Blog créé grâce à Iblogyou. Créer un blog gratuitement en moins de 5 minutes.

Le blog de Chérif BOUTAFA

Parler de Grenoble, etc.

LA PRECARITE !!! Publié le Mercredi 14 Janvier 2009 à 00:33:40

LA NOUVELLE ANNEE NE DOIT PAS ETRE UN SIGNE DE PRECARITE POUR 2009 !

 

La précarité gagne du terrain, environ sept à huit millions de français dont 121 000 isérois vivent aujourd’hui en dessous du seuil de pauvreté, soit 870 euros par mois pour une personne seule et environ 1300 euros pour un couple sans enfant.

 

Notre pays connaît une crise économique et sociale, sans précèdent depuis celle des années 30 et l’ascenseur social n’est pas prêt d’être renvoyé.

 

Les nouveaux visages de la précarité touchent aujourd’hui de plus en plus de personnes qui occupent un emploi. Ils s’ajoutent aux pauvres existants et débouchent  sur des risques d'exclusions.

 

La précarité à une incidence majeure sur le citoyen, qui peut se traduire par :

 

- Une dégradation des conditions de travail - un salarié (e) en situation précaire n’a pas les outils et le courage pour défendre ses droits-.

 

- Une difficulté à développer une vie sociale (quitter le domicile parental, fonder une famille).

 

- Une révolte sociale (les salariés en situation précaire auront plus tendance à s’opposer au système).

 

- Une dégradation de la santé physique ou mentale.

 

Combien de personnes cumulent des emplois, vivent à plusieurs sur un salaire, se réveillent la nuit avec l’angoisse de ne pas pouvoir subvenir au besoin de leurs familles, etc.

 

Pour un emploi, c'est le fait que celui-ci ne soit pas sûr, c'est à -dire que sa durée soit limitée, introduisant une incertitude face au lendemain. Même si celui-ci dure dans l’année, le salarié peut rester dans la pauvreté à cause du pouvoir d’achat trop bas.

 

En période d'expansion, le recrutement en emplois précaires est plus important (recours fréquent aux travailleurs intérimaires), car les chefs d'entreprise ne sont pas certains que la croissance va durer. En période de récession, ces emplois précaires se réduisent ce qui provoque des licenciements ou des fins de contrat à  durée déterminée et une montée rapide du chômage.

 

Le retour de la précarité, même si elle ne concerne pour le moment qu'une fraction somme toute encore minime du total des emplois, est ressentie très fortement par une grande partie des salariés : beaucoup se sentent menacés alors même qu'ils disposent d'emplois en CDI. Alors ne parlons pas des emplois partiels et ceux qui n’ont pas les avantages d’un contrat stable.

 

Parce que le social ne se réduit pas à l’assistanat, et qu’il peut être question de choix de société et que nous vivons dans un pays riche, nous devons écouter et accompagner les personnes en difficulté.

 

La vague de froid exceptionnelle n’arrange pas les choses avec les dépenses de chauffage et d’électricité, le travail précaire, les retraites qui ne sont pas valorisés comme il se doit, le coût de la vie, le manque de logements sociaux, le coût des soins de santé, la baisse des remboursements des frais médicaux, la hausse des produits alimentaires.

 

Citation : « La précarité est l'absence d'une ou plusieurs des sécurités permettant aux personnes et aux familles d'assumer leurs responsabilités élémentaires et de jouir de leurs droits fondamentaux. L'insécurité qui en résulte peut être plus ou moins étendue et avoir des conséquences plus ou moins graves et définitives » J.WRESINSKI. Grande pauvreté et précarité économique et sociale. Paris, Journal Officiel.

 

Elle conduit le plus souvent à la grande pauvreté quand elle affecte plusieurs domaines de l'existence qu'elle tend à se prolonger dans le temps et devient persistante, qu'elle compromet gravement les chances de reconquérir ses droits et de réassumer ses responsabilités par soi-même dans un avenir prévisible.

 

Les notions de précarité et pauvreté sont à la fois distinctes et liées. Cependant il convient de ne pas confondre les termes : une personne en situation de précarité n'est pas forcément -ou pas tout de suite- en situation de pauvreté.

 

Des orientations doivent être entreprises pour améliorer le système et permettre une confiance dans l’avenir. Il faut sortir les personnes touchées par ce fléau qu’est la précarité.

