Une guerre sans nom, comme les nombreuses guerres qui ont eu lieu dans le monde entier et depuis tous les temps. Mais voilà, nous sommes au 21e siècle, en 2009 !
Au moins 500 palestiniens ont été tués et 2450 blessés dans cette malheureuse guerre, une offensive israélienne dans la bande de Gaza.
Coté Palestinien :
Depuis le début des bombardements le 27 décembre, huit jours après la fin de la trêve de six mois conclue entre Israël et le Hamas sous l'égide des Egyptiens, plus de 500 habitants de Gaza ont été tués lors de l'opération « Plomb durci ».
Soldats et blindés ont pris position dans les faubourgs de la ville, où vit un tiers du million et demi de Gazaouis.
L'offensive terrestre israélienne à Gaza, lancée samedi soir après huit jours de bombardements aériens, a permis à Tsahal de couper en deux la petite enclave palestinienne et d'encercler la ville de Gaza.
Au moins 42 personnes, pour la plupart des civils, ont été tuées dimanche quand des obus israéliens sont tombés sur le quartier commerçant de la ville de Gaza, ont annoncé les services médicaux palestiniens.
Si tous les palestiniens sont loin de se reconnaître dans le Hamas, l'offensive de l'armée israélienne renforce la solidarité face à Israël.
Les tirs des blindés israéliens et la poursuite des raids aériens n'ont pas empêché roquettes et obus de mortier de continuer de tomber sur le sud d'Israël.
Environ 25 roquettes ont été tirées dimanche sur l'Etat juif.
Les forces du Hamas sont estimées à environ 25.000 hommes.
Samedi, à Paris dans la capitale plus de 20.000 personnes avaient manifesté pour réclamer l'arrêt de l'opération israélienne à Gaza. Des incidents avaient émaillé la dispersion du défilé.
Le cessez-le-feu exclu :
Le président israélien Shimon Peres a exclu un cessez-le-feu.
Le Premier ministre israélien Ehud Olmert : « cette opération a été rendue inévitable, nous n'avons l'intention ni d'occuper Gaza, ni d'écraser le Hamas, mais d'écraser le terrorisme. Et le Hamas a besoin d'une leçon véritable et sérieuse. Il est en train de la prendre », a-t-il dit à la chaîne de télévision américaine ABC.
Dimanche matin, des fusillades ont opposé les combattants des deux camps mais, la journée s'avançant, les opérations militaires se sont progressivement limitées à des échanges d'artillerie, roquettes et obus de mortier des Palestiniens répondant aux tirs des blindés de Tsahal.
Coté Israélien :
Israël affirme ne pas chercher à réoccuper et accuse les hommes du Hama de recourir à des « boucliers humains » dans la bande de Gaza, en s'embusquant derrière les civils.
Environ 10 000 militaires israéliens étaient massés à la frontière. Un soldat tué, trente-deux autres militaires ont été blessés depuis samedi soir.
Les avions israéliens ont continué à viser des dizaines d'objectifs.
En France des milliers de personnes ont répondu à l'appel des associations juives de France dimanche et se sont rassemblées à proximité de l'ambassade d'Israël à Paris pour un soutien et le droit d'Israël à la légitime défense et rappeler la mémoire des victimes israéliennes du Hamas.
Ils scandaient : « Hamas, terroriste », « Israël vaincra », réunis avenue de Matignon, dans le 8e arrondissement, entre deux chants en hébreu.
Certains manifestants agitaient des drapeaux israéliens, d'autres des portraits du soldat Gilad Shalit, détenu en otage depuis juin 2006 par des groupes activistes palestiniens.
Une personne rapportait, « J'ai des neveux dans l'armée israélienne et mes enfants, qui sont en France, peuvent partir demain. Mais si c'est le cas, ils se battront pour la démocratie. »
Pourtant à ce moment là, quatre Israéliens ont été tués par des tirs de roquettes sur le sud de l'Etat juif. La nécessité d'empêcher la poursuite de ces tirs en détruisant l'infrastructure offensive du Hamas est le motif invoqué par Israël pour expliquer son offensive.
