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Léo fait son cinéma

Index Publié le Mardi 6 Janvier 2009 à 11:44:46

INDEX:

 

 

3 Royaumes, Les de John Woo (2008)
8 et demi de Federico Fellini (1963)
African Queen, The de John Huston (1951)
After Hours de Martin Scorsese (1985)
Amants, Les de Louis Malle (1958)
Apportez moi la tête d'Alfredo Garcia de Sam Peckinpah (1974)

Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle (1958)
Assaut de John Carpenter (1976)

A tombeau ouvert de Martin Scorsese (1999)
Au revoir les enfants de Louis Malle (1987)
Australia de Baz Lhurmann (2008)

Bal des vampires, Le de Roman Polanski (1967)

Bête humaine, La de Jean Renoir (1938)

Blindness de Fernando Meirelles (2008)
Bon, la Brute et le Truand, Le de Sergio Leone (1966)
Boulevard du crépuscule de Billy Wilder (1950)

Breaking the waves de Lars Von Trier (1996)

Breezy de Clint Eastwood (1973)

Brigadoon de Vicente Minnelli (1954)

Burn after reading des frères Coen (2008)
Butch Cassidy et le Kid de George Roy Hill (1969)
Cercle des poètes disparus, Le de Peter Weir (1989)

Certains l'aiment chaud de Billy Wilder (1959)

Chantons sous la pluie de Gene Kelly et Stanley Donen (1952)

Chinatown de Roman Polanski (1974)

Cuirassé Potemkine, Le de Sergueï M. Eisenstein (1925)

Dame de Shanghai, La de Orson Welles (1948)
Dancer in the dark de Lars Von Trier (2000)

Dark Knight, The de Christopher Nolan (2008)

Demoiselles de Rochefort, Les de Jacques Demy (1967)
Désaxés, Les de John Huston (1961)
Doute de John Patrick Shanley (2008)

Echange, L' de Clint Eastwood (2008)

Enfants du paradis, Les de Marcel Carné (1945)

Entre les murs de Laurent Cantet (2008)

Eraserhead de David Lynch (1977)

Et au milieu coule une rivière de Robert Redford (1992)

Etrange cas de Benjamin Button, L' de David Fincher (2008)

Excalibur de John Boorman (1981)

Féline, La de Jacques Tourneur (1942)
Fenêtre sur cour de Alfred Hitchcock (1954)
Festin nu, Le de David Cronenberg (1991)

Feu follet, Le de Louis Malle (1963)
Frost/Nixon de Ron Howard (2008)

Fureur de vivre, La de Nicholas Ray (1955)

Garçonnière, La de Billy Wilder (1960)
Gran Torino de Clint Eastwood (2008)

Hard Eight de Paul Thomas Anderson (1996)
High Fidelity de Stephen Frears (2000)

Homme des hautes plaines, L' de Clint Eastwood (1973)
Homme qui voulut être roi, L' de John Huston (1975)
Honkytonk Man de Clint Eastwood (1982)

Inglourious Basterds de Quentin Tarantino (2009)

Invasion Los Angeles de John Carpenter (1988)

Johnny s'en va-t-en guerre de Donald Trumbo (1971)
Lacombe Lucien de Louis Malle (1974)
Larry Flynt de Milos Forman (1996)

Liseur, Le de Stephen Daldry (2008)

Locataire, Le de Roman Polanski (1976)
Lois de l'attraction, Les de Roger Avary (2002)

Magnolia de Paul Thomas Anderson (1999)
Malcolm X de Spike Lee (1992)

Man on the moon de Milos Forman (1999)
Massacre de Fort Apache, Le de John Ford (1948)

Maurice de James Ivory (1987)
Mensonges d'Etat de Ridley Scott (2008)
Mépris, Le de Jean-Luc Godard (1963)
Mesrine : L'instinct de mort de Jean-Francois Richet (2008)
Mesrine : L'ennemi public #1 de Jean-Francois Richet (2008)

Milk de Gus van Sant (2008)

Millenium Actress de Satoshi Kon (2001)
Missing de Costa-Gavras (1982)

New York 1997 de John Carpenter (1981)

Noces rebelles, Les de Sam Mendes (2008)

Nous, les vivants de Roy Andersson (2007)