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
QUI A TORT, QUI A RAISON? Publié le Lundi 5 Janvier 2009 à 00:45:22

Une guerre sans nom, comme les  nombreuses guerres qui ont eu lieu dans le monde entier et depuis tous les temps. Mais voilà, nous sommes au 21e siècle, en 2009 !

 

Au moins 500 palestiniens ont été tués et 2450 blessés dans cette malheureuse guerre, une offensive israélienne dans la bande de Gaza.

 

Coté Palestinien :

 

Depuis le début des bombardements le 27 décembre, huit jours après la fin de la trêve de six mois conclue entre Israël et le Hamas sous l'égide des Egyptiens, plus de 500 habitants de Gaza ont été tués lors de l'opération « Plomb durci ».

 

Soldats et blindés ont pris position dans les faubourgs de la ville, où vit un tiers du million et demi de Gazaouis.

 

L'offensive terrestre israélienne à Gaza, lancée samedi soir après huit jours de bombardements aériens, a permis à Tsahal de couper en deux la petite enclave palestinienne et d'encercler la ville de Gaza.

 

Au moins 42 personnes, pour la plupart des civils, ont été tuées dimanche quand des obus israéliens sont tombés sur le quartier commerçant de la ville de Gaza, ont annoncé les services médicaux palestiniens.

 

Si tous les palestiniens sont loin de se reconnaître dans le Hamas, l'offensive de l'armée israélienne renforce la solidarité face à Israël.

 

Les tirs des blindés israéliens et la poursuite des raids aériens n'ont pas empêché roquettes et obus de mortier de continuer de tomber sur le sud d'Israël.

 

Environ 25 roquettes ont été tirées dimanche sur l'Etat juif.

 

Les forces du Hamas sont estimées à environ 25.000 hommes.

 

Samedi, à Paris dans la capitale plus de 20.000 personnes avaient manifesté pour réclamer l'arrêt de l'opération israélienne à Gaza. Des incidents avaient émaillé la dispersion du défilé.

 

Le cessez-le-feu exclu :

 

Le président israélien Shimon Peres a exclu un cessez-le-feu.

 

Le Premier ministre israélien Ehud Olmert : « cette opération a été rendue inévitable, nous n'avons l'intention ni d'occuper Gaza, ni d'écraser le Hamas, mais d'écraser le terrorisme. Et le Hamas a besoin d'une leçon véritable et sérieuse. Il est en train de la prendre », a-t-il dit à la chaîne de télévision américaine ABC.

 

Dimanche matin, des fusillades ont opposé les combattants des deux camps mais, la journée s'avançant, les opérations militaires se sont progressivement limitées à des échanges d'artillerie, roquettes et obus de mortier des Palestiniens répondant aux tirs des blindés de Tsahal.

 

Coté Israélien :

 

Israël affirme ne pas chercher à réoccuper et accuse les hommes du Hama de recourir à des « boucliers humains » dans la bande de Gaza, en s'embusquant derrière les civils.

 

Environ 10 000 militaires israéliens étaient massés à la frontière. Un soldat tué, trente-deux autres militaires ont été blessés depuis samedi soir.

 

Les avions israéliens ont continué à viser des dizaines d'objectifs.

 

En France des milliers de personnes ont répondu à l'appel des associations juives de France dimanche et se sont rassemblées à proximité de l'ambassade d'Israël à Paris pour un soutien et le droit d'Israël à la légitime défense et rappeler la mémoire des victimes israéliennes du Hamas.

 

Ils scandaient : « Hamas, terroriste », « Israël vaincra », réunis avenue de Matignon, dans le 8e arrondissement, entre deux chants en hébreu.

 

Certains manifestants agitaient des drapeaux israéliens, d'autres des portraits du soldat Gilad Shalit, détenu en otage depuis juin 2006 par des groupes activistes palestiniens.

 

Une personne rapportait, « J'ai des neveux dans l'armée israélienne et mes enfants, qui sont en France, peuvent partir demain. Mais si c'est le cas, ils se battront pour la démocratie. »

 

Pourtant à ce moment là, quatre Israéliens ont été tués par des tirs de roquettes sur le sud de l'Etat juif. La nécessité d'empêcher la poursuite de ces tirs en détruisant l'infrastructure offensive du Hamas est le motif invoqué par Israël pour expliquer son offensive.