Plusieurs représentants de la communauté juive, dont le grand rabbin Gilles Bernheim et le président du Crif, Richard Prasquier, se sont exprimés à la tribune « La guerre n'est pas contre les Palestiniens, la guerre est contre le Hamas, obstacle insurmontable sur la route de la paix » et il a ajouté « Israël s'est désengagé de la bande de Gaza spontanément, aujourd'hui, il est obligé d'y revenir car le Hamas ne s'est pas désengagé de sa culture de la mort. »
De son côté, le grand rabbin Gilles Bernheim a appelé communautés juive et arabe de France à tout faire "pour préserver la qualité de notre vivre ensemble". Il y avait également le chanteur Enrico Macias.
Les manifestants se sont dispersés vers 16h00, après avoir chanté la Marseillaise, sans qu'aucun incident violent ne soit signalé dans l'immédiat.
Pendant ce temps le Président Nicolas Sarkozy :
Est en mission périlleuse au Proche-Orient.
Il a maintenu sa tournée au Proche-Orient lundi malgré le lancement par Israël, samedi soir, d'une offensive terrestre contre le Hamas dans la bande de Gaza, cela lui rend difficile la tâche.
Dimanche, le président français s'est entretenu par téléphone avec la chancelière allemande, Angéla Merkel, le président du gouvernement espagnol, José Luis Zapatero, le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, et le chef du gouvernement israélien, Ehud Olmert.
Lundi, il déjeunera lundi dans la station de Charm el-Cheikh, sur la Mer rouge, avec le président égyptien Hosni Moubarak, avec qui il préside l'Union pour la Méditerranée.
Il rencontrera en fin d'après-midi le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à Ramallah, en Cisjordanie, avant un dîner de travail avec Ehud Olmert.
Mardi, il verra le président syrien Bachar el-Assad à Damas, puis les dirigeants libanais à Beyrouth.
Même s'il faut lui reconnaître un certain talent en temps de crise, Nicolas Sarkozy se présente en ami à la fois d'Israël et des Palestiniens, il a annoncé "C'est la vocation de la France de chercher partout les chemins de la paix", mais a refusé jusqu'ici tout contact direct avec le Hamas.
La France est aujourd'hui avec la Turquie l'un des pays les plus actifs dans la recherche d'une issue au conflit israélo-palestinien.
La Syrie, l'Iran, l'Egypte, les Etats-Unis, principal soutien d'Israël, et l'Union Européenne ne font pas d'effort sur une éventuelle négociation avec Israël et une demande d'arrêt total de cette mauvaise guerre.
Et l'Onu quels sont ces intérêts dans cette confrontation entre ces deux peuples ?
Le sort des habitants du territoire devient de plus en plus désespéré et les agences humanitaires ont prévenu que les stocks d'eau, de nourriture et de médicaments s'épuisaient.
Ce qui rend plus hypothétique toute perspective rapide de trêve entre Israël et le Hamas.
En ce jeudi 1er janvier 2009, meilleurs voeux pour l'année 2009 à tous les visiteurs de ce blog.
Il ne restait plus que quelques heures de vie à l'année 2008, vive 2009.
C'est sans gueule de bois que je vous souhaite une bonne et heureuse année !
2009 sera je l'espère, riche en évolution de mentalité... En attendant, les traces du réveillon de la Saint Sylvestre sont encore présentes dans la ville de Grenoble. Allez donc vous promener dans les rues joyeuses et attrayantes …
Toutefois, je vous la souhaite excellente. Même, si c'est un peu regarder son nombril, mais j'espère vous rassurer par là, nous concernant, 2009 devrait être une très bonne année. La meilleure. De nouveaux projets sont sur le point d'être dévoilés.
Mais il est un peu trop tôt pour tout dévoiler. Dès les jours suivants, je tâcherai de reprendre le rétroviseur pour faire le point avec vous sur l'année écoulée, sur l'audience, sur les moyens, sur les projets.
Un autre voeux : rétablissez-vous bien des festivités d'hier soir...
Je vous le fais bref, car nous reviendrons sur les sujets plus amplement prochainement.