Open Range de Kevin Costner (2003)
Pale Rider de Clint Eastwood (1985)

Parapluies de Cherbourg, Les de Jacques Demy (1964)
Pas sur la bouche de Alain Resnais (2003)

Phénomènes de M. Night Shyamalan (2008)

Philadelphia de Jonathan Demme (1993)

Piège de cristal de John McTiernan (1988)
Ponyo sur la falaise de Hayao Miyazaki (2008)
Predator de John McTiernan (1987)
Prédictions de Alex Proyas (2009)
Procès, Le de Orson Welles (1962)
Pulsions de Brian De Palma (1980)
Quai des brumes, Le de Marcel Carné (1938)
Reds de Warren Beatty (1981)

Rendez-vous (The Shop around the corner) de Ernst Lubitsch (1940)

Requiem pour un massacre de Elem Klimov (1985)

Ressources humaines de Laurent Cantet (1999)

Retour à Howards End de James Ivory (1992)
Rosemary's Baby de Roman Polanski (1968)

Scarface de Brian De Palma (1983)
Showgirls de Paul Verhoeven (1995)

Slumdog Millionaire de Danny Boyle (2008)

Smoking/No smoking de Alain Resnais (1993)

Soif du mal, La de Orson Welles (1958)
Speed Racer des frères Wachowski (2008)
Star Trek XI de J.J. Abrams (2009)
Sueurs froides de Alfred Hitchcock (1958)
Terminator de James Cameron (1984)
Terminator 2 : le jugement dernier de James Cameron (1991)
Thing, The de John Carpenter (1982)
Trois couleurs : Blanc de Krzysztof Kieslowski (1994)

Trois couleurs : Bleu de Krzysztof Kieslowski (1993)
Trois couleurs : Rouge de Krzysztof Kieslowski (1994)
Un baiser s'il vous plait de Emmanuel Mouret (2007)

Une histoire vraie de David Lynch (1999)

Vengeance dans la peau, La de Paul Greengrass (2007)

Verdict, Le de Sidney Lumet (1982)

Vestiges du jour, Les de James Ivory (1993)
Vicky Cristina Barcelona de Woody Allen (2008)
Vie privée de Sherlock Holmes, La de Billy Wilder (1970)

Walkyrie de Bryan Singer (2008)

WALL-E de Andrew Stanton (2008)
Watchmen de Zack Snyder (2009)
West Side Story de Robert Wise et Jerome Robbins (1961)
Wrestler, The de Darren Aronofsky (2008)

Yi Yi de Edward Yang (2000)
Zazie dans le métro de Louis Malle (1960)

 

Barême des notations :

 

Image : Chef d'oeuvre

Image : Excellent

Image : Super bien

Image : Très bien

Image : Bien

Image : Moyen

Image : Passable

Image : Pas terrible

Image : Mauvais

Image : Très mauvais

Image : Nullissime

 

 

Quelques sites Internet que je souhaite remercier pour leur aide dans l'élaboration de mes critiques :

DVD Classik pour leurs chroniques toujours excellentes et leur forum qui m'est d'une grande source d'inspiration.

Allociné pour leurs synopsis...

IMDB et Wikipédia pour toute sorte d'informations pratiques.

Et les nombreux blogs et sites Internet que je consulte occasionnellement pour prendre en compte des avis que j'espère le plus varié possible.

 

 

Afficher les 12 commentaires. Dernier par Romans en ligne le 20-05-2013 à 09h50 - Permalien - Partager
Frost/Nixon (Ron Howard, 2009) Publié le Mardi 6 Janvier 2009 à 11:49:13

Frost
 
Frost/Nixon de Ron Howard (2009)



Synopsis : En 1977, l'interview télévisée de l'ancien Président Richard Nixon (Frank Langella) menée par David Frost (Michael Sheen) a battu le record d'audience de toute l'histoire du petit écran américain pour un magazine d'actualités. Plus de 45 millions de personnes ont assisté à un fascinant affrontement verbal au fil de quatre soirées. Un duel entre deux hommes ayant tout à prouver, et dont un seul pouvait sortir vainqueur. Leur affrontement a révolutionné l'art de l'interview-confession, a changé le visage de la politique et a poussé l'ancien Président à faire un aveu qui a stupéfié le monde entier... à commencer sans doute par lui-même.