 

Plusieurs représentants de la communauté juive, dont le grand rabbin Gilles Bernheim et le président du Crif, Richard Prasquier, se sont exprimés à la tribune « La guerre n'est pas contre les Palestiniens, la guerre est contre le Hamas, obstacle insurmontable sur la route de la paix » et il a ajouté « Israël s'est désengagé de la bande de Gaza spontanément, aujourd'hui, il est obligé d'y revenir car le Hamas ne s'est pas désengagé de sa culture de la mort. »

 

De son côté, le grand rabbin Gilles Bernheim a appelé communautés juive et arabe de France à tout faire "pour préserver la qualité de notre vivre ensemble". Il y avait également le chanteur Enrico Macias.

Les manifestants se sont dispersés vers 16h00, après avoir chanté la Marseillaise, sans qu'aucun incident violent ne soit signalé dans l'immédiat.

 

Pendant ce temps le Président Nicolas Sarkozy :

 

Est en mission périlleuse au Proche-Orient.

 

Il a maintenu sa tournée au Proche-Orient lundi malgré le lancement par Israël, samedi soir, d'une offensive terrestre contre le Hamas dans la bande de Gaza, cela lui rend difficile la tâche.

 

Dimanche, le président français s'est entretenu par téléphone avec la chancelière allemande, Angéla Merkel, le président du gouvernement espagnol, José Luis Zapatero, le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, et le chef du gouvernement israélien, Ehud Olmert.

 

Lundi, il déjeunera lundi dans la station de Charm el-Cheikh, sur la Mer rouge, avec le président égyptien Hosni Moubarak, avec qui il préside l'Union pour la Méditerranée.

 

Il rencontrera en fin d'après-midi le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à Ramallah, en Cisjordanie, avant un dîner de travail avec Ehud Olmert.

 

Mardi, il verra le président syrien Bachar el-Assad à Damas, puis les dirigeants libanais à Beyrouth.

 

Même s'il faut lui reconnaître un certain talent en temps de crise, Nicolas Sarkozy se présente en ami à la fois d'Israël et des Palestiniens, il a annoncé "C'est la vocation de la France de chercher partout les chemins de la paix", mais a refusé jusqu'ici tout contact direct avec le Hamas.

 

La France est aujourd'hui avec la Turquie l'un des pays les plus actifs dans la recherche d'une issue au conflit israélo-palestinien.

 

La Syrie, l'Iran, l'Egypte, les Etats-Unis, principal soutien d'Israël, et l'Union Européenne ne font pas d'effort sur une éventuelle négociation avec Israël et une demande d'arrêt total de cette mauvaise guerre.

 

Et l'Onu quels sont ces intérêts dans cette confrontation entre ces deux peuples ?

 

Le sort des habitants du territoire devient de plus en plus désespéré et les agences humanitaires ont prévenu que les stocks d'eau, de nourriture et de médicaments s'épuisaient.

 

Ce qui rend plus hypothétique toute perspective rapide de trêve entre Israël et le Hamas.

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2009 ! Publié le Jeudi 1 Janvier 2009 à 22:07:23

En ce jeudi 1er janvier 2009, meilleurs voeux pour l'année 2009 à tous les visiteurs de ce blog.

 

Il ne restait plus que quelques heures de vie à l'année 2008, vive 2009.

 

C'est sans gueule de bois que je vous souhaite une bonne et heureuse année !

 

2009 sera je l'espère, riche en évolution de mentalité...  En attendant, les traces du réveillon de la Saint Sylvestre sont encore présentes dans la ville de Grenoble. Allez donc vous promener dans les rues joyeuses et attrayantes …

 

Toutefois, je vous la souhaite excellente. Même, si c'est un peu regarder son nombril, mais j'espère vous rassurer par là, nous concernant, 2009 devrait être une très bonne année. La meilleure. De nouveaux projets sont sur le point d'être dévoilés.

 

Mais il est un peu trop tôt pour tout dévoiler. Dès les jours suivants, je tâcherai de reprendre le rétroviseur pour faire le point avec vous sur l'année écoulée, sur l'audience, sur les moyens, sur les projets.

 

Un autre voeux : rétablissez-vous bien des festivités d'hier soir...

 

Je vous le fais bref, car nous reviendrons sur les sujets plus amplement prochainement.

 

Meilleurs voeux pour 2009 !

 

Aux Grenoblois d'abord, aux habitants du département et de l'agglomération, ces fantastiques citoyens, ces merveilleux électeurs qui font rêver les politiques ; souhaitons de gagner un maximum de reconnaissance et de prendre du plaisir dans notre chère ville et au delà. Du plus les anonymes qui oeuvrent pour assurer le bien être, méritent notre respect et nos encouragements.