Meilleurs voeux pour 2009 !
Aux Grenoblois d'abord, aux habitants du département et de l'agglomération, ces fantastiques citoyens, ces merveilleux électeurs qui font rêver les politiques ; souhaitons de gagner un maximum de reconnaissance et de prendre du plaisir dans notre chère ville et au delà. Du plus les anonymes qui oeuvrent pour assurer le bien être, méritent notre respect et nos encouragements.
Aux politiques, souhaitons leur une année 2009 remplie de victoire et de plaisir aux côtés de la population. Que chacun puisse remplir ses objectifs et les nôtres en s'acclimatant au mieux a la demande du requérant. Que chacun d'entre eux soit épargné par les traîtrises, les coups bas, etc. Souhaitons leurs de nous redonner une bonne santé de l'activité économique puisque dans Grenoble comme dans le monde, l'argent est le nerf de la guerre.
Aux fonctionnaires, souhaitons aussi le bonheur du métier bien fait, la satisfaction des bonnes relations avec leurs employeurs et l'amour permanent de leurs fonctions. Pour eux, la passion doit impérativement rester le moteur de leur présence dans les collectivités.
Aux personnes nécessiteuses, à ceux qui font confiance à la vie ou tout simplement au hasard, souhaitons-leur de vivre de grandes émotions et joies quand ils sortiront de la misère. Que la chance soit avec les milliers de sans logis, de précaires, de souffrants, de malades, etc. De la convivialité entre ami (es) à la recherche du bonheur, que chacun d'entre eux puisse prendre du plaisir à vivre malgré les difficultés.
Aux milliers de bénévoles qui donnent de leurs temps et de leurs énergies pour que les bonnes décisions soient prises en défendant l'intérêt de l'utilité publique. Souhaitons que les politiques français et européens permettent à nos bénévoles de vivre un avenir radieux malgré la crise qui menace et la récession qui se profile, souhaitons une année 2009 remplie de bonnes nouvelles.
L'année 2008 s'est achèvée, une année marquée par la déferlante aura été riche en rebondissements dans l'actualité.
A tous, bonne et heureuse année pleine d'humanisme. Au fil des jours nous faisons en sorte de répondre à vos attentes, car sans votre fidélité nous ne pourrions démarrer cette nouvelle année sous les meilleurs auspices.
Bonne santé à vous tous et merci pour votre fidélité et votre confiance.
Encore, une dernière fois, BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2009 !
Monsieur Malek Boutih, de son nom complet Abdelmalek Boutih, né le 20 octobre 1964 à Levallois-Perret.
Etude de droit à la faculté de Nanterre et à l'ESJ Paris.
Ancien président de SOS Racisme de 1999 à 2003, il participe à la marche pour l'Egalité en 1983. Il est secrétaire national du Parti socialiste chargé d'une commission depuis 2003.
Il a fait part de son intérêt pour la présidence de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde), actuellement présidée par Louis Schweitzer.
Parler insécurité à gauche, atomiser la racaille à coup de répliques cinglantes, depuis plusieurs années, une petite voix s'élève contre la loi des gangs qui règne dans les cités.
Il est le politique issu de l'immigration qui n'a pas peur de s'en prendre aux « barbares » délinquants, et aux sans-papiers.
Depuis, il donne son avis sur toutes les questions de société qui dérangent. Le cannabis, ce serait mieux de le dépénaliser, ce sera autant d'argent en moins pour les trafiquants. Les banlieues, il faudrait une politique ferme, qui se traduirait notamment par l'instauration d'un couvre-feu pour les mineurs et la multiplication des internats.
Il a une honnêteté rare en politique. Il s'est fait de ses propres mains. Il a du caractere.
Même contacté pour entrer au gouvernement, il souligne qu'il n'a pas refusé " par ideologie", mais réaffirme qu'il n'entend pas quitter le Parti Socialiste, dont il dit avoir l'ambition de devenir un des principaux dirigeants".