Connu pour ses grosses productions, pas toujours réussies (un doux euphémisme diront certains), Ron Howard nous livre, entre Le Da Vinci Code et Anges et Démons, un film qui semble nous dire que non, il ne fait pas que des mauvais film. Car ce Frost/Nixon est loin d'être un navet, grâce à un sujet intéressant et bien traité mais surtout grâce à un casting irréprochable. Frank Langella campe admirablement un Nixon livrant son dernier combat, entre opiniâtreté et profonde lassitude et Michael Sheen parfait en Frost. L'ensemble soutenu par des seconds rôles de grande classe (Kevin Bacon, Sam Rockwell...). Après une première partie nécessaire, plaçant le décors et les personnages, loin d'être inintéressante et alourdissante, vient le moment tant attendu, l'interview (en 4 temps). Un duel qui opposera le novice mais imprévisible Frost au barroudeur et expérimenté Nixon, celui qui voulait se faire un nom à celui qui voulait s'en refaire un. La performance des deux acteurs rend cet affrontement à la fois stimulant et émouvant. Il faut malgré tout garder dans un coin de sa tête la réalité des choses sous peine de facilement pardonner l'impardonnable devant la pitié que communique un Nixon battu, fatigué et las, même si il me semble que le film ne pardonne en rien les agissements de Nixon.
Je crois que la nomination au Golden Globe de Langella n'est pas immérité, mais Micheal Sheen le méritait tout autant. Affaire à suivre pour les oscars.

 

 

Image

 

 

Titre : Frost/Nixon

Titre original : Frost/Nixon

Réalisateur : Ron Howard

Scénario : Peter Morgan

Photographie : Salvatore Totino

Musique : Hans Zimmer

Format : Couleur

Genre : Biographie, drame, historique

Durée : 122 min

Pays d'origine : Etats-Unis, Royaume-Uni, France

Date de sortie : 2009

Distribution : Frank Langella, Michael Sheen, Sam Rockwell, Kevin Bacon

Afficher le commentaire. Dernier par L'île au trésor le 20-05-2013 à 09h51 - Permalien - Partager
The Wrestler (Darren Aronofsky, 2008) Publié le Mardi 6 Janvier 2009 à 12:04:21

The

The Wrestler de Darren Aronofsky

 

Synopsis : Dans les années 1980, Randy "The Ram" ("Le Bélier") Robinson était une star du catch professionnel, mais il est peu à peu redescendu de son Olympe. Pendant un match sans envergure, il endure une crise cardiaque ; un médecin lui explique qu'un autre combat lui serait fatal. Il décide alors de se ranger définitivement, prend un petit boulot dans la restauration, s'installe avec une strip-teaseuse vieillissante et tente de se lier avec le fils de cette dernière. Mais la perspective d'un dernier affrontement avec son plus grand adversaire, l'Ayatollah, se présente à lui.

 

J'ai pris un peu de temps avant de me lancer dans un petit commentaire pour essayer de ne pas dire trop de bêtises sur ce film que j'ai eu la chance de voir le week-end dernier et qui débarque avec des critiques dithyrambiques et une reconnaissance déjà toute faite. Je n'avais pas, pour ma part, d'attentes particulières et m'attendais simplement à voir un bon film ce qui je le dis tout de suite fut le cas. J'ai bien aimé mais je nuancerai bien les éloges qui le considèrent déjà comme un chef d'oeuvre.

Car selon moi la réussite du film est quasi essentiellement basée sur la performance de Mickey Rourke qui, comme tout le monde le dit déjà, est impressionnant dans le rôle de Randy "The Ram" Robinson, catcheur vieillissant qui a connu son heure de gloire dans les années 80. Un rôle sur mesure si l'on en croît son parcours chaotique, terrassant de justesse et de crédibilité. La mise en scène de Aronofsky lui est entièrement dévouée par le style quasi documentaire qui est ici adopté, avec des plans très serrés et une caméra à l'épaule. Un parti pris qui, d'ailleurs, diffère sensiblement des choix artistiques antérieurs du réalisateur. J'émettrai tout de même une critique sur la place prédominante de Rourke dans le film. Si il est parfait dans son rôle, il écrase complètement les seconds rôles qui malgré les 2 heures du film n'arrivent jamais à gagner en profondeur. Les relations de Randy avec la danseuse ou avec sa fille m'ont semblé à peine esquissées, au point de devenir caricaturales dans leur traitement. L'implication émotionnelle est certes présente mais à moindre niveau. Je pense que le film aurait gagné à être un peu plus long. Sinon, les deux derniers plans sont magnifiques et extrêmement émouvants (s'il ne fallait en retenir que deux).