 

Aux politiques, souhaitons leur une année 2009 remplie de victoire et de plaisir aux côtés de la population. Que chacun puisse remplir ses objectifs et les nôtres en s'acclimatant au mieux a la demande du requérant. Que chacun d'entre eux soit épargné par les traîtrises, les coups bas, etc. Souhaitons leurs de nous redonner une bonne santé de l'activité économique puisque dans Grenoble comme dans le monde, l'argent est le nerf de la guerre.

 

Aux fonctionnaires, souhaitons aussi le bonheur du métier bien fait, la satisfaction des bonnes relations avec leurs employeurs et l'amour permanent de leurs fonctions. Pour eux, la passion doit impérativement rester le moteur de leur présence dans les collectivités.

 

Aux personnes nécessiteuses, à ceux qui font confiance à la vie ou tout simplement au hasard, souhaitons-leur de vivre de grandes émotions et joies quand ils sortiront de la misère. Que la chance soit avec les milliers de sans logis, de précaires, de souffrants, de malades, etc. De la convivialité entre ami (es) à la recherche du bonheur, que chacun d'entre eux puisse prendre du plaisir à vivre malgré les difficultés.

 

Aux milliers de bénévoles qui donnent de leurs temps et de leurs énergies pour que les bonnes décisions soient prises en défendant l'intérêt de l'utilité publique. Souhaitons que les politiques français et européens permettent à nos bénévoles de vivre un avenir radieux malgré la crise qui menace et la récession qui se profile, souhaitons une année 2009 remplie de bonnes nouvelles.

 

L'année 2008 s'est achèvée, une année marquée par la déferlante aura été riche en rebondissements dans l'actualité.

 

A tous, bonne et heureuse année pleine d'humanisme. Au fil des jours nous faisons en sorte de répondre à vos attentes, car sans votre fidélité nous ne pourrions démarrer cette nouvelle année sous les meilleurs auspices.

 

Bonne santé à vous tous et merci pour votre fidélité et votre confiance.

 

Encore, une dernière fois, BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2009 !

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
Les leaders politiques de l'avenir. Publié le Lundi 22 Décembre 2008 à 23:48:37

Monsieur Malek Boutih, de son nom complet Abdelmalek Boutih, né le 20 octobre 1964 à Levallois-Perret.

Etude de droit à la faculté de Nanterre et à l'ESJ Paris.

 

Ancien président de SOS Racisme de 1999 à 2003, il participe à la marche pour l'Egalité en 1983. Il est secrétaire national du Parti socialiste chargé d'une commission depuis 2003.

 

Il a fait part de son intérêt pour la présidence de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde), actuellement présidée par Louis Schweitzer.

 

Parler insécurité à gauche, atomiser la racaille à coup de répliques cinglantes, depuis plusieurs années, une petite voix s'élève contre la loi des gangs qui règne dans les cités.

 

Il est le politique issu de l'immigration qui n'a pas peur de s'en prendre aux « barbares » délinquants, et aux sans-papiers.

 

Depuis, il donne son avis sur toutes les questions de société qui dérangent. Le cannabis, ce serait mieux de le dépénaliser, ce sera autant d'argent en moins pour les trafiquants. Les banlieues, il faudrait une politique ferme, qui se traduirait notamment par l'instauration d'un couvre-feu pour les mineurs et la multiplication des internats.

 

Il a une honnêteté rare en politique. Il s'est fait de ses propres mains. Il a du caractere.

 

Même contacté pour entrer au gouvernement, il souligne qu'il n'a pas refusé " par ideologie", mais réaffirme qu'il n'entend pas quitter le Parti Socialiste, dont il dit avoir l'ambition de devenir un des principaux dirigeants".

 

La phrase : « Les barbares des cités, il faut leur rentrer dedans, taper fort, les vaincre, reprendre le contrôle des territoires qui leur ont été abandonnés par des élus en mal de tranquillité. Et vite ! » (fuctluat.net)

 

 

Madame Rama Yade de son nom complet Madame RamatoulayeYade-Zimet, né (e) le 13 décembre 1976 au Sénégal (32 ans).

 

Cursus : Institut d'études politiques (IEP) de Paris

 

Carrière : Administratrice au Sénat depuis 2002, commission des Affaires sociales, en charge des questions d'emploi, de formation professionnelle et d'0utre-Mer, de 2002 à 2005, secrétaire exécutive du groupe d'amitié sénatorial France Afrique de l'Ouest Service des collectivités territoriales, directrice adjointe des programmes, puis directrice de la communication de la chaîne parlementaire Public Sénat, de 2002 à 2005, en charge des aspects sociaux en 2006.