La phrase : « Les barbares des cités, il faut leur rentrer dedans, taper fort, les vaincre, reprendre le contrôle des territoires qui leur ont été abandonnés par des élus en mal de tranquillité. Et vite ! » (fuctluat.net)
Madame Rama Yade de son nom complet Madame RamatoulayeYade-Zimet, né (e) le 13 décembre 1976 au Sénégal (32 ans).
Cursus : Institut d'études politiques (IEP) de Paris
Carrière : Administratrice au Sénat depuis 2002, commission des Affaires sociales, en charge des questions d'emploi, de formation professionnelle et d'0utre-Mer, de 2002 à 2005, secrétaire exécutive du groupe d'amitié sénatorial France Afrique de l'Ouest Service des collectivités territoriales, directrice adjointe des programmes, puis directrice de la communication de la chaîne parlementaire Public Sénat, de 2002 à 2005, en charge des aspects sociaux en 2006.
Membre de l'UMP, elle fait partie des femmes mises en avant par le parti dès mars 2006, où elle est chargée de la francophonie.
Nicolas Sarkozy lui laisse prononcer un discours d'un quart d'heure lors de son investiture au Congrès de l'UMP le 14 janvier 2007. Elle constitue la revelation de la campagne. Elle sera nommée secrétaire d'Etat chargé des droits de l'homme auprès du ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner en mai 2007.
Monsieur Olivier Besancenot, né le 18 avril 1974 à Levallois dans le département des Hauts-de-Seine.
Titulaire d'une licence d'Histoire de l'université de Paris X- Nanterre.
Facteur depuis 1997, d'abord à Levallois-Perret et ensuite à Neuilly sur Seine.
Il milite à 14 ans à SOS Racisme en 1988. Il rejoint alors les Jeunesses communistes révolutionnaires (JCR), ensuite le bureau national et en 1991, il adhère la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Il devient porte parole de ce parti est cela le place en personnalité politique française d'extrême gauche.
La phrase : « Culte : Nous sommes non seulement pour la légalisation du cannabis mais aussi pour la dépénalisation de l'usage des drogues dures. Il ne s'agit pas de faire de la démagogie : il faut qu'une réforme soit accompagnée de mesures de santé publique, de campagnes d'information sur les dangers des drogues et pas seulement du pétard, mais aussi du pinard. » (fuctluat.net)
Quelques exemples de la jeunesse en marche vers son destin, mais qui va bouleverser la politique de demain.
A bon entendeur !
Si vous avez d'autres exemples à citer, n'hésitez pas même ceux inconnus des médias.
Barack Hussein OBAMA (Barack signifie béni des dieux en swahili) est né le 04 aout 1961 à Honolulu (Hawai), d'un père noir originaire du Kenya, avocat, brillant économiste et d'une mère blanche américaine du Kansas, descendante de Jefferson Davis (président des Etats Confédérés d'Amérique pendant la guerre de Secession). Il est diplomé de Harvard et avocat de formation.
Son père, également prénommé Barack, lui-même fils d'un notable kényan guérisseur de la tribu nomade des Luo, était devenu cuistot des colons de la ville d'Alego, au bord du lac Victoria, et avait pu entrer à l'école de la mission. Les pasteurs avaient vite choyé ce surdoué, payant bientôt ses études à Nairobi, avant de l'envoyer, nanti d'une bourse, poursuivre son cursus d'économétrie à l'université de Hawaii. Seul Noir de la fac, charismatique et engageant, il acquiert vite un statut de star, fonde l'association des étudiants étrangers, obtient les meilleures notes de sa promotion et conquiert une jolie brune, étudiante en anthropologie, nommée Ann DUNHAM. Les amants se marient en 1960 ; leur enfant, Barack Hussein OBAMA, naît le 4 août 1961.
Le couple se séparera deux ans plus tard. Agé de six ans Barck OBAMA suit sa mère, qui s'est remariée avec un étudiant indonésien, à Djakarta (Indonésie) où il passe quatre années de son enfance, de 1967 à 1971. Il revient ensuite chez ses grands-parents maternels à Hawai afin de suivre sa scolarité au sein du collège de Punahou, plutot resevé aux enfants de l'élite blanche américaine.