 

Image

 

 

Titre : The Wrestler

Titre original : The Wrestler

Réalisateur : Darren Aronofsky

Scénario : Robert D. Siegel

Photographie : Maryse Alberti

Musique : Clint Mansell

Format : Couleur

Genre : Drame, sport

Durée : 115 min

Pays d'origine : Etats-Unis, France

Date de sortie : 2008

Distribution : Mickey Rourke, Marissa Tomei, Evan Rachel Wood

Afficher le commentaire. Dernier par Banlieues le 20-05-2013 à 09h52 - Permalien - Partager
Vicky Cristina Barcelona (Woody Allen, 2008) Publié le Mardi 6 Janvier 2009 à 12:28:50

Vicky

Vicky Cristina Barcelona de Woody Allen

 

Synopsis : Vicky et Cristina sont d'excellentes amies, avec des visions diamétralement opposées de l'amour : la première est une femme de raison, fiancée à un jeune homme respectable ; la seconde, une créature d'instincts, dénuée d'inhibitions et perpétuellement à la recherche de nouvelles expériences sexuelles et passionnelles.
Lorsque Judy et Mark, deux lointains parents de Vicky, offrent de les accueillir pour l'été à Barcelone, les deux amies acceptent avec joie : Vicky pour y consacrer les derniers mois de son célibat à la poursuite d'un master ; Cristina pour goûter un changement de décor et surmonter le traumatisme de sa dernière rupture.
Un soir, dans une galerie d'art, Cristina "flashe" pour le peintre Juan Antonio, bel homme à la sensualité provocante. Son intérêt redouble lorsque Judy lui murmure que Juan Antonio entretient une relation si orageuse avec son ex-femme, Maria Elena, qu'ils ont failli s'entre-tuer.
Plus tard, au restaurant, Juan Antonio aborde Vicky et Cristina avec une proposition des plus directes : s'envoler avec lui pour Oviedo, consacrer le week-end à explorer les beautés de la ville, à boire du bon vin et à faire l'amour. Vicky est horrifiée ; Cristina, ravie, la persuade de tenter l'aventure...

 

Soyons clair dès le départ: pour moi, l'insupportable voix off plombe complètement le film. C'est très étonnant ce choix que je qualifierai d'erreur car si le film à d'autres défauts celui là est récurrent et empêche toute implication émotionnelle dans le film. Au moins, Allen aurait-il pu y prêter sa voix qui eue donné un peu plus de vitalité, d'élan, de je ne sais quoi à un texte souvent d'une banalité affligeante. Car en plus d'empêcher une implication émotionnelle, cette voix off rend le film plat, lisse et vide alors que ce n'est pas forcément le cas.


Cependant, ce que je juge comme étant une grossière erreur est tellement gros qu'il s'agit peut-être d'un parti pris complètement assumé par Allen pour établir deux points de vue/deux lectures totalement différents de l'histoire racontée à savoir une voix off d'une banalité affligeante qui ne fait que retranscrire la superficialité et la fausseté des rapports entre les personnes telle qu'ils sont en public, en société, et de l'autre la réalité des expressions et des sentiments tel qu'ils sont exprimés par les visages, par les images et non plus par le texte. Cela se reflète bien à la fin lorsque la voix off affirme des choses qui semblent complètement en contradiction avec les images. D'un côté avec Vicky qui semble bouleversée et dont cette expérience changera probablement le cours de son mariage et de l'autre Christina qui a atteint des limites dans sa vie sentimentale. Cette idée que le film serait plus lisse dans le texte qu'il ne serait à l'image est peut-être voulue mais me semble trop (ou peu, ca dépendra du point de vue) subtile et peut-être aussi un peu naïve. Même les sentiments qu'éprouvent les personnages ne me semblent pas originaux mais là je me trompe peut-être.


