima sociaux auxquels ils pouvaient prétendre dans la mesure où la Loi Pasqua leur donnait droit à une carte de séjour en tant qu’anciens combattants. Ils se sont retrouvés en France sans accueil adapté, isolés, clochardisés, et ignorés de tous. Ils mènent aujourd’hui leur dernier combat pour que la République leur reconnaisse les mêmes droits que leurs compagnons d’armes français.

Le film Indigènes a contribué à faire bouger les lignes. Depuis 2007, les retraites du combattant et les pensions militaires d’invalidité, dites « pensions de sang » ont été revalorisées mettant enfin à égalité les anciens combattants quelle que soit leur nationalité. Mais cette victoire est amère. Des différences persistent, selon les associations de défense des anciens combattants et de lutte contre le racisme. « Quand un ancien combattant français perçoit environ 600 euros, un ancien combattant sénégalais touche 159 euros. Leurs pensions varient de 1 à 8 selon qu’ils sont aujourd’hui Français, Marocain, Sénégalais, Tunisien, Camerounais ou Cambodgien ».

Quatre-vingt mille personnes seraient encore concernées et que mettre retraites et pensions à égalité coûterait entre environ 500 millions d'euros par an. « Equivalente à la somme du bouclier fiscal voté à l'été 2007...».

Les premiers oubliés sont les jeunes français que le FLN a fait prisonniers. Le silence entourant leur douloureuse expérience incombe en priorité aux acteurs eux-mêmes. Après leur libération, aucune instance officielle ne s’est intéressée à leur sort. Croyant que ce qu’ils avaient vécu ne méritait pas d’être évoqué, les appelés se sont tus. Quand ils sortaient de détention, on les priait de ne pas révéler ce qu’ils avaient vu. Car s’ils parlaient, c’était la vie des soldats toujours prisonniers qu’ils mettaient en danger….

Ce qui revient à dire que ces gens on été doublement prisonniers pendant quarante ans en Algérie, puis en France.

Par ailleurs, il me semblait que tout avait été dit sur la guerre d'Algérie. Or des témoignages des appelés du contingent prisonniers du FLN qui, pour la première fois, racontent les horreurs de leur détention.

Exemple : - la fusillade du 26 mars 1962 à Alger, où l'armée française a tiré sur une manifestation pacifiste, tuant 80 personnes et faisant 200 blessés et également, l'abandon des harkis par la France.

- Les enlèvements de militaires et de civils français et musulmans pro-français. 25 000 personnes dont les corps n'ont jamais été retrouvées.

- Le massacre de 2 000 Français en une seule journée à Oran, le 5 juillet 1962.

- L'accord secret entre le gouvernement de la métropole et le FLN, dans le but de pousser les pieds-noirs à quitter l'Algérie au plus vite...

- Des complots et des crimes d'État montrent comment et pourquoi le silence a été organisé et prolongé par tous les gouvernements qui se sont succédé depuis.

- Il y a aussi des dossiers laissés volontairement dans l’ombre par tous les gouvernements de la République depuis quarante ans. Il s’agit, à compter du 19 mars 1962, de l’enlèvement par le FLN de vingt-cinq mille Français militaires et civils sans que l’armée pusse intervenir, entravée par les accords d’Evian.

Nous découvrons l’incroyable vérité et le combat mené par les familles des disparus frappant à toutes les portes dans l’espoir que l’on veuille bien répondre à leurs légitimes interrogations.

Et comment ont été organisés l’odieux abandon des harkis et leur livraison par des fonctionnaires français, sachant que cent cinquante mille d’entre eux mourront dans des conditions effroyables.

Au même titre que leurs frères d'armes français, ils ont combattu sous nos drapeaux et y ont perdu leur vie, leur proche ou leur jeunesse.

Malgré la bravoure dont ils ont fait preuve, ils continuent à vivre ou plutôt à survivre dans l'ombre d'une histoire à laquelle ils ont pourtant contribué.

Le président du Conseil constitutionnel a le devoir de mettre en garde le President de la Republique, Monsieur  Nicolas Sarkozy contre une réforme des institutions oublieuse des leçons du passé.

Le passé éclaire bien souvent le présent.

La phrase de Monsieur Bossuet était : « Quand l'histoire serait inutile aux autres hommes, il faudrait la faire lire aux princes : il n'y a pas de meilleur moyen de leur découvrir ce que peuvent les passions et les intérêts, les temps et les conjonctures, les bons et les mauvais conseils ».

Goumiers, zouaves, tabors, tirailleurs ou spahis, sont à mon sens les « Oubliés francais de la République ».

« LA FRANCE N'OUBLIERA JAMAIS LEUR SACRIFICE A TOUS CES BRAVES ».

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THEATRE DE GRENOBLE! Publié le Dimanche 9 Mai 2010 à 13:44:06

Voir le document, concernant la greve du theatre de Grenoble.

 

 

http://www.dailymotion.com/video/xd7hbi_theatre-de-grenoble-en-greve_news

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La police municipale s'adresse au Grenoblois! Publié le Mercredi 28 Avril 2010 à 22:18:46

28 AVRIL 2010 AVEC PHILIPPE CANDELORO - telegrenoble

Voici une video !

 

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