Ses grands-parents, "Gramps" et "Toot", un représentant en meubles et une employée de banque originaires du Kansas, ont élevé le mieux possible l'enfant noir à Hawaii.
Cet exil à l'autre bout du monde a achevé de disloquer ses fragiles repères. Après deux ans dans une école publique musulmane de quartier, puis deux autres dans un cours catholique, le gamin, outsider paumé, maîtrise toujours mal la langue indonésienne. Il souffre aussi de la mésentente de ses parents, de la dureté de son beau-père, devenu cadre supérieur dans le pétrole, envers les domestiques et les pauvres, et se voit, finalement, rapatrié seul à Honolulu, où ses grands-parents lui ont trouvé une bourse pour la Punahou School, la meilleure école privée de Hawaii.
"J'ai appris à passer de mon monde noir à mon monde blanc".
C'est l'époque des états d'âme solitaires et des crises identitaires adolescentes. Conscient que chacun d'eux possédait son langage, ses coutumes et ses signes, convaincu qu'il suffisait d'un effort de traduction de ma part pour qu'ils se rejoignent..." Illusion?
Adolescent torturé, il a consommé de la cocaïne, s'est englué dans le doute, l'insatisfaction. Et, s'étant rapproché de ses amis noirs, il est difficilement parvenu à gérer les violentes récriminations que ces derniers portaient à l'égard des Blancs.
L'entrée à l'université puis ses premières expériences professionnelles vont balayer ses tourments. En 1981, il rejoint la prestigieuse université new-yorkaise de Columbia, et en 1988, il entre à la non moins prestigieuse Université de Harvard pour trois années d'études de Droit couronnées par un doctorat avec mention magna cum laude.
A partir de 1991 et jusqu'en 2005, Barack OBAMA travaille alors comme juriste co-gérant d'un important cabinet d'avocats, tout en occupant aussi parallèlement diverses autres fonctions. Mais il découvre une vocation : l'engagement social.
Il s'installe à Chicago et occupe un emploi dans un cabinet financier, plutôt que d'envisager une clinquante et lucrative carrière dans une multinationale ou un grand cabinet de juriste, il préfère travailler à l'amélioration des conditions de vie de ses concitoyens, à la lutte contre les inégalités. Il se convertit au Christianisme et abandonne une carrière prometteuse et lucrative.
En juillet 2004, son charisme, son éloquence et son discours très remarqué en faveur d'une autre Amérique que celle de George W. BUSH, font de lui la vedette de la convention démocrate réunie pour désigner John KERRY candidat à l'élection présidentielle. Un combat au nom duquel il s'engagera en politique. Le 2 novembre 2004, depuis la Convention à Boston, il avait électrifié l'assistance grace à un discours mémorable, il a été élu sénateur démocrate de l'illinois au Congrés des Etats-Unis avec 70% des voix contre 27% à son adversaire républicain devenant ainsi le seul afro-américain à sieger au Sénat, et troisieme de toute l'histoire des Etats-Unis depuis 1867, il prend officiellement ses fonctions de sénateur le 5 janvier 2005.
Son discours, à Boston, devait être un simple prêche de la saga des droits civiques, la relève des briscards noirs, Jesse JACKSON et Al SHARPTON. Ce fut un phénomène verbal, de sensibilité et d'espoir. Seul et efflanqué sur la scène immense, il évoquait ses parents : un homme venu d'Afrique et une femme blanche du Kansas. "Un rêve commun né sur deux continents." Il poursuivait : "Je me présente à vous, plein de gratitude pour mon héritage, conscient que mon histoire appartient à la plus ample histoire américaine, et qu'elle n'aurait été possible dans nul autre pays." Un mythe se dessine.
Barack OBAMA débute véritablement sa carrière politique en 1996, lorsqu'il est élu dans une circonscription de la banlieue de Chicago au Sénat de l'Etat de l'Illinois.