 

Membre de l'UMP, elle fait partie des femmes mises en avant par le parti dès mars 2006, où elle est chargée de la francophonie.

 

Nicolas Sarkozy lui laisse prononcer un discours d'un quart d'heure lors de son investiture au Congrès de l'UMP le 14 janvier 2007. Elle constitue la revelation de la campagne. Elle sera nommée secrétaire d'Etat chargé des droits de l'homme auprès du ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner en mai 2007.

 


 

Monsieur Olivier Besancenot, né le 18 avril 1974 à Levallois dans le département des Hauts-de-Seine.

 

Titulaire d'une licence d'Histoire de l'université de Paris X- Nanterre.

Facteur depuis 1997, d'abord à Levallois-Perret et ensuite à Neuilly sur Seine.

 

Il milite à 14 ans à SOS Racisme en 1988. Il rejoint alors les Jeunesses communistes révolutionnaires (JCR), ensuite le bureau national et en 1991, il adhère la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Il devient porte parole de ce parti est cela le place en personnalité politique française d'extrême gauche.

 

La phrase : « Culte : Nous sommes non seulement pour la légalisation du cannabis mais aussi pour la dépénalisation de l'usage des drogues dures. Il ne s'agit pas de faire de la démagogie : il faut qu'une réforme soit accompagnée de mesures de santé publique, de campagnes d'information sur les dangers des drogues et pas seulement du pétard, mais aussi du pinard. » (fuctluat.net)

 

 

Quelques exemples de la jeunesse en marche vers son destin, mais qui va bouleverser la politique de demain.

 

A bon entendeur !

 

Si vous avez d'autres exemples à citer, n'hésitez pas même ceux inconnus des médias.

Ecrire un commentaire - Permalien - Partager
La politique, quel galère ! Publié le Samedi 29 Novembre 2008 à 21:53:46

De quel parti politique êtes-vous ? Voilà une question que l'on devrait poser à tout citoyens, car pour vous rassurer ce n'est pas ma conception de la vie, mais certaines personnes qui gèrent la vie des administré (es) aiment diviser les gens dans des clans divers.

En exemple, celui là il faut lui donner un coup de main c'est un ami, lui par contre un coup de pied, car c'est un ennemi. Comment se comporter, voilà une question à se poser quand vous vivez ou travailler dans une collectivité de France et de Navarre.

Une étiquette est mise sur chaque citoyen, malgré que nous vivons dans une démocratie et que nous avons une liberté de vivre. Vous devez être dans le sillage des décideurs, sinon vous êtes rayés de la liste des invités.

Pourquoi, je vous parle de politique aujourd'hui, peut être un peu dégoûté des élections du P.S. au niveau national et de l'U.M.P. au niveau local. Rendez vous compte, les candidats se déchirent, les militants s'insultent, se toisent, se contredisent pour enfin se réconcilier mais à quel prix. Il y a des cadavres tout le long du chemin, mais cela ne dérange pas les gens bien pensants.

Ceux qui restent sur le carreau, sont les personne qui ont mis toutes leurs énergies dans l'action quelques soient les candidats. Je ne vous parle même pas, des personnes sans ambitions mais ceux qui ont soutenu à fond le candidat, des personnes d'origines diverses qui se raccrochent à un mouvement, une force leur permettant sûrement un jour d'être considérés simplement comme des êtres humains, des jeunes qui ont un idéal, quelquefois utopiques, des personnes âgées qui ont connu la misère, la guerre et désiraient pour leurs enfants naturels ou non des jours meilleurs et enfin de nombreuse personne désirant simplement s'associer à une continuation ou un changement de la politique existante.

La politique est tout un art pour ceux qu'ils veulent réussir, c'est un leitmotiv, même si certains feignent l'étonnement quand vous leur en parlaient, ils sont sans pitié, ils tueraient père et mère pour réussir, surtout la nouvelle génération, bien sur ne faisons pas une généralité, à vous de les découvrir au sein de vos formations politiques.

Pour ceux qui décident de se lancer dans une aventure politique, préparez vous à être combatif et à accepter les coups, car ils viendront un moment ou un autre de tous les cotés, même dans votre propre camp, c'est-à-dire vos ami (es) les plus proches.

Que vous dire d'autre, simplement de rassembler, de penser et de voter !

Afficher le commentaire. Dernier par Sandrine (etincelle) le 30-11-2008 à 17h23 - Permalien - Partager