Sinon, le film tel que je l'ai vécu sur le moment ne m'a pas déplu, au contraire c'est très plaisant. Scarlett n'est jamais aussi éblouissante que chez Woody Allen, je suis béat à chaque fois que je la vois... Les autres acteurs sont aussi très bien. La photo est belle, chaleureuse avec ses tons orangés et convient parfaitement à l'ambiance que veut donner Allen. Je ne suis pas vraiment d'accord pour critiquer le réalisateur sur ce qu'il a voulu montrer de Barcelone et de l'Espagne qui n'est finalement que ce que voient nos deux touristes américaines, c'est-à-dire probablement des clichés et des paysages de cartes postales (probablement car je ne connais pas bien personnellement l'Espagne pour juger, et oui quelle honte...). Après il manque l'étincelle, pas grand chose je pense pour que ce soit très bien.


Il y a aussi deux effets de style dont je n'ai pas saisi l'intérêt et qui m'ont paru bien moches (le ralenti entre Juan Antonio et Vicky et la transition en diaphragme, je sais pas comment on dit).

 

 

Image

 

 

Titre : Vicky Cristina Barcelona

Titre original : Vicky Cristina Barcelona

Réalisateur : Woody Allen

Scénario : Woody Allen

Photographie : Javier Aguirresarobe 

Format : Couleur

Genre : Comédie, drame, romance

Durée : 96 min

Pays d'origine : Espagne, Etats-Unis

Date de sortie : 2008

Distribution : Scarlett Johanson, Javier Bardem, Penelope Cruz, Rebecca Hall

Afficher le commentaire. Dernier par napoléon le 20-05-2013 à 09h52 - Permalien - Partager
Slumdog Millionaire (Danny Boyle, 2009) Publié le Mardi 6 Janvier 2009 à 12:37:41

Slumdog

 
Slumdog Millionaire de Danny Boyle



Synopsis : Jamal Malik, 18 ans, orphelin vivant dans les taudis de Mumbai, est sur le point de remporter la somme colossale de 20 millions de roupies lors de la version indienne de l'émission Qui veut gagner des millions ? Il n'est plus qu'à une question de la victoire lorsque la police l'arrête sur un soupçon de tricherie.
Sommé de justifier ses bonnes réponses, Jamal explique d'où lui viennent ses connaissances et raconte sa vie dans la rue, ses histoires de famille et même celle de cette fille dont il est tombé amoureux et qu'il a perdue.
Mais comment ce jeune homme est-il parvenu en finale d'une émission de télévision ? La réponse ne fait pas partie du jeu, mais elle est passionnante.



Magnifique film que ce Slumdog Millionaire. Tout y est réussi, de l'histoire de ce jeune garçon qui se révèle au fur et à mesure des questions de Who wants to be a millionaire au portrait éblouissant de l'Inde d'aujourd'hui entre son extrême pauvreté et son expansion économique fulgurante. La mise en scène de Danny Boyle, irréprochable, se marie à une photographie à couper le souffle qui révèle toute la beauté de l'Inde jusque dans sa misère la plus extrême. Les acteurs, à commencer par les enfants, sont tout simplement admirables et parachèvent ce qui, je l'espère, sera un succès amplement mérité. Danny Boyle signe ici un très bon film (hormis 28 jours plus tard que j'avais apprécié sans être fan du genre je ne connais pas sa filmographie) et me confirme donc son talent (je pense que ce sera aussi le cas pour ceux qui le connaissent mieux). Je ne peux que vous inviter à le découvrir le plus tôt possible.

 

 

Image

 

 

Titre : Slumdog Millionaire

Titre original : Slumdog Millionaire

Réalisateur : Danny Boyle

Scénario : Simon Beaufroy, Vikas Swarup

Photographie : Anthony Dod Mantle

Musique : A.R. Rahman

Format : Couleur

Genre : Drame, romance

Durée : 120 min

Pays d'origine : Royaume-Uni, Etats-Unis

Date de sortie : 2009

Distribution : Dev Patel, Freida Pinto, Madhur Mittal

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