Elu local d'un ghetto de Chicago, le South Side, au Parlement de l'Illinois, il brigue le poste de sénateur de l'Etat à Washington, et, après le combat des primaires locales, semble assuré d'une victoire. Les républicains, pour toute opposition, avaient parachuté contre lui un candidat noir improbable et ultrapuritain, Alan Keyes. A 43 ans, Barack OBAMA, un jeune avocat et homme politique encore occupé à rembourser les emprunts de ses études, allait devenir le seul élu de sa couleur au Sénat des Etats-Unis. Et le troisième dans l'histoire du pays. En 2005, il devient sénateur de l'Illinois.
Le 10 fevrier 2007, date à laquelle il s'est présenté à l'investiture du parti démocrate pour les présidentielles. Barack OBAMA est le cinquieme candidat déclaré, dans le camp démocrate, aprés John EDWARD, Tom VILSACK, Chris DODD, Dennis KUCINICH et Hillary CLINTON.
Mardi 16 janvier 2008, via son site internet, candidat à l'investiture du parti démocrate pour les présidentielles de 2008. Il s'est engagé à « rassembler les Américains » et à « faire de la politique autrement ».
Le jeune sénateur se considère aujourd'hui comme le candidat de la difference et du rassemblement. "La politique est devenue tellement arriviste et partisane, tellement soumise à l'argent et aux influences diverses qu'on ne peut plus s'attaquer aux grands problèmes qui éxigent des solutions. Nous devons changer notre politique et nous rassembler autour des interets et des inquiétudes communes en tant qu'américains" a-t-il déclaré.
Barack OBAMA, 46 ans, est aujourd'hui un sérieux prétendant à la magistrature suprême des Etats -Unis. Métis, marié en 1992 avec une afro-américaine Michelle ROBINSON, avocate issue de Harvard, dont ils auront deux filles, Malia et Natasha.
A l'épreuve des maux de l'Amérique.
La position de Barack OBAMA sur tous les grands dossiers de la politique américaine : la guerre d'Irak, l'assurance maladie, l'immigration clandestine, la protection de l'environnement, l'avortement, les droits des homosexuels, la religion…
Barack OBAMA est devenu un citoyen international et un symbole pour les minorités visibles en France, il est l'émergence d'un nouveau style de politique.
Barack OBAMA : l'homme qui pourrait être le premier président noir des Etats-Unis. S'il était élu, il serait le premier noir président des Etats-Unis d'Amérique.
Le peuple américain se demande si il est prêt à avoir un noir à sa tête après George W BUSH.
Pourtant en six ans, Barack OBAMA est devenu une star. Il est le chouchou des médias qui en ont fait « l'homme qui pourrait être le premier président noir des Etats-Unis.
Très charismatique, Barack OBAMA semble avoir gagné aussi bien les banlieues blanches que les quartiers noirs. De nombreuses personnalités lui ont apporté leur soutien, notamment le comédien Matt DAMON, l'animatrice Oprah WINFREY et George CLOONEY qui a déclaré que Barack OBAMA était « un leader » et a ajouté, « il arrive quelque part, et vous avez envie de le suivre où qu'il aille ».
Seize millions d'Américains se sont déjà rendus aux urnes pour voter par anticipation, la majorité était enregistrée comme démocrate d'après les données fournies par l'Université George Mason. La ville de Chicago dans l'Illinois, fief de Barack OBAMA, a quant à elle du mal à contenir l'affluence des électeurs noirs démocrates aux portes des bureaux de vote.
Barack OBAMA séduit par sa volonté de dialoguer avec le monde arabe. Le nouveau penchant des Arabes - Américains s'inscrit dans une logique de rupture avec le parti républicain, entamée après le 11 septembre 2001.
Le souhait de Barack OBAMA de dialoguer avec les pays du Moyen-Orient, à l'instar de l'Iran, sa suggestion de retirer les troupes américaines de l'Irak ne laissent pas indifférents les Américains d'origine arabe. Mais mieux que la politique internationale des Etats-Unis et comme tous les Américains, c'est la situation économique, qui préoccupe la grande majorité des Arabes - Américains. Ces derniers voient en Barack OBAMA l'homme de la situation.
Un gars très maigre au nom bizarre...
Allez Monsieur Barack OBAMA, nous y croyons à votre réussite sociale !!!!!!!